La Vente Civile

auxquelles la Cour de cassation, dans un arrêt de la 1ère chambre civile du 8 décembre 2009, a tenté de répondre. En l'espèce, un individu a acheter, dans le cadre d'un vente aux enchères, une coupe en cristal sur catalogue. Lors de la livraison de celle-ci, l'acheteur a refusé de réceptionner l'objet et de le payer prétendant que l’objet acheté sur le catalogue ne correspondait pas à la réalité. La société qui avait organisé la vente aux enchères assigne l'acheteur en paiement de la somme correspondant

être rattachée à la vente du château, immeuble ? L’article 516 du Code civil impose de distinguer entre les meubles et immeubles. Le critère de distinction est un critère de fixité. Si la chose est susceptible de se déplacer ou d’être déplacée, elle est en principe meuble. En l’espèce, les statues devraient en principe appartenir à la catégorie des meubles en ce qu’elles sont susceptibles d’être déplacées. Si elles sont qualifiées de meubles, elles ne rentrent pas dans la vente de l’immeuble, du

Mais deux mois après la vente définitive de l’appartement, il revient sur Lyon et est surpris de constater que Monsieur Y habite dans son appartement. Il ne se souvient pas avoir conclu cette vente. Il en informe ses enfants qui, face à cette dilapidation du patrimoine familial, décident de consulter un médecin. Monsieur X est diagnostiqué atteint de la maladie d’Alzheimer. La question posée par les enfants de Monsieur X est de savoir s’ils peuvent remettre en cause la vente de l’appartement de Lyon

Classification des biens en droit civil français La notion de bien n'est pas définie dans le Code civil. Néanmoins, il y a accord sur le fait qu'un bien est d'une manière générale une chose susceptible d'appropriation. L'avant-projet de réforme de droit des biens de l'Association Henri Capitant apporte des précisions utiles. Outre les choses corporelles, il indique que sont des biens les choses incorporelles ainsi que les droits réels et personnels (article 520 de l'avant-projet). Quoi qu'il en

distinction des activités civiles et commerciales L’application du droit des procédures de traitement et de liquidation des entreprises (la faillite) a caractérisé le droit commercial et les professions commerciales. La loi du 13 juillet 1967 soumet aux procédures de règlements judiciaires et de liquidation des biens « tout commerçant, toute personne morale de droit privé (les sociétés) même non commerçante », tel que les associations, les syndicats et les sociétés civiles se trouvaient désormais

l’erreur invoquée par les époux Saint-Arroman n’est pas prouvée, de plus l'erreur doit être appréciée au jour de la vente. les époux Saint-Arroman sont déboutés de leur demande. >Cour de cassation : Les époux Saint-Arroman se pourvoient en cassation. la cour de cassation estime qu'en statuant comme la cour d’appel l’a fait, c'est-à-dire sans rechercher si, au moment de la vente, le consentement des vendeurs n'avait pas été vicie par leur conviction erronées que le tableau ne pouvait pas être

droit des obligations, les obligations » précis Dalloz. Flour et Aubert « les obligations » volume 1 « l’acte juridique », volume 2 « le fait juridique. « Les grands arrêts de la jurisprudence civile » Dalloz tome 2. Revue : Le recueil Dalloz. La semaine juridique (JCP). La revue trimestrielle de droit civil. La chronique de Jourdain. La revue « droit des contrats ». INTRODUCTION GENERALE A L’ETUDE DU DROIT DES OBLIGATIONS : L’obligation est le lien de droit qui unit deux personnes. La circulation

Droit Civil 11 Septembre à l’examen dure 1h, normalement un écrit et oral en cas de rattrapage. que des questions de cours. Droits des obligations = droit des contrats Introduction : L’obligation au sens juridique est un terme qui peut paraitre trompeur. Dans le langage courant, on peut considérer qu’une personne est obligée alors que même juridiquement parlant il n’y a pas d’obligation et donc que la situation de relève pas du droit des obligations Les sources du droit des contrats Les

loyers Assemblée Nationale Article Bulletin civil des arrêts de la Cour de cassation Cour d’Appel Code civil Cour de Cassation Chambre Chapitre Chronique Commentaires Dalloz Répertoire Defrénois Doctrine Edition Encyclopédie Fascicule Gazette du Palais Ci-dessous Informations rapides de la copropriété Jurisprudence Semaine juridique Semaine juridique édition Générale Semaine juridique édition Notariale Civ.1ère ,2ème ,3ème : 1ère ,2ème ,3ème Chambres civiles de la Cour de Cassation J.O. : J.O.A

Cour de Cassation chambre civile 3, 17 janvier 2007 L’article 1108 du code civil définit les quatre conditions de formation du contrat : le consentement des parties, la capacité à contracter, un objet certain et licite et enfin une cause licite dans l’obligation. On considère souvent le consentement comme la première et la plus évidente des conditions de validité d’un contrat. Le consentement est définit comme l’adhésion (acceptation) d’une partie à la proposition (offre) faite par l’autre, le