La Personnalité Délinquante

jeune est très attaché aux parents et s’inquiète pour sa mère qui est très malade Analyse : «[1] L’enfant délinquant est un enfant qui pose des problèmes par ce qu’il a lui-même des problèmes ». Vu les actes posés par Christian nous voyons très clairement qu’il s’agit d’actes délinquant. Un jeune peut poser des actes de délinquance sans pour autant être délinquant. Bien que Christian ne soit pas dans la « spirale délinquance», on peut considérer par rapport à l’âge et aux actes qu’il

est très précise : il faut, en matière délictuelle, une condamnation définitive suivie d'une nouvelle infraction identique à la précédente ou assimilable à celle-ci, commise dans les cinq ans suivant l'expiration ou la prescription de la peine. Le délinquant en état de récidive légale encourt alors le doublement des peines maximales inscrites dans le code pénal. Aujourd'hui près de 21% des mineurs condamnés font l'objet de récidive légale. Le problème de la récidive a donc une part de plus en plus important

l’on poursuit devant les juges, ceux-là changent en cours de procédure. L’homme qui était un criminel au début ne sera pas le même : sa personnalité aura changé. Le droit pénal s’efforce de connaître cette personnalité et à chaque procédure ouverte, on procède à une enquête de personnalité pour essayer de cerner du mieux que l’on peut les traits de personnalité de la personne à comparaître. Puisque le droit pénal est moyennement armé, il peut avoir le plus grand intérêt à collecter des renseignements

droit pénal n’a pas forcément une connaissance parfaite du criminel. Parfois, on a connaissance d’un crime mais pas de son auteur. Et à supposer même qu’un criminel comparaisse devant un tribunal, son comportement peut s’altérer entre temps, sa personnalité changer entre le moment du crime et le moment où on le juge pour ce crime. Il est donc dans l’intérêt du droit pénal d’arriver à une meilleure connaissance de tout ceci en s’appuyant sur d’autres disciplines qui ne souffrent pas des mêmes lacunes

du système judiciaire. En effet, la récidive est un problème social et culturel , car être en état de récidive, c’est avoir réitéré sa conduite délictueuse. On peut considérer que le récidiviste est plus coupable que le délinquant primaire. En effet, si l’on considère le délinquant comme un patient et le séjour en prison comme une période de soin, on peut prétendre alors qu’il a mal été « soigné ». Selon l’assemblée nationale « aborder la question de la récidive des infractions pénales, c'est donc

Grotius, Kant...). Rapproche beaucoup le droit pénal de la morale. On attache beaucoup plus d'importance à la sanction des infractions intentionnelles qu'à celles non-intentionnelles. On peut dire aussi que la peine sert à la réconciliation du délinquant avec la société puisqu'en purgeant sa peine, il paie sa dette pour le trouble qu'il a causé à l'ordre public. On insiste sur le fait que cela correspond à la sanction d'un individu pour un acte qu'il a commis de lui-même. la fonction de

.................................................. 7 2.2.1. Avant 1912 ............................................................................................................... 7 2.2.2. 1912 : De la punition à la protection des mineurs délinquants ................................ 7 2.2.3. Un modèle protecteur : au service de l’enfant ou de la défense sociale ? ................ 8 2.2.4. La Loi du 8 avril 1965 : protéger les mineurs en dangers ........................................ 8 2

certaines catégories de vol dans les magazins par exemple, le délit de ressel. Ces statistiques nous permettent de mesurer l'activité de la police et de la gendarmerie. Preuve d'une grande prudence à la vue des chiffres. Aucune information sur les délinquants et criminels. Nationnalité, Française ou non. Sexe F ou M. Mineur ou Majeur. La majeure partie sont des hommes majeurs et fr. §2 les statistiques judiciaires faite par la plupart des juridictions française, recueilli par le ministère de la

les efforts qu’il fournit pour faire appliquer les lois sont efficaces et que le mal est pris en charge comme il doit l’être. Quand l’intervenant a le choix de faire appliquer ou non la loi, le critère qui rentre en compte peut être l’attitude du délinquant. Si ce dernier est respectueux, le représentant de la loi peut arranger les choses. Si le contrevenant est irrespectueux, des sanctions peuvent être établies. Dans la vidéo « police et polissons », Mr Libert essaye de faire respecter des règles

pour son soutien financier sans lequel ces trois manifestations n'auraient pu voir le jour. Synthèse des travaux : Catherine VOURC'H Mise en écriture : Jean-Pierre MERIEL 1 SOMMAIRE Préambule page 5 Question 1 : Qui devient délinquant ? 1-1 L'approche sociologique 1-2 L'approche psycho-analytique 1-3 Les 4 grands paradigmes de la délinquance juvénile page 6 Question 2 : Qui vole un œuf vole un bœuf ? 2-1 La récidive : quelle réalité ? 2-2 La récidive : quelles raisons