Liberté Créatrice

concept : 1 / Un sens juridique : La citoyenneté est d'abord un ensemble de droits et d'obligations. De ce point de vue, la citoyenneté apparaît comme un concept abstrait. Les droits peuvent être : •civils: l'ensemble des libertés individuelles (conscience, expression, se marier, avoir un avocat, aller et venir, être traité par la justice de façon égale pour tous, ....), •politiques: (participation à la vie publique, être électeur , être éligible, etc...., pour tous, y compris

Cependant quand Descartes nous parle d’une liberté d’indifférence, ne décrit-il pas une expérience intérieure convaincante ? Si je peux douter de tout ce qui apparaît dans ma conscience, même si ce jeu d’apparences continue son action, n’y a-t-il pas en moi une dimension indépendante de tout ce qui se déroule dans le temps et l’espace ? D’ailleurs Spinoza lui-même s’il juge le libre-arbitre illusoire n’est pas totalement fermé à l’idée d’une certaine liberté puisqu’il évoque une forme de libération

permettez, vous poser une question. Par quel droit me condamnez-vous ? Qui êtes vous pour pouvoir me juger ainsi ? Si je sais une chose à propos de votre société, c’est que vous considérez la nature comme étant l’essence de toutes choses. Elle est la créatrice de tout être peuplant le monde et l’univers. Je suis une créature de ce monde, comme vous, nous sommes tous des animaux, enfants de la nature. Vous vous permettez de me juger et me condamner, ainsi vous critiquez l’œuvre de ce que vous adorez tant

au détriment de la liberté d’action des entreprises ou bien laisser une liberté totale ou presque sur le marché économique et se faire le libre jeu de l’offre et de la demande ? L’entreprise peut être définie comme une structure économique regroupant des agents dans le but de produire et de vendre la production sur le marché. On peut donc se demander si le droit garanti une sécurité pour l’entreprise ou si il limite une vie économique par le biais de restriction de la liberté d’entreprendre et une

source de liberté ou de contrainte ? Problématique : en quoi notre conscience permet a la fois la totale liberté de nos actes mais aussi en modèle les limites en nous fessant relativiser nos actes et donc restreint nos actes I. La conscience perceptive m’arrache à l’inertie du monde et m’élève à la liberté del’initiative. Ce par quoi j’appartiens au règne du vivant et non au règne de l’inerte, du. La conscience implique ma possibilité de réagir voire d’anticiper laquelle constituera liberté fondamentale

démocratique comme « celui qui est le moins éloigné de la liberté que la nature reconnaît a chacun ». En démocratie, le peuple reste souverain, du moins en droit. C’est ce qui fait d’elle un régime légitime .Ainsi, MONTESQUIEU écrit dans DE l’esprit des lois ; dans les démocraties seules,  « le gouvernement est à chaque citoyen » La démocratie un régime politique qui cherche à promouvoir les libertés individuelles (la protection de la liberté de pensée et d’expression y est garantie).A ce propos,

Je suis heureux de pouvoir être ici avec vous aujourd'hui, à une manifestation dont on se rappellera comme étant la plus grande manisfestation pour la liberté dans l'histoire de notre pays. Il y a cent ans, un grand Américain, à l'ombre de qui nous sommes aujourd'hui, a signé la Proclamation d'Emancipation. Ce décret capital est arrivé comme une grande lumière d'espoir pour les millions d'esclaves qui avaient été brûlés par les flammes de l'injustice qui consume. Il est venu comme une aurore joyeuse

L’HOMME PEUT-IL RELEVER LE DEFIT D’UNE EXISTENCE LIBRE OBJECTIF GENERAL : Apprendre les difficultés liées à la quête de la liberté INTRODUCTION GENERALE : Selon une conception courante et active, la liberté sera le désir d’agir indépendant de toute contrainte. Ce sens de la liberté traduit chez l’homme ce que le philosophe existentiel Français Jean Paul Sarte (1905-1980) appelle l’: «exigence absolu d’autonomie ». C’est-à-dire le désir de ne point

infinis (ils ne font qu'un : Dieu-substance), c'est à dire qu'il est en soi, par soi et pour soi. Il ne dépend de rien d'autre que de lui-même (autosuffisance). Il est éternel, intemporel, absolument infini. Dieu n'a pas de liberté d'indifférence mais une nécessité, (liberté=nécessité), il est déterminé par lui-même. Il est la nécessité, la nature, il existe nécessairement et étant absolument infini, il a un pouvoir infini d'exister. Il ne peut pas ne pas exister. Même l'idée que Dieu n'existe pas

Peut-on concevoir une liberté sans loi ?  (6 heures) On connaît la fameuse sentence d’Ivan Karamazov dans l’ouvrage de Dostoïevski : « Si Dieu n’existe pas, tout est permis ». On pourrait y faire remonter le topos anarchisant « Ni Dieu, ni maître ». Sur cette voie, un secret désir semble étreindre le cœur de l’homme et attendre le moment où il pourra s’avancer, levant haut l’étendard d’une liberté absolue, d’une liberté sans foi, ni loi. Mais l’homme est un être retors, fait d’un bois si courbe