Les Institutions Athéniennes

n’évitant que ne se constituent des groupes dominants regroupant les plus riches. - Permettre le fonctionnement des institutions, la tribu devenant le cadre juridique des élections. 3. Une citoyenneté imparfaite. La notion de la citoyenneté à Athènes à évoluer durant les Ve et IVe siècles. Mais elle s’appuie sur plusieurs principes qui sont restés constants. a. La population athénienne : Mise en garde : Il est très difficile d’établir des données chiffrées de la population totale de l’Attique durant

"politique sociale" développement économique (cultures d´olives; grands travaux en ville etc.) - les deux fils de Pisistrate gouvernent ensuite, mais sont renversés.-Par la suite, Athènes établira un régime démocratique (509) II-La démocratie athénienne - Au VIe siècle, les réformes de Solon: ont substitué , pour la population libre, quatre classes censitaires aux distinctions fondées sur la naissance. Les premières classes, les plus riches, sont moins nombreuses (1e et 2e classe=20 % des citoyens)

La démocratie athénienne, un régime égalitaire ? Au VII° siècle, à Athènes le pouvoir est exercée par une aristocratie. Cette domination est contestée par de riches marchands , des artisans et des paysans endettés. En effet, si ces derniers ne payent pas leurs dettes, ils peuvent perdre leur liberté et donc devenir des esclaves. En – 594, Solon le premier grand réformateur athénien, fait adopter une loi qui interdit l'esclavage pour dette ; il proclame l'isonomie, c'est-à-dire l'égalité de

territoriales b. institutionnelles et militaire 3. Pas décisifs vers la démocratie a. ostracisme b. isonomie LES REFORMES DE CLISTHENE À ATHENES Ilva Haxhi Clisthène fut le réformateur et homme politique athénien qui créa les fondements de la démocratie athénienne. A différence de son prédécesseur Solon entre mythe et réalité, Clisthène est un personnage bien réel, pourtant sur lui il y a beaucoup moins de sources. Seulement deux auteurs anciens parlent de la figure de Clisthène,

passage de l'époque archaïque à l'époque classique1. Même s'il ne faut pas en exagérer la portée – pour l'empire achéménide ce conflit semble initialement assez périphérique – les guerres médiques apparaissent comme le point de départ de l'hégémonie athénienne en mer Égée, mais aussi comme la prise de conscience d'une certaine communauté d'intérêts du monde grec face à la Perse, idée que reprend, près de deux siècles plus tard, Alexandre le Grand. Ces guerres sont dites « médiques » car les Grecs confondaient

L'assemblée des citoyens sièges sur La Pnyx, jusqu'à 6 000 citoyens peuvent s'y rassemblés. Ce n'est pas sur l'Agora pour que les décisions ne s'ébruitent pas jusqu'aux non-citoyens. 4)Quelles sont les informations qui montrent que les institutions athéniennes souhaitent une égalité des citoyens ? Quels sont les instruments politiques du citoyen qui montrent l’égalite ? Le vote est-il toujours secret ? Les instruments politiques qui montrent l'égalité sont la clepsydre, pour l'égalité du temps

la notion de justice a un sens subjectif et un sens institutionnel. Subjectif acceptation du sens moral de la justice. La justice peut être un fondement du droit. Sens grec : l’art de ce qui est équitable et bon Institutionnel ensemble des institutions judiciaires : tous les organes qui vont avoir pour fonction de rendre la justice, ils vont donc faire respecter le droit. Ces 2 sens ne coïncident pas toujours, on peut trouver des décisions qui ne soient pas juste ou équitable. Le contenu

manifester par différentes institutions politiques. (Idée et institutions + exemple du suffrage politique). Une même idée, le suffrage politique, peut renvoyer selon les époques, les régimes politiques à différents mécanismes : mécanismes de participation des citoyens. mécanismes d'attribution du pouvoir. On peut distinguer deux ensembles : Les institutions qui limitent l'idée de suffrage politique. Les institutions qui privilégient son extension. Quelles sont les institutions qui limitent cette idée

historique Identifier un problème Annoncer le plan Au temps de la démocratie athénienne (-492 à -322) et de l’empire romain (-14 à 476 de notre ère), la majorité des habitants est exclue de l’exercice du pouvoir. Les exclus ne jouissent pas des droits et devoirs du citoyen : ils n’appartiennent pas à la communauté politique. Femmes et enfants, esclaves et étrangers n’ont pas de place dans les institutions politiques athéniennes et romaines. Ces deux espaces politiques d’Athènes et de Rome, une cité-Etat

principal d’adhésion à la citoyenneté : appartenance Va-et-vient permanent entre principe de l’équité et principe de l’égalité totale : cadre qui préside à l’élaboration du modèle de la démocratie athénienne Ce débat et ce modèle athénien de citoyenneté : inspire de nombreuses cités grecques. Rayonnement athénien. Contribue ainsi au recul de l’idéal aristocratique, élitiste Même si principe d’équité : loin de disparaître. Continue d’être défendu. Justifie par exemple : l’esclavage, restriction pour