La Prépondérance Présidentielle

sociale. Le gouvernement provisoire fait procéder à l’élection d’une assemblée constituante. En 1946, la constitution qui fonde la IVème république est adoptée. Cette constitution est proche de la IIIème République. Cette constitution donne la prépondérance au parlement qui élit le président, investit le gouvernement et peut à tout moment le renverser (motion de censure). De Gaulle est contre cette constitution (le régime des partis), il se retire de la vie politique et fonde une organisation de Gaullistes

orléaniste de la Constitution de 1875, faisant du président un chef d'État semblable à un souverain constitutionnel. Dualité du pouvoir Les lois constitutionnelles de 1875 donnent ainsi lieu à une ambiguïté du système républicain quant à la prépondérance d’un des pouvoirs, entre le législatif et l’exécutif. Tous deux suivant la règle démocratique, les parlementaires comme le président de la République sont élus au suffrage universel pour 7 ans chacun (loi du septennat de 1873). Ce qui pose un problème

siège sans jury. Le juge est l'arbitre des faits en litige et décide si la preuve est crédible et si les témoins disent la vérité. Il applique ensuite le droit aux faits en question afin de décider si une réclamation civile est établie selon la prépondérance des probabilités ou, en matière criminelle, si la culpabilité de l'accusé est prouvée hors de tout doute raisonnable. Toute personne passible d'une peine d'emprisonnement d'au moins cinq ans a le droit, en vertu de la Charte, de demander un

universités et associations). Aussi ce qui domine est la notion de consensus au sein du régime. 2. La démocratie tutélaire, soit un régime politique qui présente certains des traits de la démocratie politique mais avec des différences : prépondérance de l’exécutif, des libertés politiques moins garanties,... Dans ce régime, l’opposition est permise mais est plus faible et son rôle d’alternance est moindre de même qu’on observe une légère politisation des appareils. Et enfin, le tissu associatif

par la Constitution. S'ajoutent encore d'autres facteurs variés, de nature historique, idéologique ou culturelle. Enfin, il existe différents types de régime, les trois principaux étant le régime d'Assemblée, le régime parlementaire et le régime présidentiel. En 1875, trois lois sont adoptées, et forment la Constitution de la Troisième République. Elle sera décrite comme « l'œuvre de monarchistes résignés acceptée avec tristesse par les républicains » ; en effet, les conditions particulières de son

sont prévus. Le parlementarisme prend souvent la forme d’un régime parlementaire, et il apparaît comme le symbole d’un régime à séparation souple des pouvoirs, par opposition au régime à la séparation stricte des pouvoirs incarné par le régime présidentiel. Le parlementarisme a  connu de nombreuses contestations, de nombreux problèmes d’efficacité, qu’ont pu révéler divers exemples historiques, dans divers États. Mais si le parlementarisme continue de faire débat, posons nous quelques questions

doit notamment garantir l'intégrité politique et territoriale du pays. Il est notamment chargé de veiller au bon fonctionnement de l’État tant en ce qui concerne les pouvoirs publics que pour ses rapports avec les citoyens. En outre, les pouvoirs présidentiels sont très importants. Toutefois, les pouvoirs du Président de la République dans le droit de la V ème République sont variables selon qu'il y ai ou non une cohésion politique entre le Président de la République et le gouvernement. De plus,

parlementaire et d’autre part le régime présidentiel. Le régime parlementaire étant selon lui caractérisée par une séparation souple des pouvoirs, ou encore une collaboration des pouvoirs. Cette séparation souple ou collaboration des pouvoirs tenant au fait que dans un régime parlementaire les différents pouvoirs publics ont des moyens d’action radicaux les uns sur les autres, ce qui induit nécessairement leur interdépendance réciproque. A l’inverse, le régime présidentiel est un régime caractérisé par

L’exécutif n’était pas à l’abri de la dissolution. Elle ne pouvait prononcée que sous certaine conditions presque impossible à réaliser (article 51). Elle n’avait donc pratiquement pas de valeur juridique. * C/ La force médiatique. La prépondérance du parlement sous la IVème république, empêchait le gouvernement d’entretenir des relations directe ou même semi-directe avec l’opinion publique. Un fort mouvement s’est développé dans cette période car avec les journaux, la radio et la télévision

auront même une influence d'évincement sur les pouvoirs du gouvernement. Les différents présidents succédant à De Gaulle auront tendance à suivre son exemple, bien qu'il comporte en pratique des éléments contradictoires avec la constitution. La prépondérance du président de la république persiste aujourd'hui en France, bien que le chef d'Etat actuel semble être dans l'intention d'attribuer une place plus positive au gouvernement, et en particulier au premier ministre. La première partie envisagée