Le Présidentialisme Majoritaire

C’est une déviation par rapport au texte initial. Ces difficultés ont conduit à certains auteurs à prétendre que le régime français était un régime à part et on à inventé une nouvelle rubrique pour qualifiée la Vème République de présidentialisme, ou présidentialisme à la française. Chapitre 1) L’instauration du régime : I) Un régime à la filiation irréprochable ? Les sources de notre régime sont ambigües, la Vème République est née d’une tentative de coup d’état. A/ Le contexte politique :

la révéler en responsabilisant le PDLR et en évitant les cohabitations. D'autres clament au contraire que le quinquennat va inéluctablement modifier la nature du régime. Pour les opposants au quinquennat, il va donner naissance à un régime au présidentialisme renforcé voire à un régime présidentiel, ou, alternative inverse, à un régime à la souveraineté parlementaire retrouvée [...] C'est pour des raisons bien précises que les auteurs de la Constitution de 1958 ont entendu maintenir le septennat

une responsabilité gouvernementale, un premier ministre… Plutôt régime parlementaire particulier. Notion de fait majoritaire ou non, cohabitation ou non. * Le décor est planté pour accueillir le régime présidentialiste. Un chef de l’Etat disposant d’une légitimité démocratique incontestable appuyé par une majorité parlementaire constante, c’est ce qu’on appel le fait majoritaire Le suffrage universel direct, un mécanisme en opposition avec la fonction présidentielle de garant de la République

Le duc Albert de Broglie ( chef des orléanistes) → Thiers mis en minorité par un vote de confiance pour Thiers → vote rep non. Remplacer par le Maréchale de Mac-Mahon ( roy – légitimiste ) chef du gvrt : Broglie . Les monarchistes sont dc majoritaire et aussi le président → « la république des Ducs » → une politique « d'ordre morale » 3) la politique de « l'ordre morale » défendre la hiérarchie soc et les classe dirigeantes traditionnelle + lutte contre influence républicains → retire

présidentiel. Lorsque l’on aborde cette notion de séparation des pouvoirs se pose une dichotomie de séparation conceptuelle entra la séparation stricte ou rigide et la séparation souple des pouvoirs. La séparation stricte des pouvoirs est le fait du présidentialisme. Portant, la séparation souple des pouvoirs et celui du parlementarisme. Au regard de ce postulat, en abordant le régime présidentiel et ses considération générales s’appliquent in casu dans un exemple illustratif qu’est l’exemple des Etats Unis

qui vont en découler en mettant l’accent sur la prééminence de la Constitution et sur la conservation des pouvoirs propres du président de la république qui sont consacrés dans celle-ci. Ce texte aborde des thèmes comme la cohabitation, le fait majoritaire, les pouvoirs propres, les pratiques constitutionnelles. De quelle manière, François Mitterrand envisage-t-il cette cohabitation sous le prisme de la Constitution ? Nous verrons le passage d’un régime à captation présidentielle du système parlementaire

Elles sont imbriquées l'une dans l'autre, la majorité parlementaire se réclame de la majorité présidentielle, ce phénomène majoritaire à la française place le président de la République dans une situation où il peut effectivement disposer en dehors de ses propres pouvoirs d'une bonne partie de ceux du Premier ministre et du gouvernement : c'est le présidentialisme majoritaire. L'élection présidentielle au suffrage universel a donc été un élément novateur pour la Ve République. Toutefois, aujourd'hui

nation. Les deux pouvoirs instituaient donc un bicéphalisme (c'est-à-dire deux tête à l'exécutif) dyarchique (c'est-à-dire d'égale importance). Mais l'élection au suffrage universel directe du Président de la république, l'apparition du fait majoritaire, l'apparition de la cohabitation allaient modifier en pratique le rôle du premier ministre sous la Ve république pour l'éloigner ou le rapprocher de manière plus ou moins importante en fonction des contextes de son rôle originel. Il est essentiel

de notre Constitution mais surtout ils ont admis sa radicalisation. Un consensus politique s'est formé réunissant les principaux partis à droite et à gauche en faveur de l'idée d'un président fort, véritable chef de L'Exécutif (dérive vers le présidentialisme) et non plus ou pas seulement arbitre. Dès lors, les différents Présidents de la République qui se sont succédés depuis 1958 ont pu continuer à interpréter et appliquer la Constitution dans un sens qui leur était favorable (ou même à fausser

indépendance, on constate que cela ne correspond pas au régime américain, qui en constitue cependant le seul exemple l’application, pas plus que le président n’y est élu au suffrage universel direct ce qui est est pourtant le second critère du présidentialisme. Enfin de nombreux régimes politiques ne peuvent rentrer dans cette classification théorique, possédant a la fois l’élection au suffrage universel direct et la responsabilité politique , telle la Vème République française notamment et on doit