Le Pouvoir Crozier

ou entre les groupes dans l’entreprise. Dans ce cadre là, on est dans l’analyse des rapports de pouvoir. Le français Michel Crozier va montrer que les salariés sont en fait des acteurs qui cherchent à influencer le fonctionnement de l’organisation dans laquelle ils opèrent et que donc ces acteurs cherchent à se ménager des zones d’influence. Le canadien Henri Mintzberg analysera les relations de pouvoir dans les organisations. L’étude de l’efficacité des organisations : Comment améliorer la performance

L’organisation est donc à comprendre comme une association d’individus construite pour structurer les coopérations et induisant par là-même une répartition des rôles de chacun des acteurs, un système de communication et une hiérarchie qui pose les rapports de pouvoir. L’analyse des systèmes organisationnels incite à prendre en compte les systèmes humains qui, avec les structures formelles, constituent une des dimensions essentielles de l’organisation. Elle permet donc d'analyser des situations ou d'établir des

nombreuse relations. L'entreprise est constituée de sous système qui interagissent. L’analyse organisationnelle de Crozier: La rigidité du contenu des tâches rend difficiles les communications entre les groupes L’organisation ne peut pas tout prévoir et laisse des zones d'incertitudes Les difficultés qui en résultent st utilisés par les individus pour améliorer leur pouvoir au sein de l'organisation -->> Les membres de l'organisation n'ont pas d'intérêt au changement -->> Le

marocain de l’urbanisme». Publications de l’INAU. Rabat, Maroc 1989. Abderrahman RachiK, «Villes et pouvoirs au Maroc». Editions Afrique orient, Casablanca 1995. ABOUHANI Abdelgnani, 1999, « Pouvoirs, villes et notabilités locales. Quand les notables font les villes », INAU/URBAMA, Rabat, 214 p. ABOUHANI Abdelghani, dir. 2000, « Enjeux et acteurs de la gestion urbaine. Redistribution des pouvoirs dans les villes marocaines », CODESRIA/URBAMA/INAU, Dakar, ASCHER François, 2001, « Les nouveaux

être affecté par la réalisation des objectifs organisationnelle. GOUVERNANCE : Michel Crozier : Dans l’entreprise tout le monde peut avoir du pouvoir. Le pouvoir = relations, nego, confrontations. La nature des relations qu’il y a entre les acteurs influencent le mode de gouvernance de l’E. James March et Richard Cyert : Fonction d’une entreprise = coalition d’acteurs dont objectifs souvent contradictoires. Pouvoir de décision = résultat de nego, de compromis Henry Mintzberg : Stratégie : Plan A :

l'intervention des représentants des entreprises et des salariés en France, en jouant le rôle de régulateur de la NC. Cette régulation de la NC prend aujourd'hui des formes variées et l'Etat devient un véritable régulateur ce qui lui donne un pouvoir pour : - reconnaître la représentativité des OS et patronales, - initier le processus de concertation sur les projets de réforme touchant au droit du travail, à l'emploi et à la formation professionnelle, - organiser la consultation des OS et

professeur de stratégie d'entreprise Idées : Il identifie 6 forces concurrentielles qui font pression sur les entreprises d'un secteur. « le modèle des 5+1 forces de Porter » : -L'intensité de la rivalité entre concurrents -Le pouvoir de négociation des clients -Le pouvoir de négociation des fournisseurs -La menace d'entrants potentiels sur le marché. -La menace des produits de substitution. -Etat D'après Porter, la chaîne de la valeur permet d'analyser les différentes activités d'une entreprise

structure inégalitaire et un système de rapports sociaux qui unissent et séparent les individus. Comment les définir ? 3. Pourquoi les sociétés tiennent-elles ? Les sociétés sont des ensembles organisés dans lesquels s’exercent des relations de pouvoir reposant sur des formes de domination plus ou moins légitimes. Comment fonctionnent les organisations ? 4. Pourquoi des individus singuliers et « libres » forment-ils une société ? Les sociétés sont composées par des individus agissant, le plus

sociologiques des organisations, Paris, Le Seuil, Troisième édition augmentée d’un chapitre inédit ! De Coster M., Pichault F., ss la dir de, (1994), Traité de sociologie du travail, De Boeck, P. Bernoux, chap 15, « Systèmes d’autorité et relations de pouvoir au sein d’une organisation », pp337-354 ! Les nouveaux patrons (1974, Editions Economie et Humanisme, les Editions Ouvrières, Paris) ! Un travail à soi. Pour une théorie de l’appropriation du travail (1982, Privat, Toulouse) ! La Sociologie des

grands gagnants sont les organisations et non le marché. Ceci, était faux il y a 90 ans. Il n’y a plus un secteur qui n’est pas pris en charge par une organisation. Les organisations ont un grand pouvoir, par exemple la CNN a changé les horaires des JO pour qu’ils puissent être diffusés aux USA. Le pouvoir économique est aux mains des grandes organisations multinationales et non plus aux mains de l’Etat. Exemple : le français le plus puissant au monde n’est pas le président de la république mais Bernard