Le Relativisme Culturel

instillée chez un humain à partir de l’enfance. Enculturation Adoption de modèles de comportements utilisés par la culture environnante-préjugés (famille, médias) Ethnocentrisme - Croyance en la supériorité de son groupe ethnique Idée de race Relativisme culturel Une culture est jugée arbitrairement selon les normes d’une autre (ne pas juger les autres en fonction de ses propres valeurs) Compréhension ne signifie pas acceptation Cross-Cultural Comparer deux cultures différentes Intraculturel A l’intérieur

d'économie sont liées. Dans Le phénomène bureaucratique (1964) Michel CROZIER fait figure de précurseur du management interculturel en explorant l'enracinement culturel des formes organisationnelles particulières que sont les bureaucraties. Il articule ainsi comportements individuels, fonctionnement des institutions et substrat culturel. Émergence du management interculturel Le champ du management interculturel est aujourd'hui encore en cours de constitution. Il est apparu dans les années

refuse, souvenez-vous que vous êtes attaqués, et qu’on va vous faire obéir par tous les moyens. Vous serez pris par la douceur ou par le charme de n’importe quoi, vous serez passionné par la passion d’un autre. » Paul Valéry Introduction Le relativisme, le fait de considérer que « chacun a sa vérité », peut être considéré comme une façon d'exprimer une exigence de tolérance, suivant la définition suivante : Une personne est tolérante si et seulement si elle ne critique pas les opinions des autres

les mathématiques et globalement articulés au réel par l’expérimentation, sont périssables ; si bien que paradoxalement, la science, constituée pour répondre à l’exigence de certitude par la démonstration, ouvre une brèche au scepticisme et au relativisme. Si toute théorie scientifique n’a qu’une valeur passagère, peut-elle prétendre sans contradiction à l’épithète de « scientifique » ? Une théorie scientifique peut-elle donc sans contradiction être à la fois qualifiée de « vraie » et de « provisoire

adaptée à cette problématique.Favorisée par son histoire qui a impliqué par la force ou la nécessité un mélange des cultures, ce petit laboratoire d'interculturalité est un exemple en la matière.En un premier temps, (période coloniale) cette mixité culturelle a connu des tentatives de lissage, voire d’effacement, par un contrôle institutionnel féroce visant à l'éradication de la culture des esclaves. Par la suite, l'abolition de l'esclavage amenant à l'engagisme, cette relation à l'altérité s'est modifiée

ou nous handicape pour juger notre culture. Tout d'abord, d’après Nietzsh, l'éducation est le « dressage des esprits ». Donc, l'éducation sert à nous imposer des normes pour rentrer dans la société. L'éducation nous donne une certaine identité culturelle qui est propre à chaque culture. L'éducation, particulièrement des enfants, a pour but d'inculquer des valeurs, des croyances, etc. Lorsqu'on est enfant, on nous apprend beaucoup de choses au niveau de notre comportement, des règles de vie dans

trouve la tentation du relativisme, qui considère que chaque culture est relative à ses conditions historiques et géographiques, et qu'il n'y a donc pas à porter de jugement de valeur sur les diverses cultures: elles se valent toutes. Cette attitude relativiste est apparemment généreuse, mais elle pose un problème: si toutes les cultures se valent, pourquoi s'intéresser à autrui, qu'ai-je à apprendre de sa culture - sinon une vide curiosité? 3) le Naturel ou culturel ? On définit aussi souvent

différences culturelles sont-elle nécessairement sources de préjugés ? Il existe depuis toujours dans notre monde des différences culturelles. Il n’est pas rare d’avoir plusieurs culture, de voir différemment, de penser autrement. La culture à travers les époques on prit bien des formes et on posait des problèmes. On parle alors de « chocs culturels » qui peuvent être brutaux. On parle aussi de « croisements culturels », qui prennent en général du temps. Mais les différences culturelles sont-elles

Humanisme L’humanisme est un courant culturel européen, trouvant ses origines en Italie, principalement autour de Florence, qui s'est développé à la Renaissance après le 15 siècle. Cet humanisme vise à diffuser plus clairement le patrimoine culturel. L’individu, correctement instruit, reste libre et pleinement responsable de ses actes dans la croyance de son choix. Les notions de liberté ou libre arbitre, de tolérance, d’indépendance, d’ouverture et de curiosité sont, de ce fait, indissociables

même que par la critique de l’ordre social et la hiérarchie religieuse. Il évoque le passage de la nuit au jour, de l'obscurantisme à la connaissance rationnelle. Aussi, l’esprit de ce courant est né des découvertes scientifiques et du relativisme culturel lié à l’étude des civilisations non européennes. La plus importante des convictions que partagent les intellectuels de cette époque est, sans contradiction, la foi inébranlable dans le pouvoir de la raison humaine. Cet esprit philosophique