Le Néo Taylorisme

et Max WEBER ( 1864-1920) avec ses importants travaux sur la Bureaucratie. - L’école des relations humaines, née dans les années 1930 aux Etats Unis d’Amérique en réaction contre l’école classique et ses insuffisances. Elle affirme, contre le Taylorisme, le rôle essentiel du facteur humain et relationnel dans la détermination de la productivité économique. Elle réintroduit les facteurs psychosociaux au cœur de l’analyse organisationnelle, laissant ainsi le champ ouvert à l’application des méthodes

produites (ou de la production en volume) calculé en général sur une période d'un an. 4- les causes des gains de productivité : ( = hausse de la productivité) → l'investissement matériel innovant → Nouvelle organisation de travail (Fordisme / Taylorisme) → Hausse des salaires pour motiver les salariés → Amélioration de la formation 5- les conséquences des gains de productivité : 1) Gains de productivités → baisse des coûts unitaires → baisse des prix de ventes ( si forte concurrence) →

Gamma constituent la classe moyenne voire populaire.    • Les Delta et les Epsilon forment les castes inférieures; ils sont faits pour occuper les fonctions ardues. Ils sont programmés pour être petits et laids.    b) Conditionnement - néo-pavlovien : dissuasion par expériences désagréables c décharges électriques - méthodes hypnopédiques = répétitions de leçons orales durant le sommeil destinés à uniformiser la pensée - tabou : viviparité, maternité, famille ou encore mariage - sexualité :

Limites : Remise en cause des années 60-70’s absentéisme, démotivation… OS vs démocratisation du système scolaire Développement de l’individualisme, émancipation… Oubli des 2 autres sphères de l’entreprise Ex : Les Temps modernes Actualité Néo-taylorisme. Ex : Mc Donald’s ? Ex : audit financier ? 11 Organisation moderne et bureaucratie 3 sources de légitimité Traditionnelle Charismatique Rationelle-légale Mérite, règles, compétences, statut, contrat… Organisation moderne : subordination

règles d’évaluation de l’activité Pour définir une approche particulière de l’organisation beaucoup de grands courants apparaissent, de l’école classique à l’école des relations humaines et aussi l’école de la gestion par les systèmes et l’école néo-classique…..Chaque mouvement essaie de se développer en réaction à celui qui le précède en ajoutant des astuces ou en rectifiant une faille du courant précédant, ce qui a créé une séparation au niveau du choix de flux des organisations. Parmi

productivité augmente. D’autres part, on met en place des indicateurs qui mesurent le travail de chacun. De ce fait, les salariés sont « enfermés dans leurs isolement » par la montée du chômage et mise en compétition les uns avec les autres. * (néo-taylorisme) De nos jours, le but est de produire beaucoup et le plus rapidement possible. Mais ceci n’est pas sans concession. Pour cela, on impose des contraintes de temps aux employés, les tâches se rationalisent (simplification du travail, n’importe qui

matière économique au monde entier Système capitaliste : Recherche du profit, Initiative privé travaillé à son propre compte (Entreprise Tyssen, Symbole du Capitaliste) O.S.T : Organisation scientifique du travail ou dite la méthode Taylor (Taylorisme) conduit à une division extrême du travail, en forçant les ouvriers et salariés à devenir de simple exécutants dans d’immense entreprises mécanisés (L’ouvrier ne pense pas mais exécute) Commonwealth : Organisation qui cherche à maintenir les

standardise les gestes en chronométrant chacune des tâches des individus. Selon lui, cela impliquerai davantage les travailleurs d’une organisation et leurs permettrait de pouvoir monter les échelons en ayant plus de qualifications. Malheureusement, le taylorisme a de nombreux points négatifs puisque cela induit un mécanisme de l’homme et donc un caractère absurde au travail. De plus, sa théorie n’est exécutée que sur des activités simples et il est incapable de définir des temps de travail et des temps

totalement, soit partiellement à l’employeur. II - Taylorisme et bureaucratie : le « contrat social moderne » Avec l’avènement des machines, une dimension matérielle et économique va s’ajouter à la dimension morale et politique des Lumières. L’ingénieur va devenir une figure centrale d’une organisation tournée vers la rationalisation et la norme, dont Taylor est le chantre. Ce modèle se retrouve dans la bureaucratie. 1) La philosophie sociale du taylorisme et de la bureaucratie Dans l’organisation moderne

la découverte de la direction par procédure. La qualité est fonction de la norme de fabrication. Dans les critiques : Watermann et Drucker (contemporains 20e siècle) L’école des relations humaines La crise de 1929 dans les conséquences du Taylorisme MAYO LEWIN (1890-1947) création de l’idée de la dynamique de groupe Pour faire travailler un groupe, il faut trouver un objectif commun mesurable est organisé. Pour maintenir cette dynamique, la normalisation, la conformité et l’innovation sont