Le Système Féodo Vassalique

qui sont consolidées par la remise du puissant, le seigneur, à un moins puissant, le vassal, par la remise d’un fief qui désigne la concession à charge de services nobles et l’objet de cette concession aux 10ème et 11ème siècles est la féodalité. Système de relations sociales et politiques qui est un ensemble de structures et d’institutions : un schéma nouveau d’organisation humaine établie à partir du territoire foncier, la seigneurie sur laquelle le seigneur exerce des droits et des pouvoirs que

(de personne à personne), le puissant est le seigneur, le soumis est le vassal. Le seigneur doit protection et moyen d’exister au vassal, au moment de la cérémonie, il lui remet un fief qui lui permet de vivre. Relations féodo-vassaliques. Le terme « féodalité » recouvre un système de relations sociales et politiques. Un ensemble de structures et d’institutions, un schéma totalement nouveau d’organisation humaine établit à partir d’un territoire foncier, la seigneurie et de la vassalité (liens d’homme

« féodalisation » qui s'y manifestaient. La Reconquista, tout en donnant naissance à plusieurs royaumes, contribue à sauvegarder le sentiment d'une unité hispanique et à maintenir un pouvoir royal assez fort pour empêcher le développement d'un système féodo-vassalique comparable à celui qui triomphe dans les États nés de la dislocation de l'Empire carolingien. Ce sera seulement dans la seconde partie du Moyen Âge que l'aristocratie foncière née de la Reconquête cherchera à s'imposer à l'autorité monarchique

justifier au nom de l’intérêt général, la mise en place de mesures exceptionnelles. Cette situation doit rester exceptionnelle, si les mesures se multiplient on ne peut parler d’état de droit. La crise sanitaire du covid, qui a énormément touchée le système de santé elle sert de réacteur de se besoin d’état. Cette reprise va t elle marquer le retour de l’état? Toutes les grandes crises ont entrainées un appel à l’état. C’est sur des ruines encore fumantes de la peste noire qu’est émergé l’état moderne

est le bien donné, « confié », au vassal en échange de sa fidélité, de son aide et du service envers le grand, appelé également « seigneur », qui se lie ainsi en lui promettant de son côté protection et aide. Il n’y a pas lieu ici de développer le système féodal (qui sera évoqué ultérieurement), mais seulement de retenir que le développement parallèle de la seigneurie et de l’ordre féodal joint à un mouvement continue vers l’hérédité (la patrimonialité) des fiefs du IXe au XIe siècle explique la structure

privés majoritaires relèvent d’abord de la voie conciliatoire et ce n’est quand cas d’échec ou de renonciation que ces infractions peuvent relever de la voie jud mais alors selon une procédure de type accusatoire. La voie conciliatoire dans ce système là (l’E n’intervient que très peu) la conciliation suppose que la victime renonce à deux voies pour éteindre le conflits ; la vengeance et la justice pu. Elle accepte que l’auteur compense le dommage qu’elle a subit par une compensation (en nature

propriété de chacun sur son corps et sur ses actions. Pour ces auteurs contemporains l’Etat est un mécanisme d’agression constitué d’une bande de brigands et de parasites. La solution réside dans la suppression totale de l’Etat et la création d’un système dans lequel le marché pourrait jouer dans tous les domaines. B. Le marxisme. L’Etat c’est la domination d’une classe sociale sur les autres. Son but est de maintenir au besoin par la violence l’ordre social. L’Etat capitaliste c’est la domination

la justice sans que cela constitue une règle. En réalité, ce sont ces justices la qui vont problèmes. Dans le cas des seigneurs féodaux, ceux-ci ne sont pas justiciers parce que le seigneur féodal n'est compétent que sur le lien féodo-vassalique. Cette diversité juridictionnelle se trouve accrue par le fait que des établissements religieux comme de grandes abbayes peuvent exercer de grandes justices en tant que seigneur. De plus, les bourgeois des communes peuvent eux aussi exercer

en Occident reste redevable. Pour en mesurer le caractère novateur dans l’Antiquité, une brève incursion s’impose au sein du système juridique antérieur, qui est la tradition orientale (section I). Par opposition à celle-ci, Rome va établir les frontières du droit. Après l’avoir isolé, les Romains vont le constituer en discipline scientifique, léguant ainsi un nouveau système juridique (section II). SECTION I. LES ORIGINES LOINTAINES DU DROIT DANS LE BASSIN MEDITERRANEEN L’Ancien Orient va tenir

est la soumission d’un homme à un maitre : le « séinor » au nom d’un serment de fidélité : la commendatio. C’est ce qui explique qu’un roi peut débaucher les fideles de ses adversaires si ils leurs offres plus : un « beneficium ». Ce système devient un véritable système, avec Charles Martel, le roi se mettant à en exiger toujours plus et les capitulaires royaux prescrivent à chacun de jurer de ne pas nuire au roi. En soi, c’est une idée brillante car l’idée est de généraliser la commendatio à tous