Le Peuple de la liberté

qui veut dire que l’Etat est le produit de la volonté. Cependant vouloir la servitude en échange de leurs survis ou autrement dit la volonté dans l’esclavage est-elle une volonté libre? A quelles conditions l’Etat peut-il être garant de la liberté de son peuple? Il s’agira dans un premier temps de voir en quoi une servitude volontaire est possible pour une telle société puis dans quelle mesure la légitimité des droits de l’homme est réduite, pour enfin s’interroger sur les conditions de possibilité

démocratie (le monde de la liberté), c’est à dire : La volonté de la majorité : institutions libres, gouvernement représentatif, élections libres les libertés individuelles : parole, religion, pas d’oppression politique ou bien le totalitarisme (le monde de la terreur et de l’oppression), c’est-à-dire : La volonté d’une minorité imposée par la force : élections truquées, contrôle de la presse et de la radio Pas de libertés individuelles Or, la misère

force. C'est pourquoi il est possible d'être contraint de l'extérieur par la force par exemple, mais seule la liberté peut reconnaître à l'autre le droit de commander. Se sentir une obligation envers quelqu'un est un acte de la liberté. La contrainte est exclusive le sujet de la liberté. Une contrainte est une force s'imposant de l'extérieur à la volonté et la niant dans son pouvoir de liberté ou d'autodétermination. L'obéissance au contraire consiste à donner son assentiment, son accord rationnel,

cette perversion, garantissant l’égalité et la liberté la plus grande possible pour les citoyens. Pour l’homme, l’enjeu est énorme. Il doit échapper aux menaces perpétuelles en s’associant, et par cette association trouver le moyen de conserver sa propre liberté. Ainsi, l’homme doit déterminer un système politique qui rendra possible le passage des premières sociétés à l’état civil. Pour ce faire, Rousseau élabora un pacte social liant le peuple au Souverain. Pour légitimer son travail, il

organisations. C’est ainsi que l’on juge ses peuples particulièrement depuis le siècle des Lumière lorsque les hommes se sont fortement tournés vers l’Antiquité pour promouvoir le savoir et la science puis au moment des révolutions politique qui les ont succédés pour légitimer les principes démocratiques. Mais cette vision serait-elle erronée ? Fustel de Coulanges dans La Cité antique répond oui à cette question. Comment doit-on alors étudier ces peuples ? Pour tenter de répondre à cette question nous

Tocqueville a eut un projet, celui de construire le concept de démocratie, quelles sont ses caractéristiques ? Ses limites ? Pour lui les Etats Unis étaient une démocratie intéressante à étudier. Tocqueville est un libéral et démocrate par amour de la liberté. En 1856 il publie l’Ancien Régime et la révolution, seulement la 1ere partie car il meurt peu après. Tocqueville a une perspective évolutionniste c’est- à-dire qu’il pense que les sociétés suivent le même chemin : celui vers l’égalité et recherchent

totalitarisme et démocratie heurte le sens commun, tant les termes paraissent antagonistes. Dans le langage courant, le terme « démocratie » est en effet devenu synonyme de régime de libertés. A titre d’exemple, lorsqu’on parle des révoltes en Tunisie et en Egypte, on retient que leur population aspire à la liberté, donc à la démocratie. Dans ce contexte, la question de la relation entre démocraties et totalitarismes ne trouve pas de sens, d’autant plus que la seconde moitié du 20ème siècle a vu

autre ; il n’y a point de milieu. Les députés du peuple ne sont donc ni ne peuvent être ses représentants, ils ne sont que ses commissaires ; ils ne peuvent rien conclure définitivement. Toute loi que le peuple en personne n’a pas ratifiée est nulle ; ce n’est point une loi ». Ainsi, Rousseau définit la souveraineté comme étant une volonté du peuple à prendre une décision en dernier instance. Le peuple étant le titulaire de la souveraineté, le peuple est considéré comme étant la totalité concrète des

passe de la liberté nat à l'esclavage ordre social= droit sacré, base de ts les autres Chapitre II Des premières stés famille= seule sté naturelle, la + ancienne. Enfants rentrent légalement ds indépendance=> lien naturel se dissout. Nature de l'h=> liberté commune. Dès âge de raison, h juge lui mm à sa conservation, est à lui mm son propre maître. Famille= 1er modèle des stés pol. Chef= père peuple= enfant, nés égaux et libres différence: chef pas d'amour pr son peuple ms plaisir de

pour son peuple. A première vue il semble que la démocratie semble être un régime idéal puisqu’elle invite le peuple à participer à la souveraineté en étant à l’origine du pouvoir politique auquel il se soumet. Ainsi la démocratie peut être défini, à la même manière que son étymologie, comme le gouvernement du peuple par le peuple. Ainsi le pouvoir est n’appartient à personne mais à tous, il suppose le consentement et la concertation de chacun. La démocratie se veut respectueuse des libertés des individus