Le Principe De Coopération Loyale

septembre 1787 et ratifiée en 1788 et la C de 1787 entre ne vigueur en 1789. Les Etats fédérés craignent une centralisation excessive, c’est-à-dire un Etat fédéral et un gouvernement central fort. On veut donc instaurer un fédéralisme équilibré et le principe retenu est celui de la compétence a priori de droits communs pour les Etats fédérés, l’Etat fédéral ne disposant que d’une compétence d’attribution. Evolution : accroissement des responsabilités au niveau fédéral pour différentes causes, mais évidemment

1870 et les grands mouvements boursiers de 1890, la grande entreprise doit être la plus productive possible. C’est-à-dire atteindre avec peu de moyens financiers le plus haut niveau de production possible. Les auteurs en organisation font donc du principe de rationalité un élément central de leur réflexion que l’on retrouve dans toute la théorie micro-économique classique. F.-W. Taylor est un autodidacte américain à l’origine de l’OST. De son point de vue, le modèle de la rationalisation part de l’atelier

témoignent. Faire plus et mieux avec moins, le leitmotiv est classique. Les qualités que l’on demande à un manager sont surtout détermination, rigueur, transparence, conviction, respect des règles, adhésion aux valeurs et aux objectifs, loyauté, coopération, obéissance, disponibilité, écoute des « clients internes ou externes » et amélioration des performances. La difficulté survient de ce que les objectifs sont parfois contradictoires et qu’il faut jongler entre les paradoxes. Chez Lobodis, nous

légalité »[1] Le droit communautaire est auréolé, d'après une jurisprudence constante de la Cour de justice, du principe de primauté[2]  par rapport aux droits nationaux ; de plus, il est dès sa production réputé être valide. Cette seconde nature correspond à la nécessité pour les institutions européennes de voir s'appliquer les normes qu'elles édictent, dans le sens d'une coopération loyale de la part des Etats membres. En contrepartie, le Traité prévoit un système cohérent de voies de droit. Les acteurs

par le principe de spécialité qui énonce que les attributions de l’O sont fixées par le traité. L’OI n’a que ces attributions, elle n’a donc pas de compétence pleine et entière. L’UE possède toutes ces caractéristiques et en cela elle est une OI. L’UE est ouverte puisqu’elle permet l’adhésion d’états européens. 2. Les spécificités. Les OI sont extraordinairement diverses et pour cela, il est traditionnel d’essayer de les classer et l’un des critères est le critère de la coopération ou de

Public (DIP), du Droit Constitutionnel (DC), du Droit International Economique (DIE) du Commerce International (CI), jusqu’aux aspects connexes associés que sont la Mondialisation contemporaine et le Développement Durable (par soucis de respect des principes environnementaux) -, remontent au contexte des « lumières globalisantes » que matérialisent les « Libéralismes » nés en Europe Occidental, du XVIIe et XVIIIe siècles, en réaction à l’absolutisme royal, et utilisés comme instruments de régulation

pères fondateurs de l’Union européenne Action pour le climat Affaires étrangères et politique de sécurité Agriculture Aide humanitaire et protection civile Budget Commerce Concurrence Consommateurs Culture et audiovisuel Développement et coopération Douanes Éducation, formation, jeunesse et sport Élargissement Emploi et affaires sociales Énergie Entreprise Environnement Fiscalité Frontières et sécurité Justice, citoyenneté et droits fondamentaux L’Union économique et monétaire et

il y en a 3 :1er pilier) Le traité de Maastricht crée l’UE qui repose sur LES communautés euro, à cette intégration existante on va ajouter de la coopération inter-gouvernementale. Coopération qui se fonde sur le 2ème pilier Del ‘union (PESC, le 3ème est la CJAI qui deviendra la coopération judiciaire et policière en matière pénale CJPP) Coopération=pas transfert de compétence 2pillier 3ème étape : traité de Lisbonne Etape très importante, signé en 2007 et entré en vigueur 1er décembre 2009

se sont créée : la coopération, et l’approche dite fonctionnaliste. Des Etats européens ont intérêt à mettre en place des institutions politiques = volontarisme politique par souci de sécurité (renforcement universel par la charte des nations unies, renforcement régional par la suppression des facteurs favorables aux hostilités), d’économie. Il faut un coup de pouce financier et économique. => Plan Marshall des Etats-Unis. On met en place l’OEC, organisation de coopération économique. Elle aura

nationales freinent l'unification européenne dès lors qu'on voit tout un courant d' auteurs qui considèrent que l'État nation et son renforcement vient en contradiction avec l'unité européenne. Joseph Proudhon (1809-1865, anarchiste) écrit un ouvrage « du principe fédératif » dans lequel il pense qu'il faut renoncer à l'Europe des nationalités et souhaite la création d' entités politiques de petites dimensions et il considère que l'Europe ne pourra se former qu'en étant une confédération de confédérations