La Supérette Discount 2000

prendre l’exemple de la Fromagerie de la Meix qui transforme du lait issu uniquement de l’agriculture biologique sous la marque Biogam. Elle faisait embouteiller son lait bio par une société située près de chez elle qui malheureusement a dû fermer en 2000. Cet incident a failli être catastrophique pour la fromagerie qui n’avait pas les moyens de subvenir aux coûts entraînés (de transport car prestataire loin géographiquement, de stockage…) ; et avec l’aide de Biogam, ils ont investi dans un outil de

dessous du prix moyen). En sens inverse, on est dans les prix d’écrémage. On peut aussi s’aligner sur les prix des concurrents et prendre un prix moyen. Au contraire, on peut rentrer dans un prix discount (systématiquement moins chère que les grands distributeurs). À coté de sa, il y a les hard discounter qui vend encore moins chère. À ce moment là, on a les prix stay out. Ce sont des prix tellement bas qu’il décourage les concurrents potentiels de rentré sur le marché. Le prix put out sont des predatory

et étend ses activités au niveau international. 1997 : Programme de recentrage sur trois métiers prioritaires à vocation mondiale (produits laitiers frais, boissons et biscuits). 1999 : Désengagement dans le secteur de la bière en Europe. 2000 – 2006 : - Acquisition de l'américain Stonyfield Farm, leader mondial du yaourt biologique. - Investissement dans les jus de fruits en Chine et rachat d'eaux et de laitages un peu partout dans le monde. - Développement de produits abordables

 distribution,  la  distribution  sélective,  et  la  distribution  spécialisée.     Tout   d’abord,   nous   retrouvons   les   supérettes,   les   hyper   et   supermarchés   (Carrefour,   Auchan,   SuperU)   qui   proposent   des   cosmétiques   discount,   mais   aussi   de   grandes   marques   (l’Oréal,  Garnier).   Ensuite,   nous   avons   les   parapharmacies,   salons   de

259 24 697 296 23 250 920 Part 8,7% 8,5% 9,3% 9,3% 9,2% 9,0% 9,3% 9,2% 8,6% 8,9% Évolution des valeurs hors taxes départ Champagne 350 300 250 200 150 100 50 0 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 5000 4500 4000 3500 3000 2500 2000 1500 1000 500 0 Volumes (en millions de bouteilles de 75 cl) Valeur HT (en millions d’euros constants 2010) Évolution des parts de marché Part des cinq premiers opérateurs sur l'ensemble des expéditions 5 premiers 27,7 % Autres 72,3 %

1 de la circulaire du 16 mai 2003. (3) Voir p. 97. (4) Rapport de la DGCCRF sur les pratiques tarifaires (BOCCRF, no 1 du 12 janvier 1991). La réforme de 1996 35 1998 Marges arrière en % du prix net facturé Source : ILEC 1999 24 % 2000 27 % 2001 29 % 2002 30 % 2003 32 % 22 % Ces chiffres, qui reflètent une moyenne, toutes catégories et tous fournisseurs confondus, ne traduisent pas les différences sectorielles. Les marges arrière sont variables selon les catégories

noter que, dans l'esprit du M. QMICHCHOU 21/48 Merchandising consommateur, une décoration raffinée correspond à des marges élevées. Le cadre du point de vente doit donc refléter le positionnement du magasin (ex. : style entrepôt chez les discounters, aménagement haut de gamme pour les boutiques cadeau ou les parfumeries). Le distributeur doit en outre veiller à la propreté du magasin (pas de palettes encombrant les rayons) et à la sécurité de la clientèle, ce qui nécessite le recours à un personnel

du métier de prestation logistique. Il convient de rappeler que c’est à partir de 1995, qu’on assiste en Europe à l’élargissement de la demande logistique, l’organisation de ce métier et à un mouvement de grande concentration. De sorts qu’en l’an 2000, le paysage Français de la logistique est devenu différent de celui qui prévalait en 1995. Aussi, neuf prestataires réalisent-ils un chiffre d’affaires logistique de plus de 153 M d’Euros et représentent 45% du marché Français de la logistique, estimé

opportunités pour améliorer de façon constante sa rentabilité. On a ainsi assisté à la transformation profonde des techniques de gestion et de logistique, l’informatisation de l’encaissement, la création des marques de distributeurs et des magasins discount, les stratégies de fidélisation de la clientèle, les tentatives de diversification dans les services… Toutefois l’essor de la distribution en magasin connaît un ralentissement depuis plusieurs années déjà. Dans un contexte de moindre progression

MDD sont présentes dans la quasi-totalité des rayons et tendent à s’implanter petit à petit dans des secteurs inexploités comme le bâtiments par exemple. On les retrouve également dans tous les types et formats de magasins, de l’hypermarché à la superette en passant par le supermarché ou la grande surface spécialisée. En conclusion les MDD sont aujourd’hui indissociables aux grandes enseignes. Elles leur permettent d’augmenter leur revenu, de diminuer le pouvoir de négociation des producteurs