Le Gage Et La Caution

..................................................... page 17 Fiche 9 : Le gage ou le nantissement de biens mobiliers....................................... page 18 Fiche 10 : L’hypothèque........................................................................................ page 19 Fiche 11 : Le nantissement de créances ................................................................ page 21 Fiche 12 : Les cautions ...........................................................................

s Article 138 :  Le  créancier  à  terme  peut  prendre,  même  avant  l'échéance  du  terme,  toutes   mesures  conservatoires  de  ses  droits  ;  il  peut  même  demander  caution  ou  autre  sûreté,  ou   procéder  par  voie  de  la  saisie  conservatoire,  lorsqu'il  a  de  justes  motifs  de  craindre  la   déconfiture  du  débiteur  ou  sa  fuite

débiteur ne disposant pas d'une solvabilité suffisante, d'obtenir néanmoins un prêt en offrant au créancier la garantie d'un tiers (caution), lequel s'engage à payer la dette en cas de carence du débiteur à l'échéance. Le cautionnement a donc essentiellement sa source dans les contrats de prêt, mais il peut résulter également d'une disposition légale (par exemple, caution judicatum solvi, que le plaideur étranger doit fournir pour agir devant une juridiction française, pour garantir le paiement des

être responsable du préjudice subi du fait des concours consentie. [...] [...] La différence doit être versée au débiteur ou s’il existe d’autres créanciers gagistes, à ces autres créanciers. Exemple : Dette de 2000 euros, un tableau est mis en gage, le juge l’estime à euros, le créancier gagiste devra ainsi reversé 8000 euros au débiteur. Si le débiteur est soumis à une procédure collective, l’attribution judiciaire peut également être demandée. Le créancier gagiste ne pourra pas mettre en oeuvre

personnes physiques bénéficient des techniques de protection du droit de la consommation à savoir, la mention manuscrite et la limitation de l’engagement. La loi du 31 décembre 1989 s’applique aux personnes physiques qui se portent caution d’un consommateur de crédit. La caution qui s’engage par acte sous seing privé doit écrire de sa main une mention dictée par la loi, « et uniquement celle-ci », lui expliquant le sens de son engagement et surtout comportant un plafond chiffré couvrant le paiement du

dispose que des ressources du droit commun des obligations. 1) L'efficacité apparente des garanties de droit commun. Le créancier chirographaire dispose d'un droit de gage général sur le patrimoine de son débiteur, et de diverses actions lui permettant de faire réintégrer des biens dans le patrimoine de son débiteur. a_ Le droit de gage général du créancier chirographaire (art.2092 et 2093 c.civ.). Le créancier est en droit de saisir et de faire vendre n'importe quel bien figurant dans le patrimoine

est un contrat par lequel une personne garantit l’exécution d’une obligation, en s’engageant envers le créancier à satisfaire à cette obligation si le débiteur n’y satisfait pas lui-même » C’est l’obligation par laquelle une personne appelée « caution » promet de payer si le débiteur principal faillit à son engagement. C’est aussi un engagement qui doit être obligatoirement concrétiser par un écrit sur lequel doit être défini avec soin et précision les caractères de l’obligation. Il existe deux

nombreux mécanismes permettant à la caution qui a réglé la dette d’assurer son recours contre le créancier. En effet, le droit romain exigeait la cession des droits du créancier à la caution qui avait réglé la dette. Le Code civil s’est alors inspiré de ce mécanisme dans deux articles. L’article 2306 permettant à la caution d’être subrogée dans tous les droits du créancier. Et l’article 2314 qui sanctionne le créancier qui par son fait empêche le recours de la caution. Le législateur confère donc une

Ligne de crédit - 13 - D. Les crédits consortiaux - 14 - 2) Les garanties envers les institutions financières - 14 - A. Les garanties réelles - 14 - L’hypothèque - 14 - Le gage - 15 - B. La garantie personnelle - 16 - C. Les garanties morales - 17 - Engagement de non retrait - 17 - Maintien de l’actionnariat - 17 - Lettre de patronage

(le fait de devoir). On peut avoir l’un sans l’autre et l’autre sans l’un. On peut avoir le devoir sans la contrainte dans le cas des obligations naturelles. On peut aussi avoir la contrainte sans le devoir dans le cas ou on se porte garant d’une caution : les parent par rapport à l’appartement. Une obligation est un lien de droit (donc il y a attachement or il y a le verbe latin ligare) quand un lien est soulevé car le débiteur a payé le créancier, il y a eu solutio donc il sera solvable. Ø La première