La Justice émane Du Roi

chrétienne Intro : études de ces trois influences 1ere partie : période franque 2eme partie : période féodale Introduction I/ LE LEGS DE ROME Le 24 août 410 de notre ère, Rome est assiégée depuis quelques mois et elle tombe aux mains d’un roi germanique, le roi des Goths appelé Alaric, évènement suivi du sac de la ville ; Rome n’avait jamais été prise, une civilisation glorieuse depuis plusieurs siècles allait s’écrouler. Quelle fut l’influence de cet évènement sur la Gaulle ? La gaule va conserver

en participant à ses conquêtes comme général, mais surtout de son fils Alexandre en étant un de ses satrapes. A la mort d’Alexandre en 323 il est l’un des principaux Diadoques en affrontant ses anciens frères d’armes comme Ptolémée. Il se proclame roi en 306 et fonde donc la dynastie Antigonide qui réclame l’ensemble territorial d’Alexandre le Grand, contrôlé par les Diadoques, c’est le contexte géopolitique de notre lettre. Pour le contexte des cités de Téos et Lébédos, Antigone en 315 établit la

Pharaon) . Caractéristique égyptienne : Immense place de la religion dans la justice. (Déesse MAÂT, idéal de justice vers qui tout les égyptien doivent tendre, surtout Pharaon) . Les juges rendent leurs verdict conformément à l’enseignement de MAÂT. Notion première d’équilibre. Par exemple, l’idéal d’après MAÂT est de faire sortir du tribunal les deux parties satisfaites. D’ou la balance comme symbole de la justice (Encore utilisée de nos jours) . L’objectif est de réaliser sur terre l’idéal

vient le droit ? Les sources du droit : tout ce qui contribue à créer l’ensemble des règles juridiques. Qui décide que les règles s’imposeront à la société ? – les hommes qui décident de bien vivre en société, qui impose des règles –les juges, la justice qui va déterminer ce qui est bien de faire et pas bien – les lois. Le droit vient de quelque part, ce n’est pas une création de rien, il y’a forcément un point de départ et une évolution : pas de création ex-nihilo (le néant). Pourquoi on se soumet

(féodalité, privilèges) car ces situations créent des inégalités entre les individus. La DDHC prône l'égalité → on élimine source inégalité, pour garantir cela on donne à l'État le monopole de la production du droit, des lois ET le monopole de la Justice . Cela permet de garantir l'égalité. Au XIX°, l'État à été présenté comme le seul ordre juridique légitime ET souverain. La seule manière d'empêcher le retour à l'ancien régime est de créer l'unité nationale autour de l'État. La centralisation est

prononcé devant l’Assemblée Constituante le 24 Mars 1790. Le peuple français aspire depuis bien longtemps à une nouvelle organisation judicaire. En effet, la justice d’Ancien Régime était l’une des institutions d’où émanaient les reproches les plus virulents. Cependant, il s’agissait de réprobations justifiées, puisque durant cette période la justice était couteuse et inégalitaire. Les multiples degrés de juridiction la rendaient également complexe et peu accessible. De plus, les condamnations étaient

l’administration et du commerce, les bourgeois ont en effet tout intérêt à voir se développer un Etats stable et capable de maintenir la paix. Le peuple suit la même inclinaison : il fait confiance au roi. Le roi ne peut être qu’en sa faveur ; ce sont ses conseillers qui sont mauvais. Dès lors, le peuple a intérêt à ce que le roi soit fort, gouverne en personne et impose sa seule volonté. A. La souveraineté entière et impartagée du monarque 1. De la souveraineté « La souveraineté est la puissance absolue et perpétuelle

l’expression d’un rapport de pouvoirs politique. En bafouant la loi, le criminel porte atteinte au souverain, dont la loi émane directement. Le châtiment est donc l’expression de la vengeance du souverain qui s’exprime sur le corps du supplicié ; plus que de justice, il s’agit de vengeance, dans un duel entre le pouvoir royal et celui qui le défie. Le corps est un champ du pouvoir politique : le roi lave l’affront aux yeux de tous. En effet, le supplice est public, il est une mise en scène, une cérémonie. Le

caractère paternelle et divin. A.La monarchie absolue Le roi régnait sans partage de souveraineté, tenait ses pouvoirs de Dieu et gouvernait sans l’avis du peuple (théorie) Cependant, il existait certaines limites. La théorie monarchique Elle permet de comprendre comment les rois exerçaient. Les derniers rois de la monarchie étaient élevés dans une idéologie absolutiste : le pouvoir ne se partage pas et réside tout entier dans la personne du roi. Le caractère pur ou absolu de la monarchie Cette

la notion d'état (qui a été forgé par les romains ), chaque peuplade est indépendante des autres même si de manières temporaires il peut y avoir des confédérations. Donc l'unité politique est la tribu avec à sa tête le Roi. Donc si il y a plusieurs tribus il y a plusieurs Rois, le roi est un chef religieux et judiciaire donc pas de séparation entre le temporel et le spirituel (revoir ça). Mais le véritable pouvoir appartient à l'ensemble des hommes libres qui forment le Conseil appelé le Consilium