La Hiérarchie Féodo Vassalique

auxquels Dieu a donné mission de gouverner, qu’il a lui-même investisi s du gouvernement. Gouvernement de la cité pour Dieu, pour réaliser la justice de Dieu, objet premier que doivent rechercher les gouvernants. Comte du Palais : Au sommet de la hiérarchie comtale, il préside, en l’absence du roi, le tribunal du Palais. Archichapelain : Principal conseiller ecclésiastique de l’empereur et qui, vu l’importance des relations entretenues avec l’Eglise, tend à devenir le premier personnage du Palais

auxquels Dieu a donné mission de gouverner, qu’il a lui-même investisi s du gouvernement. Gouvernement de la cité pour Dieu, pour réaliser la justice de Dieu, objet premier que doivent rechercher les gouvernants. Comte du Palais : Au sommet de la hiérarchie comtale, il préside, en l’absence du roi, le tribunal du Palais. Archichapelain : Principal conseiller ecclésiastique de l’empereur et qui, vu l’importance des relations entretenues avec l’Eglise, tend à devenir le premier personnage du Palais

que l’empereur Constantin reconnaisse officiellement le christianisme.  En 380, le christianisme devient la religion de l’état, à cette époque l’église d’occident est une institution distincte de l’état romain avec son propre fonctionnement et sa propre hiérarchie et ses règles. Quand l’empire c’est effondré, l’église ne fut pas entraînée dans cette chute, elle est restée la seule forme d’universalité, le seul ciment qui subsiste dans un occident morcelé. L’église va jouer le rôle de conservatoire de la Romanité

vite disparu après Charlemagne. -Lien de fidélité direct reppose sur un sermant prété sur les écritures saintes. Derrière la contrainte politique il y a une contrainte spirituelle. Le sermant de fidélité est ce qui caractérisera le lien féodaux vassalique. Il accélèrera la médiatisation du pouvoir politique. De plus en plus en plus d'intermédiaire de créeront. Si il est vrai que la patrimonialité du pouvoir politique recule et qu'elle est remplacé par un pouvoir de droit publique, à l'échelle locale

3).   Le principe de nationalisation fonctionne à plein. Toutes les terres appartiennent à la cour du Yamato. Les uji disparaissent. Les gens deviennent des unités fiscalisables. Chacun possède un lot de terre à vie, suivant son niveau dans la hiérarchie. Le système prévoit une révision des terres tous les 6 ans pour redistribuer en cas de décès ou de changement de statut. Chacun paye des impôts et des corvées. Parmi les corvées, chacun est tenu d’apporter son riz à la cour, d’où qu’il vienne, et

de l'Empire. Il est l'héritier de l'Empereur romain et ne doit donc pas partager le pouvoir. Les conseillers de l'empereur vont accepter l'idée que le Pape est l'équivalent voire le supérieur du roi mais ne l'est pas pour l'empereur, qui est une hiérarchie supplémentaire. L'empereur n'est pas considéré comme un égal du Pape mais bien comme son supérieur dans l'ordre temporel. Cela posera de nombreux problèmes entre la royauté et la papauté. Les légistes pontificaux considèrent que les Papes sont

des individus variables qui se définissent de façon négative façon aux autres (pas clercs, pas nobles, pas serfs). Il s'agit essentiellement de paysans. L'écrasante majorité" de la pop est paysanne. Les serfs occupent l'échelon le plus bas de la hiérarchie sociale. Les serfs ne sont pas des esclaves mais ont des points communs avec esclaves celui d'être des objets de droit, c'est à dire que le seigneur peut exercer des droits sur eux comme ils pourraient en exercer sur une chaise, il peut les vendre

nouveaux éléments, les milites (chevaliers), apparus avec la mise en place de la féodalité. À partir du 11e siècle, avec la mise en place du système féodal (infra), le “noble”, c’est désormais le châtelain, qui devient le plus haut personnage de la hiérarchie sociale : il est le senior (seigneur) ou dominus, maître incontesté des populations (les “ignobles”, “villains”, “manants”), tant au point de vue politique et militaire qu’économique (infra). Seuls les clercs doivent lui inspirer le respect.

des obligations bilatérales. Ces contrats naissent de la commandatio. Bilatéraux : principe de soumission au maître et de protection et d’assistance. Sous les carolingiens, la notion s’affirme, la commandatio se double d’un serment de fidélité vassalique. De plus en plus la royauté carolingienne s’appuie sur ces liens de dépendance. En 847, le capitulaire de Mersen : chaque homme libre est obligé de se choisir un seigneur. C’est un problème car la situation peut devenir dangereuse pour le Roi car

réelle et l’Empire Romain en tire un bénéfice important : le renforcement des frontières par l’installation des populations nouvelles pour les garder, l’intégration de ces populations dans l’armée romaine (avec possibilité de progresser dans la hiérarchie) En 451, les troupes barbares battent les huns (Attila) A la chute de l’Empire Romain on se dispute le pouvoir. Le recours va venir de la population des Francs (barbares de culture germanique), installés entre la Belgique et le Nord de la France)