Le Pouvoir Crozier

Introduction 3 Les différentes approches du pouvoir dans l’organisation 5 Style de management et pouvoir 6 La délégation du pouvoir dans l’organisation 8 la décentralisation du pouvoir dans l’organisation 9 Le pouvoir et ses limites 10 La gouvernance : le pouvoir partagé 12 conclusion 15 Introduction Quelle est la première source du pouvoir dans l’Entreprise ? Une question pertinente qui nous pousse à analyser d’abord les liens et

s'inscrit dans un système hiérarchique avec pouvoir de domination et de subordination. Les avantages: permanence, précision, rigorisme, efficacité. C'est une organisation impersonnelle et déshumanisée. C'est plutôt un avantage. Cependant, Weber avait bien noté les limites de la bureaucratisation: routinisation, déresponsabilisation, refus du changement, démotivation. Sixième idée: l'origine du pouvoir. Weber distingue le pouvoir de l'autorité. Le pouvoir, c'est la chance de faire triompher au

INTRODUCTION GENERALE PREMIERE PARTIE : STRUCTURES, POUVOIR ET GOUVERNANCE DANS L’ORGANISATION Chapitre 1 : Structures et dynamique des organisations 1.1définitions et paramètres de conception de l’organisation 1.2Les théories et les facteurs de la contingence structurelle 1.3Les différents types de structure 1.4Les nouvelles formes d’organisation Chapitre 2 : Exercice du pouvoir et gouvernance d’entreprise 2.1l’exercice du pouvoir : définitions et champ d’action 2.2L’importance

-Les entreprises de production en continu (Cf tableau page 28, à décrire) Elle observe donc que plus la complexité de la technlogie est importante et plus l'organisation présente certaines caractéristiques structurelles : -le dirigeant a les pouvoirs les plus étendus -existance d'un nombre élevé de niveau hiérarchiques -la part de main d'oeuvre directe dans la mains d'oeuvre totale est grande. Sa principale conclusion est qu’il existe une « meilleure structure » pour chaque technologie et

La culture est facteur de cohésion : elle résout les problèmes d’intégration (langage commun, communications facilitées..). Elle réduit l’incertitude liée aux comportements des salariés (zone d’incertitude de Crozier et Friedberg liée à l’autonomie de décision et donc au pouvoir de chaque salarié). Elle encourage la loyauté des salariés, développe leur sentiment d’appartenance. La culture est en quelque sorte un mode de contrôle des comportements des salariés. La culture est facteur

voire déterminent le processus de décision: les limitations cognitives et émotionnelles — cognitive school —, la complexité de l'environnement sur lequel il est difficile d'avoir une maîtrise complète — learning school —, le jeu des rapports de pouvoir — political school —, le poids des valeurs et des idéologies — cultural school —, les contraintes de l'environnement auxquelles il s'agit de s'adapter — environmental school —, etc. Critiques et compléments 5 Malgré tout l'intérêt de cette

du management.- Manager = chef d’orchestre, un coordinateur, un animateur, intervient au niveau stratégique | Alfred P. SLOAN Ex dirigeant américain de General Motors | 20ème | La mesure performance | - mise en place d’une « décentralisation du pouvoir » qui permet initiative, responsabilité et flexibilité- Il faut mettre en place un « contrôle » centralisé des décisions décentralisées à l’aide du tableau de bord de gestion. | Robert NORTONDavid KAPLAN chercheurs américains | 21ème | La performance

Chapitre 6 Parties prenantes, contre-pouvoirs et gouvernance de l’entreprise 1. L’identification et l’influence des parties prenantes 1.1. Quelles sont les parties prenantes et leurs attentes ? Une partie prenante (stakeholder en anglais) est un individu ou un groupe d’individus en relation avec l’entreprise, qui peut affecter ses décisions ou être affecté par elles. A. Les parties prenantes internes Il existe deux grandes catégories de parties prenantes situées à l’intérieur de l’entreprise

intéressés à l'organisation du travail elle-même, aux cultures professionnelles (est-ce que les cultures professionnelles existent ?). L'entreprise intéressait les sociologues par le côté des jeux de pouvoirs : quels jeux de pouvoir pouvait-on observer dans une entreprise ? Sociologues : Michel Crozier, Friedberg. L'acteur et le système, 1977. Nom de la théorie : analyse stratégique des organisations. Observations : L'organisation de travail a pour but de pallier aux dysfonctionnements de l'entreprise

1 Pouvoir et légitimité Initier de nouvelles pratiques, provoquer le changement dans une structure, à fortiori dans un parti, c’est se poser la question des pouvoirs et de l’organisation de ceux-ci. C’est se questionner inévitablement sur la démocratie et la légitimité des pouvoirs. Au risque d’agacer1, je crois qu’il est essentiel, avant même de formuler des réponses, de préciser, les significations de certains termes afin d’interroger nos représentations. Il se trouve que j’ai récemment eu