Le Relativisme Culturel

de Franz Boas. Très attaché à l'idée que la culture, et non la race, est l'élément différentiateur des êtres humains, il croit peu à l'idée d'une unité culturelle entre les Hommes et soutient l'usage du terme culture au pluriel. En naîtra une méthodologie fondamentale : Boas étudiera les groupes sociaux sur le terrain avec un relativisme culturel. Malinoswki signe la naissance du fonctionnalisme, centré sur le présent de la culture. Elle serait un système harmonieux qui reste fidèle à lui-même

Michel Foucault : subjectivité et vérité Foucault n'est pas universaliste du vrai : société-civilisation. On présente des vérités de société-civilisation : relativisme culturel et non individuel→ consensus : accord empirique. Foucault est un Nietzschéen qui lui même a repris Protagoras. Pas de vérité absolue : la vérité se veut intemporelle. Foucault va appliquer ce paradigme notamment dans les rapports de la subjectivité et la vérité : il appelle ça des jeux de vérité: le sujet s'adapte de lui

absolue/hétérogénéité réelle/transcendance de l’homme. C. La bifurcation : origine naturelle, mais sortie de la nature. L’évolution biologique a fourni aux hommes les moyens naturels de se dénaturer pour entrer dans un autre dimension de la vie ( existence culturelle, consciente, intentionnelle, morale) dont le caractère fondamental est d’être un réseau de significations. Mais cette sortie de la nature est-elle complète ? Tomber dans le culturalisme. L’homme est-il dénaturé ? D. L’homme indéfinissable et

"philosophie de l'argent" permet notamment de comprendre quels ont pu être les effets de la monétarisation sur les sociétés humaines, effets économiques mais surtout culturels. Cela peut constituer une aide pour le cours de première sur la monnaie mais aussi pour le chapitre de terminale "Mondialisation et spécificités socio-culturelles" ; c'est sur ce dernier point que nous allons insister. Je ne présente pas la totalité des idées de l'ouvrage de Simmel mais seulement celles qui peuvent servir au

est assouvi. Il n’est pas simple de s’y retrouver dans cette nébuleuse de plaisirs esthétiques. Dans un premier temps, ils font tous, ou presque, appel à notre sensibilité et ensuite ils peuvent être plus ou moins modifiés par nos acquis culturels et nos facultés intellectuelles. Prenons tout d’abord le cas d’une appréciation esthétique sur un objet inerte ou vivant qui repose essentiellement sur une émotion spontanée. Elle est par essence très subjective, très imprévisible au point qu’il

pose : peut-on croire à la nature humaine, à ses progrès ? Peut-on encore être optimiste ? Afin de répondre à cette question, nous allons d’abord nous demander si l’Histoire a un sens, en nous appuyant sur Hegel et Kant. Puis, j’évoquerais le relativisme culturel avec ses défauts, mais aussi ses qualités qui nous sont parfois trop évidentes pour en avoir conscience… Mais avant tout, d’où vient le terme d’optimisme ? Son étymologie latine démontre qu’il dérive de « bonus », c’est-à-dire bon, de bonne

l'ensemble des valeurs et des mœurs propres à chaque société, à chaque groupe. Rappel: Valeur : idéal collectif qui guide les actions et comportements des individus Norme: règle dictée par la société. B) Unité et diversité culturelle La culture au sens socio fournit aux membres d'une société ou d'un groupe à la fois un signe de reconnaissance entre un moyen de se différencier des autres groupes et sociétés. Il existe donc une multitude de cultures à travers le monde mais

pratique. Relativisme et opinion Le relativisme est un « mouvement de pensée qui traverse les siècles depuis l'Antiquité gréco-romaine », pour désigner un ensemble de doctrines variées qui ont pour point commun de défendre la thèse selon laquelle le sens et la valeur des croyances et des comportements humains n’ont pas de références absolues. Représentant depuis l'Antiquité une philosophie parmi d'autres, il existe différentes variantes du relativisme notamment un relativisme cognitif épousant

au principe du relativisme culturel c'est à dire a un principe selon lequel il est impossible de porter un jugement de valeur sur une culture en général, car tout jugement dépend de la propre culture de celui qui l'énonce. En effet il ne peut pas être objectif envers une autre culture car tout jugement se sert de critères qui serait ceux de sa propre société puisque comme dit précédemmment il n'en existe aucun d'universel, de commun a toutes les cultures. Le relativisme culturel est donc globalement

comme trois moments progressifs d’une même recherche : l’ethnographie consiste dans le travail sur le terrain, dans l’observation et la description des données. L’ethnologie représente une première synthèse au niveau de l’ethnie, ou de l’aire culturelle. L’anthropologie, elle, « vise à une connaissance globale de l’homme, embrassant son sujet dans toute son extension historique et géographique ; aspirant à une connaissance applicable à Sélim ABOU, s.j., “L’anthropologie structurale de Lévi-Strauss”