La Rivalité La Méfiance Hobbes

égaux : cela ne signifie pas qu’ils naissent égaux en force et en talents, mais ces inégalités ne sont pas assez nettes pour autoriser la domination durable d’un homme sur l’autre. Cependant, l’état de nature rousseauiste n’est pas le même que chez Hobbes : n’est pas un état de guerre mais un état de paix et de tranquillité. L’état de nature est un état de paix parce qu’il est un état d’isolement ; il ne peut y avoir de compétition entre des hommes pour lesquels le bonheur se réduit au sentiment de

prophète est un homme qui ne parle pas par ou de lui-même, mais qui a été choisi pour être la voix d’un autre, pour transmettre le point de vue d’un autre, qui est Dieu. (Attention, prophétisme biblique et non magique comme celui des grecs) §3. Une méfiance à l’égard de la démarche rationnelle Ni la Tora, ni l'Ancien testament ne cherchent le sens dans la raison, au contraire, refus de la démarche exclusivement rationnelle : cf. le Livre de Job « Que le sage ne se vante pas de sa sagesse ! Que

l'assimilisation et de la négation de ca différence . a) La rivalité et la méfiance Thomas Hobbes a écrit le léviathan qui est un ouvrage politique . Dans cette œuvre Hobbes observent une distinction entre ce qu'il appelle l'êtat de nature et l'êtat politique . Pour lui avant de vivre dans un Etat de droit les Hommes vivaient éparpié dans la nature . Ce qui carractérise cet état de nature cet « Un êtat de guerre de tous contre tous » et d'ailleur Hobbes parle de Homme en disant : « Homme est un loup pour

publique B de conco) collective repose sur 3 caracteristique : - indivisibilité (les gens consomme la totalité du feu d’artifice et pa quelque étincelle, on consomme tous la totalité du cours on entend tous les même frase en même temps) - non rivalité => la conso de la totalité de ce B p/ une personne ne prive aucun autre de consommer la totalité de ce B. On ne peut pas exclure les bénéficiaire potentiels . Paul Samuelson prend exple du phare comme B de conso collectif, ces phare rendent service

règles sont-elles alors véritablement juridiques ? C'est cette faiblesse de la sanction qui a amené certains auteurs à penser que ce que l'on appelle droit international public ne serait qu'un ensemble de règles morales. C'est déjà ce que pensait Hobbes au 17ème et on retrouve aussi cette idée au 20ème siècle avec Raymon Arron ou Georges Burdeau. On peut néanmoins observer qu'il y a une forme de consensus autour de l'existence d'un véritable droit international. Aucun Etat ne remet en cause l'existence

siècle : Italie) Princes : période de forte rivalité entre les états italiens, époque de transition, d’émergence des états nations avec l’autorité spirituelle qui est mise en cause. Il dit que les états sont préoccupés par le seul désir d’augmenter leur pouvoir, leur influence et leur puissance : ils vivent dans une anarchie : rapports qui se traduisent par le conflit : pour arriver à leur fin : 2 stratégies : la diplomatie et la guerre 17ème siècle Thomas Hobbes : Léviathan : pour lui c’est la loi de

Section 2 : la nécessité de la loi Dieu a voulu soumettre les hommes à une loi, car une liberté sans bornes serait dangereuse pour l’humanité elle-même. La liberté est « la faculté interne de faire ou ne pas faire ce que l’on juge à propos ». Comme Hobbes, il défend l’idée selon laquelle une liberté absolue ne conviendrait qu’à un être parfait : Dieu. Dieu n’est soumis à aucune obligation, il dicte lui-même sa loi. Cette obligation ne pèse que sur les hommes ; Dieu leur a donné une âme capable de

sur les peintres et les plus connus sont Rambrant, Rubens, Gensens. *En ce qui concerne l’Angleterre, c’est l’époque Elizabetta (en référence à la reine, déjà morte) et il y a de très grands romanciers comme John Mayton. Et il y a aussi bcp Thomas HOBBES qui écrit le Léviathan en 1751 et John LOCK qui écrit son œuvre majeure : essais sur l’entendement humain. * Crise démographique : c’est une caractéristique du siècle importante pour les historiens démographes car l’Europe se dépeuple alors

transmission de pouvoir. On a institutionnalisé la façon d’accéder et de demeurer au pouvoir. Le processus a commencé au sein même des familles régnantes dans la mesure où la succession d’un chef n’était plus synonyme de période d’instabilité, de guerres de rivalité. Dans ce cas précis, on a parlé de pouvoir institutionnalisé pour signifier l’établissement de règles claires et stables qui non seulement aménagent la procédure d’accession au pouvoir mais aussi et surtout différencient celui qui exerce le

décision et pas le respect de la loi. L’invention d’un ordre nouveau, la décision ; Etat libéral : discussion, délibération. CS : la guerre a donné naissance à une entité nouvelle capable de contrôler toute la société. Cet Etat total = le Léviathan de Hobbes avec l’efficacité technique en plus ; incarne la souveraineté, décide de l’état d’exception (suspension du droit par l’autorité souveraine). 1933 : arrivée de Hitler au pouvoir : libéraux, catholiques et socialistes assimilent le nazisme et le communisme