La Supérette Discount 2000

diversifiée. En effet, elle se situe principalement dans les grandes surfaces même si d’autres moyens tendent à se développer : – grandes surfaces alimentaires (hypermarchés, supermarchés, dont le maxi-discount) – petites surfaces alimentaires (petits commerces d’alimentation générale, supérettes) – grands magasins non spécialisés (ex. : Galeries Lafayette) – magasins spécialisés (souvent au nom d’une marque) – vente par internet 1.2.4 - La communication media et hors

DÉcEmBRE 2008 .. Dans le cadre de sa politique de valorisation des actifs, le Groupe a annoncé le 3 décembre 2008 deux projets de cessions immobilières : d’une part, il a signé un protocole pour céder à l’OPCI* AEW Immocommercial, 42 murs de supérettes, de supermarchés Casino et de magasins Franprix et Leader Price. Ces derniers continuent à être exploités dans le cadre de baux longs à loyers variables exprimés en pourcentage du chiffre d’affaires. D’autre part, le Groupe a annoncé la cession

extensive. * Les stratégies du challenger L'objectif d'un challenger est d'accroître sa part de marché, au détriment d'un concurrent. Il aura une stratégie d'attaque, ci-dessous neuf stratégies d'attaque concurrentielle: • La stratégie du discount : Elle consiste à offrir le même produit que le leader à un prix plus bas. • La stratégie du milieu de gamme : Elle offre une version plus simplifiée du produit et généralement de moindre qualité. • La stratégie de recherche de prestige : Elle

En En En 1993, 1994, 1995, 1996, 1997, 1998, en Italie et en Turquie au Mexique et en Malaisie en Chine en Thaïlande, en Corée du Sud et à Hong Kong à Singapour et en Pologne en Colombie, au Chili et en Indonésie. Groupe Carrefour 5 1998-2000 : Croissance externe En 1998, Carrefour rachète Comptoirs Modernes, dont il détenait 22,4 %, et met ainsi la main sur environ 500 supermarchés à l’enseigne Stoc, intègrant ainsi le format supermarché, dans lequel il était encore très peu présent[20]

sur la moitié environ de la superficie de la Belgique. Son impact sur l’évolution des paysages ruraux belges est donc considérable.  Nombreuses entreprises agricoles, de petite taille et en diminution constante Lors du recensement agricole de 2000, la Belgique comptait 41.047 entreprises agricoles. La plus grande partie des entreprises agricoles étant des entreprises familiales, elles n’emploient que peu de travailleurs salariés. La succession n’est pas assurée dans de nombreuses entreprises

marché pour les produits destinés aux consommateurs et ménages, en plus des enquêtes faites auprès des importateurs et grossistes, des visites ont été effectuées à un échantillon de points de vente de détail comprenant les grandes surfaces, les supérettes et les épiceries de quartier. Il s'agissait : d'analyser les assortiments de dattes, de produits à base de dattes et de dérivés de dattes proposés à la clientèle (surtout que l’enquête sur le terrain s'est déroulée durant le mois de Ramadan et durant

Portugal Pays-Bas Belgique Grèce Hypermarchés > ou = à 2500 m² 53% 27% 56% 22% 33% 33% 4% 14% 14% Grands supermarchés [1000 m² - 2500 m²[ 23% 18% 21% 19% 24% 24% 42% 47% 24% Petits supermarchés [400 m² - 1000 m²[ 20% 42% 11% 28% 19% 21% 46% 33% 33% Supérettes et magasins traditionnels < 400 m² 4% 13% 12% 30% 23% 22% 8% 6% 29% Source : Nielsen Le tableau ci-dessus ne prend pas en compte le commerce alimentaire spécialisé et l’artisanat commercial qui "font de la résistance". En parts de marché, ils

récent de la grande distribution qui a réalisé 2,8 Milliards de DH en 2006 en termes de valeur ajoutée. Cette dernière bien qu'elle ne représente actuellement que 10% du commerce de détail, force est de constater son essor, et ce dès le début des années 2000. A noter qu’en 1999, la part de marché de cette nouvelle forme de commerce ne représentait qu’à peine 3%1. Ainsi, de quelques unités implantées il y a une dizaine d'années, le Maroc ne compte pas moins de 90 grandes et moyennes surfaces aujourd’hui2

considérations. I : Etude documentaire Même si le commerce moderne ne représente au Maroc qu’à peine 10 % du commerce de détail, force est de constater le rythme rapide d’implantation des formes modernes de commerce à partir du début des années 2000. Cette implantation couvre tout le territoire, notamment les grandes villes aussi bien à la périphérie que désormais au cœur des quartiers urbains. Les processus de privatisation en cours et qui ont débuté fin des années 80, les concessions de services

  2ème niveau: lʹentrepôt   Le contrôle de la gestion des stocks.   Le  contrôle  des  modes  dʹencaissement  particuliers  selon  la  nature  (bons  de  réductions, bons cadeaux, timbres ristournes. ..).         3ème niveau: peut être soit   le magasin Supérette :    La réception marchandise ;   Le contrôle des factures ;   Le contrôle des recettes ;   Lʹinventaire.     À ce niveau et pour les magasins donnés en gérance, les principaux documents de  contrôle utilisés sont :     Les  comptes  de  gérance