La Liberté Chez Aristote

morale » ce n’Ets pas positif. Propos moralisateurs est également connoté comme péjoratif. Toujours dans l’aspect négatif de la morale ; parait extrêmement lié à la religion. Or, la religion et la morale sont discréditées car ne respecteraient pas la liberté humaine. Distinction

caractérisés par un pouvoir politique fort, par un pouvoir qui limite l’exercice des libertés fondamentales. § 1 : Les formes anciennes de régimes autoritaires A) La classification d’Aristote 1) Les différentes formes de régimes politiques Aristote est l’un des auteurs qui a essayé d’établir une classification des régimes, dit autoritaires. On trouve également une comparaison chez Platon. A la différence de ce dernier, Aristote trouve que le meilleur régime n’est pas forcément le même pour tous les temps

« vent ». grec psyché « âme » « souffle de vie » soma « corps » (qui est le tombeau de l’âme pour Platon) Sens métaphysique : le principe de la pensée, voire la chose pensante (= res cogitans chez Descartes, opposée à la res extensa (corps). L’esprit c’est la csc pour Descartes. Sens psychologique : l’intelligence, par opposition à la sensibilité. La matière et l’esprit s’opposent et se complètent pour former l’ensemble du réel. Opposition

écart entre ce que je suis et les rôles que j’accepte d’endosser. Aussi, cela implique que l’identité engage une dimension morale : y a t’il alors obligation morale à s’inventer sa propre identité ? Devenir soi-même, n’est-ce pas se découvrir comme liberté et chercher à déterminer par soi-même celui qu’on veut devenir ? III.Se découvrir, c’est inventer progressivement qui l’on veut être : A. La construction de l’identité personnelle n’est pas seulement sociale et psychologique. La cohérence

République) et les sciences politiques sont secondes. Les sciences politiques sont nées en réaction à la philosophie politique et à son abstraction. Malgré ce reproche d’abstraction, la philosophie politique qui a commencé avec Platon, et passée par Aristote, Machiavel, Rousseau jusqu’à John Rowls a toujours posé la question du meilleur régime qui n’est autre que celle de Platon. A quoi reconnaît-on une cité juste? Mais de nos jours, science politique et philosophie politique collaborent. 1) La

réalisent chacun à leur manière une idée de la morale. La moralité s'incarne alors dans le monde par l'ensemble de nos droits, devoirs ou lois, en tant qu'ils ont pour but de réaliser dans le monde un principe d'ordre moral tel que la dignité, la liberté, la justice. Se demander si la réalité est utile à la vie sociale peut paraître alors relativement superflu, dans la mesure où il paraît évident que nos rapports avec les autres sont soumis, dans la réalité, à des principes d'ordre moral révélés par

citoyen III) Les critiques émises à l’égard des droits de l’homme _____________ I) Convergence entre des droits de l’homme et des droits du citoyen A) La destination de l’homme est d’être membre d’une Cité (Aristote) > Texte 1 : ARISTOTE <  Aristote distingue lui aussi droit naturel et droit positif. Néanmoins, pour lui, le droit naturel est supérieur au droit positif. Les lois naturelles servent alors de normes aux lois positives.  « L’homme est par nature un animal

sur la nature de l’Homme, mais on se concentre sur le droit de l’Etat, apparaît alors la notion de théorie générale du droit. Dans le sillage de Kelsen, en particulier au 20ème siècle, le positivisme juridique va être l’approche dominante du droit chez les juristes. La théorie générale du droit se concentre sur les principes du droit. Kant propose une digotomie à la fin du XVIIIeS dans les principes métaphysiques de la philosophie du droit, il considère que le droit fait l’objet de deux types

d’emblée aussi en jeu la question du pouvoir -&gt; étymologie du mot « anarchie » -&gt; arché -&gt; absence de pouvoir. - interprétation rigoureuse des thèses philo qui se rapportent au réseau de concepts mis en jeu par la question politique. - Aristote lui-même distingue le fait d’être un animal social d’un animal politique. Cette distinction met en évidence le fait que quoi que l’homme partage avec la plupart des espèces animales le fait d’être prédisposé à vivre en société parmi ses semblables

qui est. Ce qui est, peut désigner aussi bien le monde que soi-même. Ainsi la conscience est la faculté qui nous permet à la fois de nous séparer du monde et de nous-mêmes pour pouvoir ré-fléchir. Quelles sont les conditions de possibilité de la liberté qui existent indépendamment des différentes conceptions que les philosophes peuvent avoir ? On en dégagera essentiellement trois : – disposer d’une conscience ou mieux d’une raison – être en mesure dans l’action que l’on fait de l’effectuer volontairement