Le Présidentialisme Majoritaire

pluraliste se caractérise par le SUD, le respect des droits de l’opposition, l’alternance politique et le respect des droits fondamentaux. 1. La participation des gouvernés à l’exercice du pouvoir Notion. Conditions : SUD, principe majoritaire (la légitimité à gouverner procède de l’élection), pluralisme politique (art. 4 Constitution 1958), respect de droits de l’opposition, libéralisme politique (presse, communication audiovisuelle, etc.), respect de l’individu. Les titulaires

politique (provoque effet d'entrainement) Avec la réforme constitutionnelle du 23 juillet 2008, le président ne peut exercer plus de deux mandats consécutifs => limitation du nombre de mandat = traduction d'une dérive vers le présidentialisme car le président cherche à exercer réellement le pouvoir et n'est plus un simple arbitre (donc doit rester moins longtemps d'un point de vue démocratique) Transition: En France, il est vrai que le président occupe une place prépondérante

en d’autres mots la mise en jeu de la responsabilité politique gouvernementale. Le fonctionnement du Parlement est la mise en pratique de la fonction parlementaire, c'est-à-dire qu’on passe de la théorie au fonctionnement pratique, à savoir en présidentialisme et en période de cohabitation. Le Parlement en lui-même dispose du pouvoir législatif. Son rôle est clairement indique a l’article 24 de la Constitution : « Le Parlement vote la loi. Il contrôle l’action du Gouvernement. Il évalue les politiques

serait responsable (en contradiction avec l’article 8). Le Président de la République donne les principales impulsions politiques et exerce une influence qui va bien au-delà de celle de l’arbitrage. Cette évolution tient assez largement au fait majoritaire qui joue en faveur du chef de l’Etat (ce qui corrobore l’idée de primauté « de fait »…). II – Une présidentialisation qu'on tente de rendre durable. La primauté de fait est nécessairement relative. Puisqu’elle n’est pas consacrée par le

un régime présidentialiste monocéphale. Puis, la constitution de la deuxième République (1963-1967), a mis en place un régime présidentialiste bicéphale. Enfin, la constitution de la troisième République (1980-1992), a de nouveau instauré un présidentialisme monocéphale mais avec une particularité : l’institutionnalisation d’un système monopartisan. La deuxième période, quant à elle, est marquée par la consécration d’un régime semi-présidentiel à la française avec la constitution de la quatrième

IVème république. En s’exécutant, les constitutionalistes ne pensaient peut-être pas tomber dans l’excès contraire : c’est-à-dire l’hyper présidentialisme et l‘égide gouvernementale.     Aujourd’hui donc, on assiste à une réelle mutation, un changement du régime de base. On se retrouve en présence d’un régime hybride empreint de parlementarisme et de présidentialisme. Car clairement le président est au centre de la politique, et le 1er ministre ne fait office que de figuration, mais en même temps, le

le fait que ce même François Mitterrand une fois élu n’aura de cesse de reproduire voir d’accentuer ce régime de coup d’état permanent tantôt critiqué si vivement 2) Un premier ministre soumis Cela ressort tant en cas de présidentialisme majoritaire (président et majorité au parlement du même bord pol) qu’en cas de cohab. Sous la présidence de VGE ; Chirac, Chirac qui ne faisait que tenter de respecter son rôle prévu à article 21 de la constitution fût conduit devant une absence de

d'une grande nation culturelle, économique connaissant quelque difficultés judiciaire appele les menbres de la cour de cassation pour connaitre l'avancement des dossiers sur lui et ses amis.. Paragraphe 1: La logique présidentialliste A) Le présidentialisme plébicitaire 1958-1962 En 1958, les institutions politique sont discréditées, le Général De Gaulle fait une constation juste mais dangeureuse comme quoi le peuple doit retrouver la politique. De 1958 a 1962, De Gaulle va multiplier le recour

dernière l’a prouvé dans son arrêt rendu en Assemblée plénière le 10 octobre 2001. La révision constitutionnelle de 1962 à propos de l’élection présidentielle au suffrage universel direct est un acte fondateur du régime qui, combiné avec le fait majoritaire, va faire du Président de la République l’homme fort du régime. Dans son discours devant le Conseil d’Etat du 27 août 1958, Michel Debré dit que le Président de la République est la clef de voûte des institutions, c’est-à-dire que tout le monde

d’une majorité acquise au Président lui donnant les moyens de gouverner. Néanmoins, l’obtention d’une telle majorité n’est pas toujours évidente. II/ Un système représentatif variable : entre « présidentialisme » et « gouvernementalisme ». A/ La prééminence du président en période de fait majoritaire • Un régime est « présidentialiste » (Jean Gicquel) si le Président de la République, chef de l’Etat, concentre les pouvoirs « en raison de son mode d’élection au suffrage universel direct