La Gouvernance Actionnariale

AbdelhamidS8 / F2MR ENCG2015-2016Introduction du coursContexte globalObjectifsPlan du cours2 Comprendre le processus de prise de décision financière Maîtriser la notion de création de valeur et la mesurer. Connaître les principales caractéristiques de la gouvernance d’entreprise Comprendre les mécanismes de contrôle et leur impact sur la décision financière Comprendre le rôle du dirigeant et ses relations avec les actionnaires Globalement, appréhender la

développement de la mondialisation. Il y a donc une ouverture de la concurrence, une diminution de l’intervention de l’Etat, ainsi qu’une dérégulation des marchés financiers. L’échange d’actions est facilité et on peut voir la naissance d’un capitalisme actionnarial. Dans ce capitalisme l’accumulation des richesses financières par les entreprises et les actionnaires constituent le cœur de ce système. Les marchés financiers prennent désormais un rôle central dans le financement des entreprises ce qui

le pouvoir managérial (La direction de la firme) C’est dans ce contexte que la gouvernance d’entreprise a vu le jour, afin de faire face à ce fameux problème. I. Un peu d’histoire … La gouvernance d’entreprise est un terme qui nous revient par l’anglais «corporate governance », qui est apparu au début des années 70 sous la forme initiale d’un courant d’opinion. Puis, il s’est développé

LE RÔLE DE LA CONFIANCE DANS LE SYSTÈME DE GOUVERNANCE DES ENTREPRISES -------------------------------------Gérard CHARREAUX(*) _________________________ Mai 1998 (*) Professeur en Sciences de Gestion, Directeur du Programme doctoral en Sciences de Gestion de l'Université de Bourgogne IAE DIJON - CREGO / LATEC 2, Bd Gabriel, Pôle d’Économie et de Gestion, 21000 Dijon ; Tel. 03.80.39.54.35; Fax. 03.80.39.54.88 E-mail : gcharrea@satie.u-bourgogne.fr 2 Dans un récent best-seller intitulé « Trust

MEMOIRE : « Y-a-t-il une prédominance de la Finance dans le modèle décisionnel des entreprises ? » SOMMAIRE Introduction : 5 Le cadre théorique de la gouvernance d’entreprise 8 Définitions de la gouvernance d’entreprise 8 Structure de capital, droits de propriétés et conflits d’intérêts 11 Définition de la structure de capital 11 Théorie des droits de propriété 11 Conflits d’intérêts, origines et faits 13 Les mécanismes de contrôle 14 Les mécanismes de contrôle externe des

(autoritaire, paternaliste, consultatif, participatif) | |les décisions et le processus décisionnel|- Mettre en œuvre un processus de décision plus rigoureux (étapes) | |Chapitre 1. 5 : La gouvernance de |- Faire évoluer le modèle de gouvernance (actionnariale, partenariale) | |l’entreprise | | |chapitre1. 6 : La stratégie

CODE MAROCAIN DE BONNES PRATIQUES DE GOUVERNANCE DES ENTREPRISES ET ETABLISSEMENTS PUBLICS ANNEXE AU CODE MAROCAIN DE BONNES PRATIQUES DE GOUVERNANCE D’ENTREPRISE SOMMAIRE Préambule .................................................................................................................................................... ...................................................................................................................................... ..........................

SYNTHÈSE DE GOUVERNANCEBINAGWAHO Léa, FORGET Julie Synthèse de IMBERT Laura, WEBER Clara principes de gouvernance Hermès International Rapport d’activité 1Introduction 3 I) Une société composée de caractéristiques patrimoniales 3 a) Une entreprise familiale 3 b) Une société cotée sur les marchés financiers 4 c) Un groupe à conception actionnariale 4 II) Le pouvoir exécutif des dirigeants 5 a) Les dirigeants 5 b) Une structure duale 5 c) Un comité exécutif (COMEX) 6 d) La rémunération des dirigeants

en Afrique du Nord 19 21 octobre 2010 19‐21 « La bonne gouvernance bancaire : une condition nécessaire pour le développement » Dhafer SAIDANE Professeur Skema Business School, Professeur, School Université Lille 3 1 La gouvernance : une des questions centrales de ce début de XXIème siècle • Le prix Nobel d’économie d économie 2009 attribué à E. OSTROM et O. WILLAMSON pour leur travaux sur la « Gouvernance G économique q » Recours à des économistes «hétérodoxes»

sont sur- ou sousperformants par rapport aux fonds traditionnels, mais plutôt en privilégiant les articles qui proposaient de nouvelles questions ou pistes de recherche telles que la commensurabilité des critères environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG), la labellisation, le rôle de l’ISR pour les investisseurs particuliers ou l’ISR et les PME entre autres. Comme le soulignent Capelle-Blancard et Monjon (2012), une attention probablement trop grande a été portée à la question de DOI:10.3166/RFG