Le Droit De La Consommation Au Maroc

l’entreprise KIA MOTORS : 1-Kia Motors Corporation 1. Fiche technique 09 1-2 Présentation de la société 09 1-3 Dates clés 10 2-Kia Motors Maroc : 2-1 Fiche technique 12 2-2 Présentation de la société. 12 3- La succursale Kia Motors d’Agadir 3-1 Fiche technique 14 3-2 Organigramme 15

automobile 4-Les lacunes dont souffre le secteur 5 5 6 7 Deuxiéme partie : Présentation de l’entreprise KIA MOTORS : 1-Kia Motors Corporation Fiche technique 1-2 Présentation de la société 1-3 Dates clés 09 09 10 1.1 2-Kia Motors Maroc : 2-1 Fiche technique 2-2 Présentation de la société. 12 12 3- La succursale Kia Motors d’Agadir 3-1 Fiche technique 3-2 Organigramme 3-3 Les produits • Voitures neuves • Piéces de rechange • Entretien 3-4 3-5 3-6 3-7 14 15

CDG Capital Recherche et Analyse Analyse Macroéconomique - Maroc Avril 2011 Déficit 2011: Quelles solutions pour le Trésor ? Le Trésor arrivera-t-il à combler son déficit en 2011 ? 2011 : Contexte international difficile Une projection de 5% de croissance marocaine en 2011 selon la Loi de Finances Le déficit commercial se stabilise grâce à la reprise des exportations de phosphate La sous-liquidité pèse sur l’Economie Les prix pourraient repartir en hausse en 2011 Les matières premières

|les accords économiques entre le Maroc et l'union européenne | | | | | | | | | |Travail réalisé par :

sa politique commerciale en 2003, le Maroc a continué à réformer ses politiques sectorielles, avec des progrès notables dans le secteur des services. Son économie reste relativement diversifiée. L'agriculture y joue un rôle clé, surtout en terme d'emploi. Elle reste le secteur le plus protégé, avec des taux de droits de douane ad valorem s'élevant jusqu'à 304 pour cent, même si la moyenne a baissé de 40 pour cent en 2003 à 29 pour cent en 2009; des droits variables sont appliqués aux céréales

Analyse financiére |CREDIT DU MAROC | Elaboré par : Année Universitaire : 2011 / 2012 PLAN Chapitre 1 : Présentation de CREDIT DU MAROC 1-Secteur d’activité bancaire. 2-Présentation du CDM. 3-Politique et stratégie du CDM. 4-Faits marquants de l’année. 5-La stratégie a l’horizon 2014. 6-Environnement et concurrence

pour leur apparence. Par exemple, FHM connaît une progression spectaculaire de 36.7% par an depuis son lancement en 1995. Ce changement d’attitude vis-à-vis de la santé et du bien être qui se traduit par les milliards de dollars dépensés dans la consommation de produits et services d’activités physiques. Ainsi, les hommes se conforment de plus en plus à certains modèles de beauté et sont plus sensibles aux produits permettant d’améliorer leur apparence, tels les cosmétiques. Ceci se traduit par l’utilisation

pour leur apparence. Par exemple, FHM connaît une progression spectaculaire de 36.7% par an depuis son lancement en 1995. Ce changement d’attitude vis-à-vis de la santé et du bien être qui se traduit par les milliards de dollars dépensés dans la consommation de produits et services d’activités physiques. Ainsi, les hommes se conforment de plus en plus à certains modèles de beauté et sont plus sensibles aux produits permettant d’améliorer leur apparence, tels les cosmétiques. Ceci se traduit par l’utilisation

N° 8 - 1er trimestre 2011 Publication officielle du Centre Anti Poison du Maroc Ministère de la santé Maroc l’intoxication par les drogues - N° 8 - 1 Toxicologie Maroc au Maroc Dossier spécial er trimestre 2011 - 1 Edito Le difficile et l’urgent combat contre la toxicomanie Directrice de Publication Pr Rachida Soulaymani Bencheikh Comité De RéDaCtion Rédactrice en Chef Dr Naima Rhalem Secrétaire de rédaction Mme Rachida Aghandous Rubrique institutionnelle Dr Hanane Chaoui

ROYAUME DU MAROC ----PREMIER MINISTRE ----- CONSEIL DE LA CONCURRENCE REALISATION D’UNE ETUDE SUR LA CONCURRENTIABILITE DU SECTEUR DE LA TELEPHONIE MOBILE Rapport de synthèse Version mai 2011 Etude de concurrentiabilité du secteur de la téléphonie mobile – Synthèse 1/36 Sommaire RESUME .................................................................................................................................................................. 3 PARTIE 1. LIBERALISATION ET