Le Paradigme Utilitariste

connaissances sont des savoirs identifiés et affectés à un domaine (connaissances de base) � En conséquence les compétences font l’objet d’un transfert par la transmission et l’expérience professionnelle (savoir-faire et savoir être) � => pratique utilitariste des savoirs car ils servent à la résolution des « blocages »III) La pédagogie par compétences en IFSI � Plusieurs enjeux pour la formation d’infirmier � Avoir des professionnels de plus en plus qualifiés � Améliorer la transmission des savoirs

ce qui a conduit Michael Porter à s’intéresser aux grappes d’entreprises (Porter, 1998a), prolongeant ainsi les travaux classiques sur les districts industriels (Marshall, 1923 ; Piore et Sabel, 1984). 2. LA DÉMARCHE PORTERIENNE : TRADUIRE LE PARADIGME STRUCTURE-CONDUITE-PERFORMANCE POUR LES MANAGERS La démarche de Michael Porter est fondamentalement celle d’un traducteur. Discipline encore jeune, la stratégie d’entreprise s’est avant tout nourrie d’emprunts à d’autres champs de connaissance,

renforce l'homogénéité des groupes sociaux.       L'ensemble de ces travaux ont une grande importance dans la mesure où ils remettent en question l'idée reçue d'une toute puissance des médias et la conception de l'électeur éclairé. [pic] b- Le paradigme de Michigan       Les chercheurs du Survey Research Center de l'université de Michigan s'appuient sur un corpus d'enquêtes recensant le choix électoral d'un échantillon représentatif de 2000 personnes avant et après l'élection et ceci depuis 1948

du sexe, etc.), s'intéressent parfois plus aux motivations des acteurs considérés comme relativement rationnels ou encore aux interactions entre individus. Mais la plupart des sociologues (même wéberiens) s'appuient – consciemment ou non – sur le paradigme selon lequel « quelque chose comme la société » existe objectivement, cette position dans le champ des idées s'opposant potentiellement à celle qui affirmerait qu'il existe plutôt toujours de la rencontre conflictuelle entre choix de formes collectives

1998, p. [91-92]) Aujourd’hui, cependant la reconnaissance pluridimensionnelle de la pauvreté faite par différents organismes internationaux (voir les institutions des Nations Unis, Banque Mondiale, entre autres), et le caractère normatif du paradigme actuel font en sorte que sa signification politique soit réduite à considérer comme pauvre celui qui vit dans un ménage dont le niveau de vie est inférieur au seuil de pauvreté[2]. En France, le seuil de pauvreté est déterminé par rapport à la distribution

pour coller à la nature, mais c’est pas que la nature a des lois de manière absolue qu’il s’agit de découvrir. On peut donc penser dans cette conception à : constructivisme : c’est ‘homme qui construit meilleur systeme lien internet en dessous paradigme de Kuhn relativisme http://philosophiedessciences.blogspot.fr/2014/05/les-lois-de-la-nature.html (((Les théories vues par duehm CM 9 philo sciences Fictionnalisme de van fraassen cm 10))) III. Loi comme loi morale « nécessité fait loi » http://www

Il s’agit donc dans la théorie platonicienne de rendre moralement meilleur celui qui commet un méfait afin de contribuer de manière positive à la qualité de sa propre vie. 3) Promouvoir le bien commun de la société : Selon l’argumentation utilitariste, la peine est nécessaire dans le sens où elle est le seul moyen de promouvoir le bien commun. a) Un moyen de dissuasion : La théorie pénale de Bentham repose sur le principe de maximisation de l’utilité. Nulle pratique n’est intrinsèquement

du sexe, etc.), s'intéressent parfois plus aux motivations des acteurs considérés comme relativement rationnels ou encore aux interactions entre individus. Mais la plupart des sociologues (même wéberiens) s'appuient – consciemment ou non – sur le paradigme selon lequel « quelque chose comme la société » existe objectivement, cette position dans le champ des idées s'opposant potentiellement à celle qui affirmerait qu'il existe plutôt toujours de la rencontre conflictuelle entre choix de formes collectives

essentiellement à la mise en évidence et à la compréhension des interactions entre individus, considérés par ailleurs comme relativement rationnels. Mais la plupart des sociologues conduisent leur réflexion en s'appuyant – consciemment ou non – sur le paradigme selon lequel le « social » est « un quelque chose » qui existe objectivement, de façon autonome et consistante, et ne peut être réduit à la somme algébrique des états ou des comportements individuels. Si la sociologie reste encore largement une

les ressources des individus que des caractéristiques d’un système et parfois encore des attitudes culturelles. Cette notion tire moins son succès de sa force théorique que de sa capacité a résoudre des problèmes. C’est un concept à la fois utilitariste et moral démontrant que des vertus sociales se transforment en dynamisme économique. L’économie politique devient ainsi une économie morale et le clivage du capitalisme et des liens sociaux est surmonté par l’individu projeté dans ses relations