La Flexibilité Dynamique

où les hétérodoxies, sans pouvoir se reposer sur une place et un statut assurés, s’attachent à défendre une ligne d’argumentation spécifique. Quel peut alors être l’avenir de la perspective hétérodoxe en économie du travail? Une appréhension en dynamique s’impose, procédant en trois étapes : en quoi l’économie hétérodoxe a-t-elle été amenée à évoluer? (I), quelles voies a-t-elle suivies? (II), quelles perspectives peut-on concevoir désormais? (III). On s’efforcera de montrer que, si l’hétérodoxie

que lorsque la négociation porte sur des articles ou des clauses successives et indépendantes les unes des autres ; c) faire preuve de flexibilité - le corollaire de cette norme est d’éviter tout ultimatum au cours de négociation sauf dans les situations très particulières ; d) la réciprocité des concessions - une conséquence des normes de bonne foi et de flexibilité ; d) éviter l’hostilité et l’agressivité personnelles - il s’agit là de convention de politesse et de savoir-vivre, mais qui peuvent

évoluer leur structure pour gagner en flexibilité et en réactivité. Les caractéristiques principales de ces nouvelles structures concernent la réduction des niveaux hiérarchiques, une gestion plus transversale des activités sur la base de processus (notion de reengineering, M. HAMMER et J. CHAMPY), la redéfinition des frontières de l’entreprise avec le recours croissant à des stratégies d’externalisation et de partenariat (entreprise réseau). 3.2.2 - La dynamique structurelle Les entreprises qui

réorganisation du travail qui élargit le champs d’action des salariés (Toyotisme) et insiste de plus en plus sur la notion de « qualité totale ». La recherche d’une plus grande flexibilité : qui s’applique aussi dans le domaine de la gestion des ressources humaines à la fois dans son aspect quantitatif (flexibilité des horaires et des effectifs) et dans son aspect qualitatif (plus grande polyvalence et plus grande implication des salariés). Les évolution du cadre réglementaire : qui rendent

d’endettement…), ressources physiques (usine, magasin…), ressources humaines (compétences, capacité à recruter…) ■ Ressources intangibles = ressources technologiques (brevets, dépenses de R&D), ressources organisationnelles (structure de l’entreprise, flexibilité, etc.), ressources mercatiques (marques, notoriété…) ○ Compétences = Comment ? Les savoirs et savoir-faire (activités) qu’une organisation déploie pour utiliser ses ressources B. Les ressources et compétences seuils et distinctives ● Ressources

est souvent présenté comme une issue possible aux problèmes économiques et sociaux qui se posent à de nombreux pays européens. Les pays scandinaves semblent en effet avoir réussi à combiner la sécurité de revenus souhaitée par les citoyens et la flexibilité de l'emploi demandée par les entreprises. Depuis plusieurs années, la “flexisécurité” est à la mode… A gauche comme droite! Analyse. Contrairement à ce que l'on entend trop souvent dire, notre système de protection sociale reste élevé et compatible

modèle d’emploi japonais permet de combiner flexibilité interne et flexibilité externe. La flexibilité interne est une flexibilité opérationnelle, elle traite de la possibilité de modifier à moindre coût la structure de production. La flexibilité externe est un flexibilité décisionnelle, elle concerne l’aptitude d’une firme à modifier les prix et les quantités de facteurs de production en réponse à une variation de l’environnement. Pour assurer cette flexibilité externe, il existe des travailleurs précaires

que la PME est handicapée par quelques contraintes elle est dotée de plusieurs avantages qui sont à l'origine de son internationalisation et sa compétitivité sur les marchés étrangers. D'abord, les PME profitent de certaines atouts tels que la flexibilité, la spécialisation, l'innovation ont leurs permis de prendre un poids considérable dans la population mondiale des entreprises (y compris les très petites entreprises), et d'occuper une place relativement peu importante dans le commerce international

aujourd’hui composée d’un vaste tissu de petits entrepreneurs dynamiques mais aussi d’ entreprises d’envergure internationale qui résistent à la crise dans le secteur financier (BBVA, Santander), dans le secteur énergétique (Endesa, Gas Natural et Iberdrola), dans le secteur des télécommunications (Telefónica), dans la gestion d’infrastructures (Abertis, Ferrovial).  Analyse socioculturelle L'Espagne est aujourd’hui un marché large et dynamique avec 45 451 628 habitants et un taux de fécondité supérieur

industrielle Fragmentation de l’industrie Faible envergure du marché Structure technologique Informatisation nécessaire au secteur  croissance car systèmes plus performants Manque de machines modernes dans ce secteur Structure des ressources Employés dynamiques, impliqués Réticence des employés âgés Données économiques et financière Hausse de la valeur de l’action Diminution des dépenses dans le secteur (immobilisations, rénovations…) Etc. Produit en phase de stagnation 2.1.3 Matrice PORTER Intensité