La Loi Peut Elle Etre Injuste

d'un mal moindre (plus petit) qu'un autre mal, plus grand? Alors le plus petit paraît préférable à celui qui est plus grand. Mais vous devez problématiser cette évidence de l'opinion qui ne pense pas: - Le mal peut-il être un bien? - Peut-on vouloir le mal La Raison d'état peut-elle tout justifier? (on appelle Raison d'état des considérations d'intérêt politique que l'on invoque pour justifier une décision qui contredit la morale, ce qui est bien pratique pour le politique: autrement c'est

La justice :Peut on transgresser la loi au nom de la Justice? La justice, issue du latin iustitia , de iustus « juste » . Désigne d’après Aristote, un célèbre philosophe Grec, à agir selon la loi, et inversement on considère ce qui est prescrit par la loi, normalement juste. Et la loi, peut avoir deux usages distinct, elle équivaut à la notion de règle où elle relève de la nécessité. Aussi, en droit, la loi émane du pouvoir politique

définitions La loi : SENS LARGE > désigne toute les règles de droit écrite/SENS STRICT > désigne le texte voté par le Parlement Les projets de lois : initiative du Premier ministre. Les propositions de lois : initiative du Gouvernement Ces derniers sont examinés par l’Assemblée Nationale et le Sénat qui peuvent les amender…Lorsque le texte commun est établi, il est promulgué (la promulgation résulte d’un décret du P. de la Rép). Entre le vote et la promulgation, la loi peut être soumise au

Obéir aux lois suffitil pour être juste ? obéir = ‐ respecter ce qui est demandé. ‐ Faire ce que les règles ordonnent ‐ Suivre les ordres ‐ Faire ce qui commandé ‐ Ce n’est pas : désobéir. Lois : ‐ lois naturelles ou physiques : nécessaires et non décidées par les humains. On ne peut pas leur désobéir, car elles s’imposent (on ne peut que les contourner ou les utiliser les unes contre les autres). ‐ ensemble de règles, de normes visant à réguler la vie sociale selon certaines valeurs

soi-même (indépendance d’esprit : penser par soi-même) * Aimer : Sentiment d’affection et d’attachement envers un être ou bien dans notre cas, un état qui désigne la possibilité d’action et de mouvement sans contraintes : La liberté. Désir => aspect de notre condition qui peut être jugé fâcheux. Il est aussi pourtant à la source de notre grandeur. * Arguments : POUR | CONTRE | -Car par définition

Le droit peut-il faire abstraction de la morale ? ® Il s’agit donc de s’interroger sur la fonction du droit, sur domaine d’application. Le « peut-il » doit s’entendre en deux sens coextensifs l’un à l’autre : d’abord il s’agit de la possibilité de fait (est-il possible qu’un droit soit indépendant de toute morale ?), mais aussi, et plus profondément, sur la possibilité de droit : un droit qui ferait abstraction de la morale serait-il légitime, c’est-à-dire serait-il encore un droit ? ® Il faut

normatif et social B- Aristote, Rhétorique, I, 13: on peut entendre le terme de " droit " en deux sens différents I- PEUT-ON FONDER LE DROIT POSITIF SUR LE DROIT NATUREL? II-COMMENT ECHAPPER A CE RELATIVISME? COMMENT JUGER, CRITIQUER, LE DROIT POSITIF ? A- D'abord on peut facilement montrer que de telles objections contre le droit naturel ne sont pas tenables B- Une loi juste (légitime en plus d'être légale) est une loi qui puise son origine dans la volonté générale : Rousseau

Explication de texte - Platon, Gorgias, 483b-484 1° Le texte : « La loi est faite par les faibles et par le plus grand nombre. C'est donc par rapport à eux-mêmes et en vue de leur intérêt personnel qu'ils font la loi et qu'ils décident de l'éloge et du blâme. Pour effrayer les plus forts, les plus capables de l'emporter sur eux, et pour les empêcher de l'emporter en effet, ils racontent que toute supériorité est laide et injuste, et que l'injustice consiste essentiellement à vouloir s'élever au-dessus

propre intérêt est encore un merveilleux instrument pour nous crever les yeux agréablement. Il n’est pas permis au plus équitable homme du monde d’être juge en sa cause ; j’en sais qui, pour ne pas tomber dans cet amour-propre, ont été les plus injustes du monde à contre-biais. » p. 68 « La justice et la vérité sont deux pointes si subtiles, que nos instruments sont trop mousses pour y toucher exactement. » 83, p. 68 « L’homme n’est qu’un sujet plein d’erreur, naturelle et ineffaçable sans la grâce

de ne pas respecter à la lettre le droit positif qui est parfois injuste selon les idéalistes, il leur permet de vivre selon leur morale et non des règles édictées par la société. Ce courant idéaliste va donc à l’encontre du courant positiviste qui lui se base sur des règles concrètes, on parle de droit positif, c’est un droit en vigueur à un moment donné et en lieu donné, il s’oppose à un droit idéal qui selon les positivistes ne peut marcher dans la vie réelle, dans la société en général. Selon eux