La Segmentation Chez Nivea

Laurent ou Dior ont eu besoin de rajeunir leur image de marque pour conquérir de nouveaux consommateurs. Dior a particulièrement bien réussi ce passage avec l’embauche du styliste John Galliano, qui a su donner un coup de neuf à la marque. 1-2-1 La segmentation des consommateurs : Connaître l’étendue de son marché, identifier les différents types de consommateurs, avoir une idée précise sur leurs motivations et leurs comportements de consommation ne suffit pas à l’entreprise pour répondre de manière efficace

de rumeur,…) sa promotion (PLV : rayon qui attire le regard du client) • le lieu ou la place (de vente) « Dans quel magasin ? » (ex : Carrefour) et « Où dans le magasin ? » (ex : chewing-gum) N.B. : ( Il n’y a pas de C chez Aldi : le distributeur choisit les produits qu’il veut distribuer ( On essaie d’associer le produit à un monde (Ex : les bougies au rayon bougies ou au rayon de Noël). Il y a donc besoin de visibilité du produit. • le prix ou le coût

concernées par cette dimension expérientielle. Avant les consommateurs allaient au Club Med pour l’image que cela reflétait de leurs mode de consommation alors qu’aujourd’hui ils cherchent à vivre des expériences uniques et authentiques (aventure, séjour chez l’habitant, cabane dans les arbres, yourte etc.). Selon l'étude Brand Story & Experience de Denis Bonan, une bonne expérience client permet une bonne performance business. L'étude souligne que ce sont les marques qui parviennent le mieux à créer cet

sur un marché nouveau a. Comment mesurer l’attractivité d’un marché b. Evaluer la demande pour des produits innovants c. L’accessibilité du marché d. Repérer des opportunités page 4 à 17 2 Découvrir des pistes de développements produits a. Segmentation et positionnement b. Les méthodes de conceptions page 18 à 28 3 Mener efficacement le processus de développement de votre nouveau produits a. Evaluer les idées d’innovations b. Développement du projet c. Validation et mise en œuvre du projet

marché des produits de beauté • Ils représentent 64 % des acheteurs de yaourts bio, 42 % des acheteurs de plats cuisinés allégés c- Un nouveau profil de consommation L’existence de caractéristiques et de valeurs communes permettent une segmentation. Le consommateur de plus de 50ans est expérimenté, plus exigeant, globalement aisé financièrement, avec du temps libre et qui a un réel pouvoir d’achat. Cette génération ne se laisse pas berner par de beaux discours, elle est par exemple très

marketing client. « Auparavant, les industriels créaient un produit et le mettaient sur le marché. Soit les clients adhéraient et achetaient, soit ils n’aimaient pas et les produits restaient dans les rayons, relate Charles-Benoît Heidsieck, consultant chez Orga Consultants. Aujourd’hui, le contexte économique hyperconcurrentiel interdit une telle approche. Pour être sûres d’écouler leurs stocks, les entreprises sont contraintes d’écouter et d’anticiper les attentes du marché, et donc du client. » C’est

Figure 2.3. – Marques et recoupement des gammes de produits © Groupe Eyrolles Le problème naît quand l’intersection, la partie commune des marques est trop importante et empêche chacune d’exprimer son identité. Vouloir mettre les mêmes moteurs chez Peugeot et Citroën, c’est handicaper Peugeot, dont l’identité repose désormais largement sur le dynamisme automobile. Lorsque plusieurs marques vendent le même produit, la marque devient caricaturale. Si, sur un plan économique, pour concurrencer l’Espace

1er prix » face aux marques de fabricants Pq ? Parce ce que les produits de distributeurs ont eu une ouverture du marché (ex. Aldi, Lidl) Ex. Chez Delhaize, marque 365 (produit moins cher 365 jours par an) d. La politique de marque  Un nom individuel. Ex. Fanta, Pringles, Yakult  Ou générique = nom couvrant tous les produits. Ex. Peugeot, Nivea Remarque : si produits de catégories différentes = marque ombrelle.  La marque de l’entreprise combinée à des noms de marques individuelles : ex

marketing client. « Auparavant, les industriels créaient un produit et le mettaient sur le marché. Soit les clients adhéraient et achetaient, soit ils n’aimaient pas et les produits restaient dans les rayons, relate Charles-Benoît Heidsieck, consultant chez Orga Consultants. Aujourd’hui, le contexte économique hyperconcurrentiel interdit une telle approche. Pour être sûres d’écouler leurs stocks, les entreprises sont contraintes d’écouter et d’anticiper les attentes du marché, et donc du client. »

modèle pest 2. Les tendances structurelles 7. L’analyse de l’industrie 1. Le modèle des cinq forces 2. Les limites du modèle des cinq forces 8. Les domaines d’activité stratégique 1. Les fondements de la segmentation stratégique 2. Les frontières de la segmentation stratégique 9. La chaîne de valeur 1. La structure de la chaîne de valeur 2. L’analyse de la chaîne de valeur 3. De nouvelles configurations de création de valeur VII 22 22 24 26 26 28 30 30 31 34 34 35 36 Table