Le Citoyen Doit Il Obeir Ou Resister

des plus anciennes questions de la philosophie: c'est l'une des questions posées par Socrate à ses interlocuteurs, qu'ils soient de condition libre ou servile, qu'ils se prétendent experts, comme les sophistes par exemple, ou qu'ils soient simples citoyens de la cité. "qu'est-ce que le juste?" ou "qu'est-ce qu'être juste?", "qu'est-ce que le vrai?" Or ces deux questions en apparence très éloignées sont en fait étroitement apparentées car la justice ne peut être rendue sans que ne soit établie la

la liberté d’autrui et finit par engendrer la guerre, les rapports de force violents, ce qui mène à l’opposé de la liberté. -Faire ce que l’on veut peut conduire à créée des dépendances, à perdre tout con trôle sur son désir, à être incapable de résister à la tentation comme ces enfants gâtés qui sont en proie aux caprices. C’est pourquoi nous devons chercher une définition de la liberté, meilleure que celle là. Qu’est –ce que la liberté ? I) Le problème du libre arbitre. - Le libre arbitre :

les droits des sujets du droit. Chaque être humain a des droit; il y a aussi des personnes morales (associations, …) qui sont aussi reconnus sujet du droit. Les sujets du droit ceux sont des personnes, des sujets qui ont des droits, ils doivent obéir aux règles de droit mais ont aussi des prérogatives que leur offre le droit. Le droit c'est aussi une discipline scientifique au sens de sciences sociales. A) LE DROIT OBJECTIF COMME ENSEMBLE DE REGLE Il faut se demander qu'est ce que c'est

nature qui devrait être la véritable loi à part entière. C'est grâce à la loi naturelle que ce sont les plus forts qui devraient commander et diriger les plus faibles. C’est donc à ces gens-là que le pouvoir doit être donné selon Calliclès, pour diriger tous les autres qui eux doivent obéir. D’où le fait que pour lui commettre l’injustice est meilleur que la subir, et le mal absolu est d’être puni. Pour vivre droitement, il faut laisser croitre au maximum les désirs et c'est pour les satisfaire

actions des hommes sont réglées par le droit Le pouvoir politique est celui qui imprime au groupe tout entier une impulsion, ce qui suppose une représentation de son but Questions: Quelles fins assigner aux sociétés politiques? Excellence du citoyen? Ordre ? Coexistence des libertés? Nous avons plus haut évoqué la conception d'Adam Smith: Admettre que le fondement du lien social est économique et que les égoïsmes contribuent en s'auto-régulant à construire la prospérité commune le conduit à

réside dans l’absence de contraintes. Autrement dit, le sujet (dans la question proposée) et les médias sous-entendent  une conception individualiste de la liberté.  Mais est-ce que cette définition spontanée de la liberté résiste à l’examen ? N’aboutit-elle pas à des conséquences tragiques ? PREMIÈRE PARTIE : OUI, ÊTRE LIBRE, CE SERAIT FAIRE TOUT CE QUE L’ON VEUT.Premier argument : Quand on part de la définition basique de la liberté, c’est à dire qu’on pense la liberté

hommes vs femmes, mémoire vs oubli, passé vs futur, raison vs passion. Parodos (entrée du chœur):Recul par rapport à l’action (tendu à relaxe), nous avons vu le point de vue des personnages de l’œuvre. Maintenant c’est le point de vue des citoyens. Les gens sont contents parce que la guerre est terminée et Thèbes est sauvée donc c’est l’heure des célébrations. Il y a une forme de renouveau/nouveau cycle. Il y a un nouveau dirigeant (Créon), il veut inaugurer un nouveau cycle politique. Il

peut être PHYSIQUE (une force supérieure à la mienne me contraint à la soumission), alors que l'obligation est d'ordre JURIDIQUE (c'est un « lien de droit » disait-on à Rome) ou MORAL. Par exemple, un panneau « Stop » signale à l'automobiliste qu'il doit obligatoirement s'arrêter, tout en lui laissant la possibilité physique de foncer droit devant lui, au risque de causer un accident et d'encourir une sanction légale ; lorsque, en revanche, la barrière d'un passage à niveau est baissée, les conducteurs

dans la conception juive est celui qui est extérieur au monde. Les jugements des hommes ne valent que temps qu’ils sont conformes aux lois divines. Par conséquences les lois divines sont des ordres. Observer les règles juridiques c’est leur obéir. L’ordre dans la conception est « je donne et j’obéis » ; l’ordre du monde ne vient pas de lui même il est extérieur, le monde est en bon ordre si les hommes respectent le commandement de Dieu, si on y obéit pas le monde n’est que désordre et anarchie

Commentaire de texte 1 : Déclaration des Droit de l'Homme et du Citoyen droit de l'Homme : droits inhérents à la nature humaine, antérieurs et supérieurs à l'Etat droits naturels : droits inhérents à la nature humaine, déduits et analysés par la raison. Pouvoir législatif : pouvoir de créer la loi pouvoir exécutif : pouvoir de faire appliquer la loi citoyen : individu jouissant, sur le territoire d'un Etat, de droits et de devoirs monarchie absolue : le roi concentre tous les pouvoirs