Le Problème Socrate Nietzsche

appelons, après coup, notre « volonté ». A partir de là, on peut en déduire les caractéristiques de la volonté par opposition au désir : la volonté comporte une dimension de rationalité, et souvent de moralité, que n’ont pas toujours les désirs. Nietzsche remarque d’ailleurs que la volonté, contrairement au désir, comporte un élément de commandement : quand nous voulons, nous sentons que quelque chose en nous commande et que quelque chose en nous obéit . Cette fine observation confirme empiriquement

La vérité dépend-elle de nous ? Le problème de l’essence de la vérité est le problème philosophique par excellence. On définit communément la vérité comme l’adéquation de la pensée avec le réel seulement cette définition pose plus de problèmes qu’elle n’en résout . Effectivement il ne faut pas confondre la vérité et la réalité, la réalité. Un jugement se compose d’un sujet , d’une appareille « est » et d’une caractéristique, comme par exemple quand je dis :« cette rose est rouge ». Autrement

corps, qu’il ne savait pas nu avant d’avoir croqué le fruit défendu. Avant cela, il n’éprouvait pas et donc ne s’éprouvait pas lui-même ; il vivait dans une entière plénitude. Traditionnellement, donc, la connaissance est la source de tous les problèmes de l’homme mais certaines connaissances en particulier peuvent rendre la vie particulièrement pénible. On peut encore une fois prendre l’exemple d’Adam et Eve, honteux de leur nudité après avoir goûté au fruit de l’arbre de la connaissance. Qu’il

présente est une manière poétique d’expliquer certains phénomènes. Cela esthétise le quotidien. Philosophes pré-socratiques, tels que Parménide et Héraclite. Socrate, 1er grand philosophe. Il n’a rien écrit cependant il a une thèse oral; il a un élève, Platon. Apres la mort le Socrate (décapité), Platon rédige les pensées de Socrate et inclus les siennes. L’ouvrage est rédigé majoritairement sous forme de dialogues. Platon, lui aussi à un élève Aristote. Aristote est philosophe mais aussi un

Problématique I. Nature et origines de l'illusion 1. L'erreur et l'illusion, différence 2. Conséquence pratique 3. Illusions venant de la sensibilité 4. Illusions venant de l'affectif II. Problème posé à la connaissance 1. Problème : l'illusion compromet l'accès à la vérité 2. Solution en trois étapes III. Problème posé à l'action 1. Mécanisme de l'illusion 2. Valeur négative de l'illusion 3. Effets positifs de l'illusion Conclusion Pourquoi l'homme est sujet à l'illusion L’allégorie de la

relation logique de cause à effet, et renvoie à l’idée que le «nous» serait une condition de possibilité de la vérité. L’idée de dépendance peut également, dans un sens moins immédiat, renvoyer à l’idée d’asservissement, d’as-sujet-issement. Problème : Ou bien la vérité dépend de nous, elle est subjective, mais alors «la» vérité n’existe pas puisqu’il y a autant de vérités que de sujets qui l’énoncent. Ou bien la vérité est indépendante de nous, elle s’impose à nous, mais alors comment la

tempérance que l’on distinguera du vice de l’Ubris. Les vertus sont une disposition de l’âme permanente que l’on acquière avec l’habitude. B) Les limites de la sagesse épicurienne : le désir de reconnaissance est-il inessentiel à l’homme ? Problème : Y a-t-il un sens pour l’homme à distinguer besoin et désir comme on distinguerait le nécessaire et le superflu ? → Il n’est pas si simple de distinguer l’articulation entre nature et culture (ou désirs naturels/ désirs non naturels) : •

percevoir l'enchaînement des arguments. Ici, le premier paragraphe annonce un examen de la notion de ferveur, que les suivants vont nuancer : un paragraphe sur le sens convenu du mot ferveur précède un développement sur sa paradoxe semble former le problème essentiel de la ferveur, toujours située à la frontière entre juste mesure et excès, comme l'implique peut-être l'idée de mouvement inhérente à l'effervescence. Deux exemples peuvent illustrer cette situation tangente du fervent, qui s'aliène dans

l’eau, ensuite il y eu… Texte 3 : Livre 7 :Qu’est ce qu’est la connaissance ? Texte écrit par Platon. Alexandre le grand était le maître à penser d’Aristote, Aristote de Socrate (mort en -400), Socrate de Platon. 5ème siècle avant JC : paroxysme de l’art avec la tragédie. On est sur l’invention de la rationalité (Socrate Platon), de la démocratie (Périclès)… C’est ce qu’on a appelé le MIRACCLE Grec : conjonction d’élément qui a donné le coup d’envoi d’une civilisation sur lequel nous vivons

garantie de l’esprit qui connaît. Pour Platon, la vérité c’est l’être qui est à lui même sa propre garantie. La vérité c’est le Bien. Cela veut dire que le Bien chez Platon n’est pas l’opposé du mal. Glaucon pose à Socrate : « Ce n’est certainement pas le plaisir que tu entends la » Socrate répond : « Prend garde à ce que tu dis ». « Le Bien n’est pas l’essence mais quelque chose qui est au delà de l’essence ». Le Bien chez Platon c’est l’idée qui fonde l’ensemble des idées. Le Bien n’est pas seulement