Liberté Créatrice

premier, nous assimilerons le concept d’art à la liberté de création en opposition aux conventions restrictives et limitatives. En second lieu, nous établirons le schéma inverse à la thèse et poserons qu’il n’y a pas d’art sans règles. Enfin, dans une dernière partie, nous mettrons en évidence l’idée selon laquelle la nouvelle règle en matière d’art est de refuser les règles. I. L’art ou la liberté de créer 1. L’art s’apparente à une certaine liberté dans la création par opposition à l’idée de

comme l'explique le récit biblique de la genèse. Cela signifierait donc que l'homme, à l'image du Dieu créateur, possèderait ce même pouvoir créatif, l'homme serait artiste et sa vie serait son œuvre. L'être humain aurait donc une compétence créatrice qui lui permettrait à la fois de créer au sens technique/matériel du terme, ce dont nous rend compte la société technique contemporaine, mais il serait aussi artisan de sa vie au plan factuel de par ses décisions et orientations. Cependant, si

expériences qui s’écrivent, faisant du texte [poétique] un laboratoire du futur, David Diop n’a pas crypté les promesses d’avenir pour ce qui est de la prise en charge des grandes questions de l’heure : la Renaissance africaine et la conquête de la liberté dans la dignité. En réalité, dès les années 1950, ce poète, à travers visions, rêves et idéaux annonçait déjà une géo-poétique de la renaissance qui redonne au continent centralité et dignité. Malgré le temps, cette question est encore agitée aujourd’hui

pouvoir qui lui est propre . Aussi , parce que reniér la conscience qui est notre héritage et qui nous a permit le progrès n'est pas une solution ; Elle nous permet une liberté sans limite de part notre pensée qui peut s'exprimer dans l'art "Tous mes travaux tendent à établir que la conscience est efficace et véritablement créatrice" Bergson . Elle nous élève infiniment au dessus de tout les êtres vivants de par la conscience de soi-même et par cette unicité propre au vécus , aux expériences ; ce

questions morales, sociales, philosophiques, en particulier l’interrogation centrale, que suggère le titre sur la liberté et la fatalité. -Dès le début, Diderot remet en cause les procédés du roman traditionnel, bouscule nos habitudes, nous amène à nous interroger sur les conventions romanesques et sur la liberté du créateur, tout comme l’ensemble de la page pose la question de la liberté humaine face au déterminisme. I UNE ENTREE EN MATIERE ORIGINALE 1)Une attente déçue Les premières pages d’un

l’universalisme du Classicisme français, privilégie l’idéalisme, les sentiments et les particularités. Le mouvement culmine en France entre 1820 et 1848. Le courant véhicule une nouvelle image de l’homme et de la société, fondée sur les idées de liberté, de diversité et de l’évolution. 2.1) Les traits majeurs * Exaltation du moi (très présent = surexcité), le poète devient un guide. Amené à la lamentation ou à la révolte. * Sensibilité (fleur de peau), mélancolie. Elle s’exprime dans des

Noam Chomsky RAISON ET LIBERTE Sur la nature humaine, l’éducation, et le rôle des intellectuels Préface de Jacques Bouveresse. Textes choisis et présentés par Thierry Discepolo et Jean-Jacques Rosat. – Traduit de l’anglais par Frédéric Cotton, Aude Bandini et JeanJacques Rosat Éditions Agone, XXXII + 408 pages. 25 €. À paraître : avril 2010 L’action politique et sociale doit être animée par une vision de la société future et par des jugements de valeur explicites, qui doivent découler d’une

philosophes et politiques commencent à mettre en œuvre un nouveau mouvement culturel et philosophique qui s’intéresse particulièrement à la politique en mettant en cause les problèmes sociaux et religieux mais ce nouveau mouvement met également en avant la liberté de chacun, les droits dans tous les domaines, prône la démocratie et met en cause les privilèges de la noblesse et du clergé, on appelle ce mouvement le siècle des lumières. Voltaire (1964-1778) était écrivain, poète et philosophe très libre et

poids, le fardeau est quelque chose dont il est légitime de chercher à se débarrasser. -         connotation négative du fardeau par opposition à la connotation positive de la liberté. Plus encore, la liberté c’est justement la possibilité de faire ce que je veux donc paraît être opposé au fardeau. -         la liberté implique ainsi des responsabilités – rendre des comptes de nos actes devant diverses instances : ne peut-elle pas en ce sens être un fardeau. -         il fallait ne pas oublier

cette conception de la « conscience morale » : elle nous est donnée et nous dispense même des règles. Nous nous attacherons davantage à l’approche psychologique de la conscience afin de savoir si « elle est source de liberté ou de contrainte ». Nous verrons comment conscience et liberté sont étroitement liées et pourquoi l’homme peut parfois préférer l’inconscience. Source d’épanouissement et d’effort, en quel sens la conscience est-elle la plus grande tâche de l’Homme ? | | |