Licenciement Pour Motif Personnel Sans Faute

Développement Quels sont les ruptures de contrat de travail au sein de mon entreprise à laquelle j’ai due faire face ? I. Démission II. Licenciement pour faute grave III. Avantages et inconvénients 1) Pour l’employeur a) Démission b) Licenciement 2) Pour le salarié a) Démission b) Licenciement ------------------------------------------------- 1° Introduction Je vous présente une étude sur la rupture du contrat de travail. J’ai choisis

I – Les cas de rupture de la relation de travail. A) Le licenciement pour motif économique 1. « Cause réelle et sérieuse » : Il n’existe nulle part dans la loi de définition de la cause réelle et sérieuse. Cependant, pour la réalité de la cause : l’employeur doit convaincre le juge non seulement de l’exactitude du motif mais aussi de sa sincérité. Pour le caractère sérieux de la cause : il doit s’agir d’une cause suffisamment grave qui empêche la continuation normale du travail de l’entreprise

défini comme l’ensemble des règles juridiques applicables aux relations individuelles et collectives qui naissent entre les employeurs privés et leurs salariés. Peu à peu le droit du travail c’est détaché du droit civil pour des motifs de santé publique et pour des motifs de santé sociale. En 1840, il y a eu un rapport du docteur Villermé sur les conditions sanitaire du travail des enfants dans les filatures du nord, rapport qui a attiré le regard sur les conditions de vie de ces enfants à cette

Sujet : La cause réelle et sérieuse en matière de licenciement pour motif économique La notion de licenciement pour motif économique apparaît pour la première fois dans la jurisprudence du Conseil d'État, en application de l'ordonnance du 24 mai 1945 relative au contrôle de l'emploi. A cet époque, les différents pouvoirs publics cherchent à contrôler le marché de l'emploi. C'est pourquoi, le droit français des licenciements économiques a fait l'objet de plusieurs réglementation plus ou moins chaotique

travail) décrets, ordonnances, arrêtés jurisprudence coutume les sources spécifiques accords et conventions collectives (accords conclus entre un employeur ou un groupement d’employeur et une ou plusieurs organisations représentatives du personnel (syndicats) en vue de fixer les conditions du travail et d’emplois et les garanties sociales des salariés) premier niveau de signature : entre l’employeur et les syndicats représentatifs niveau supérieur : accord signé par une fédération syndicale

caisse de retraite complémentaire dont il relève pour lui fournir des renseignements sur le salarié. Les caisses sont l’ARRCO pour tous les salariés et l’AGIRC pour le personnel cadre (en plus de l’ARRCO). 3. RENSEIGNER LE REGISTRE UNIQUE DU PERSONNEL Tout établissement qui emploie des salariés doit tenir un registre unique du personnel. L’employeur doit inscrire lors de l’embauche sur ce registre : Nom, prénom, nationalité, date de naissance et sexe de chaque salarié Son emplois, sa qualification

obligations à l’embauche de l’employeur * Entretien de recrutement (questions interdites, discrimination à l’embauche …) * Obligations à l’embauche (registre unique du personnel, visite médicale, DUE …) Chapitre IV: Les différents types de contrats de travail * Principe = CDI * Exception = CDD * Motifs de recours aux CDD * Clauses obligatoires du CDD * Règles de succession des CDD avec un même salarié * La période d’essai du CDD * Rupture du CDD

travailler les chômeurs. Puis vinrent les lois sur l’hygiène et la sécurité du travail, la réparation des accidents du travail par l’employeur. Le licenciement a cessé théoriquement d’être discrétionnaire mais on a considéré en 1890 par une loi qu’un contrôle pouvait intervenir alors on a instauré un délai congé (prévis : temps entre le licenciement et le départ du salarié de l’entreprise pour qu’il puisse trouver un autre travail). L’état intervient dans les rapports collectif et c’est ainsi que

travail. Les instances représentatives du personnel auxquelles sont soumis les articles du règlement intérieur (discutés et publiés au conseil des prud’hommes et notifiés à l’inspection du travail qui dispose d’un pouvoir de contrôle et de censure). • Le contrat de travail : le principe de faveur fait que dans un contrat de travail, par dérogation aux conventions collectives, bénéfice en cas de rupture du contrat avec indemnités de licenciement. Section 3 : les autorités régulatrices en

appliquer l’usage, il doit le dénoncer en respectant un délai de prévenance, l’information individuelle des salariés et la négociation avec les partenaires. Accords atypiques : pas un vrai accord collectif signé avec le comité d’entreprise ou délégués personnels ou salariés eux- mêmes. Engagement unilatéraux de l’employeur  - Règlement intérieur : fixe conditions de travail dans l’entreprise et règles de discipline. - Contrat de travail : valeur de loi entre les parties. III- Les ordres publics