Le Pouvoir Crozier

seule personne qui compte est celle avec laquelle on travaille. Mais le coaching professionnel fait entrer une tierce personne dans la relation: l'entreprise. Le coach étant pour des raisons économiques en relation intéressée avec ce système de pouvoir, il sera essentiel d'être vigilant dans la conduite de cette relation triangulaire avec le tiers payeur. Le principe de confidentialité n'est pas toujours facile à préserver. Le coach a deux clients avec qui il est en relation de proximité. L'entreprise

Management Par Objectifs, très développé actuellement. * VI. POUVOIRS DANS L’ORGANISATION * Nous allons voir, après en avoir donné quelques définitions, que, dans l’organisation, le pouvoir n’est pas réservé aux seuls détenteurs de l’autorité; il peut émaner de structures informelles et donc appartenir à chacun des acteurs de l’organisation. La définition de la notion de pouvoir R. Dahl (1968) en définit le pouvoir comme « la capacité d’une personne a d’obtenir qu’une personne B fasse

accepté par les autres - le besoin d'identification, le groupe a besoin de s'identifier a une valeur ou même a une organisation - le besoin d'estime, c'est un besoin de reconnaissance - le besoin de pouvoir, c'est souvent le pouvoir informel. Le pouvoir informel est en fait le véritable pouvoir puisque c'est la capacité d'un individu a fédérer un groupe sans qu'il en ait la consigne - le besoin de coopération, le groupe est souvent satisfait quand il a atteint des objectifs qu'on lui a fixé,

des exportations, la stratégie d’internationalisation (implantation d’unités de production dans différentes zones géographiques). D) Eléments pour l’analyse stratégique M. Crozier : le fonctionnement de l'organisation est un « construit humain » Interactions (juridiques, règles sociales, jeux de pouvoirs – marges de manoeuvre) − marge de manoeuvre (c'est une incertitude) = marge de liberté − à l'origine de cette marge => facteur technique − acteur consomme ces marges (pour

des frontières traditionnelles de la firmes et cherchent à expliquer les processus d'innovation d'une entreprise au sein de son territoire. La hiérarchie et les relations de pouvoir. Les thèmes abordés sont l'autonomie des acteurs, les différents types d'organisation (matricielle, horizontale, pyramidale), la gestion du pouvoir, la répartition des ressources, la négociation, etc. Le lien social et identitaire, ainsi que les phénomènes culturels. L'étude de la circulation de l'information et les outils

bureaucratie : L’organisation n’appartient pas à ceux qui y travaillent : salariat, la fonction occupée est indépendante de l’individu qui l’occupe : apparition du fonctionnaire, le fonctionnaire est qualifié, l’organisation opère selon des règles, le pouvoir est rationnel – légal : légitimité rationnelle ou charismatique. * RH : * Effet Hawthrone : Les personnes réagissent positivement au fait que l’on s’occupe d’eux pour améliorer leur situation, Influence motivante > amélioration des performances

décentralisation ; – la phase de décentralisation : l’adoption d’une structure divisionnelle permet de répondre aux problèmes soulevés par la crise d’autonomie. L’entreprise peut alors poursuivre sa croissance, mais la décentralisation conduit à une dilution du pouvoir et à une perte de contrôle par la direction. Survient alors la crise de contrôle dont l’entreprise ne peut se sortir que par la coordination ; – la phase de coordination : l’entreprise met en place des procédures formelles et renforce la coordination

décentralisation ; – la phase de décentralisation : l’adoption d’une structure divisionnelle permet de répondre aux problèmes soulevés par la crise d’autonomie. L’entreprise peut alors poursuivre sa croissance, mais la décentralisation conduit à une dilution du pouvoir et à une perte de contrôle par la direction. Survient alors la crise de contrôle dont l’entreprise ne peut se sortir que par la coordination ; – la phase de coordination : l’entreprise met en place des procédures formelles et renforce la coordination

l’influence des parties prenantes sur le processus de décision Évaluer les effets des actions des parties prenantes sur le processus de décision. Processus de décision Partie prenante CH 7 : LES PARTIES PRENANTES ET LES CONTRE-POUVOIRS R. M. Cyert J. G. March M. Crozier Évaluer les enjeux liés aux intérêts des parties prenantes Faire apparaître ce que les parties prenantes peuvent perdre ou gagner dans leurs relations avec l’entreprise et réciproquement. Montrer comment ces étapes s’articulent

vertu de leur croyance en cette qualité extraordinaire de la personne considérée ». Le modèle traditionnel « L’autorité traditionnelle est un rapport de pouvoir qui repose sur (…) le respect envers ce qui, réellement ou d’une manière supposée ou prétendue, a toujours existé ». Le modèle bureaucratique « La soumission, dans le pouvoir légal, est plutôt basée sur des relations impersonnelles avec les devoirs d’une charge, définie de façon générale et fonctionnelle ». Le modèle Bureaucratique