La Loi Salique 507 511

ainsi tout se qui le touche de près comme ses fonctionnaires et tout se que fait l'empereur acquière une porté religieuse c'est-à-dire statuer à la personne de l'empereur c'est un sacrilège. L’empereur est le dépositaire dune mission il doit être la loi vivante et concentre entre ses main l'ensemble dans me pouvoirs né en moins l'empereur n'a pas un pouvoir absolu vu qu'il est encadré par le droit. Il est donc lié par ses propres lois et celles de ses prédécesseurs l’action de l'empereur doit satisfaire

droit et de loi, peuvent paraître aller de soit. L’état de droit et loi ont des liens réelles mais des liens qui sont trompeurs. Comme le note Pablo Grossi, membre de la cour constitutionnelle italien «  le droit surtout pour qui vit en Europe occidentale a pour horizon la civilisation moderne et apparaît indissolublement lié au pouvoir suprême, au pouvoir politique : l’état. Page sur 1 106 D’ou la tentation de voir le droit comme un commandement qui vient d’en haut, à savoir une loi; la voix

séparation consommé en 1905 avec la loi sur la séparation entre l’Eglise et l’Etat. Il y a 2 grandes conséquences : les ecclésiastiques ne sont plus payés par l’Etat et les lois votées par le parlement n’ont plus à respecter les préceptes religieux. Désormais l’ordre religieux et l’ordre politique sont distincts. L’article 1 de la constitution de 1958 : « La France est une république indivisible, laïque, démocratique et sociale, elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction

romains forgent des maximes, des formules qui seront reprises ensuite même au-delà de Rome, après Rome par tous les absolutistes. Le juriste le plus connu est Ulpien : « quod principi placuit legis habest vigorem » (=ce qui plait au prince à force de loi), « princeps legibus solutus » (=le prince est délié des lois). Ces deux maximes fondent le pouvoir législatif de l’Empereur. Grâce à ces deux maximes, il détient alors d’immenses pouvoirs : chef de l’armée (décide du recrutement, l’armée lui jure fidélité)

le droit serait l'expression de la volonté du législateur, de la volonté générale (DDHC). On regarde les sources. Pour les juristes du 19ème siècle, le droit, c'est la Loi ! Ceux qui avaient découvert la souveraineté nationale étaient convaincus. Mais cette équation n'est pas valable car elle établit un lien entre le droit et la loi, un lien qui est incomplet. Plus tard, on aura une perspective plus large,mais qui s'intéresse j=toujours aux origines. On dira que le droit, c'est aussi ce que dit le

droit). Dans cette vision, le droit c’est surtout « l’expression de la volonté du législateur ». Et pour d’autre juristes surtout ceux du XIX siècle, le droit correspondrait a ce que dit la loi et on voit émerger une parfaite équation (même si elle est pauvre (inexacte)) selon laquelle « le DROIT c’est la LOI ». Cette définition a fait grogner quelque juristes, dès la fin du XIX une perception plus large a été données mais celle-ci reste formelle, selon eux, le droit serait aussi « l’expression

pouvoir : le pouvoir dynastique. Au milieu du 5ème siècle, le roi Mérovée (d’où la dynastie mérovingienne). L’action de Mérovée et ses successeurs rapprochent les Saliens des Rhénans. Un de ses successeur, Childéric (père de Clovis) parvient en 481-511 à rapprocher les deux peuples et obtient une réunification de la Gaule entière. 2- Clovis et l’unification de la Gaule En 481, Clovis devient roi des Francs. Très habile au combat et respecté. Il hérite d’un royaume qui s’étend jusqu’en Belgique

Histoire juridique de la construction de l’ÉtatCe cour s’intègre à l'étude de l'histoire du droit, assister à ce cour, c'est s'intéresser à une partie de l'histoire du droitl'histoire du droit est à côté du droit privé et du droit public, l'un des trois secteurs de la science du droitla science du droit est divisée en 3 secteurs ; l'histoire du droit, le droit privé et le droit publicl'histoire du droit comporte de nombreuses matières dont en seront abordé un certain nombre cette année : l'histoire

montre la Constitution de 1958 en parlant de pouvoir (potestas) législatif et d’autorité (auctoritas) judiciaire. Auparavant, l’auctoritas était bien supérieure au potestas. En effet, dans la conception classique, on rend justice en se servant de la loi ; les normes ne sont que des instruments au service du juge afin qu’il rende la justice. Alors qu’aujourd’hui, les lois sont faites avant que les juges jugent. Quand le roi faisaient des ordonnances, il s’agissait d’instruments pour rendre la justice

montre la Constitution de 1958 en parlant de pouvoir (potestas) législatif et d’autorité (auctoritas) judiciaire. Auparavant, l’auctoritas était bien supérieure au potestas. En effet, dans la conception classique, on rend justice en se servant de la loi ; les normes ne sont que des instruments au service du juge afin qu’il rende la justice. Alors qu’aujourd’hui, les lois sont faites avant que les juges jugent. Quand le roi faisaient des ordonnances, il s’agissait d’instruments pour rendre la justice