Licenciement Pour Motif économique

d’orientation pour l’ emploi Conseil Conseil d’orientation pour l’emploi Mutations économiques, reclassement, revitalisation 6 juillet 2010 1 Sommaire 1. 2. Les mutations économiques, un phénomène mal connu Les politiques d’accompagnement des mutations économiques 3 6 6 6 7 7 8 10 10 12 13 16 16 16 17 17 17 18 18 19 20 20 20 2.1. L’anticipation des mutations 2.1.1. L’obligation de négocier sur la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences 2.1.2. L’appui

interprofessionnel de croissance) est le salaire minimum, en dessous duquel aucun salarié ne peut être payé. Le smic assure aux salariés dont les rémunérations sont les plus faibles la garantie de leur pouvoir d’achat et une participation au développement économique de la Nation.Le smic est un salaire horaire fixé par le Gouvernement. La durée légale du travail est de 35heures hebdomadaire. Le Code du travail prévoit plusieurs types de congés : Les congés payés Les congés pour événements familliaux Les

calculé au 31 Décembre. Il est égal à la moyenne des effectifs déterminés chaque mois de l’année civile. Les obligations de l’employeur 11 salariés et + * Instaurer des délégués du personnel * Mettre en place une procédure pour un licenciement économique 20 salariés * Règlement intérieur (sanctions disciplinaires, mesures d’hygiène et de sécurité) * Emploi obligatoire d’un quota de travailleurs handicapés (6%) 25 salariés * Délégués du personnel avec collège distinct 50

préavis, tout comme le licenciement (de 1 mois à 2 mois selon l’ancienneté dans l’entreprise). Lorsqu’il démissionne, le salarié n’ pas le droit aux indemnités de l’assurance chômage, sauf s’il le justifie d’un motif légitime. Cependant, il y a une condition pour démissionner : la volonté du salarié doit être claire et non-équivoque. II. Le licenciement pour motif personnel Il est à l’initiative de l’employeur. Il est différent du licenciement économique. Les motifs sont inhérents à la personne

l’état de l’entreprise) et on va protéger les libertés publics dans l’entreprise, parce que le salarié en rentrant dans l’entreprise il perdait tous ses droits. Il y a toute une série de lois qui visent à encadrer les licenciements que ce soit pour motif personnel ou économique et progressivement on va tenter d'encadrer les conditions dans lesquelles les syndicats sont présents dans les entreprises et en particuliers dans quelles conditions vont être signés les accordans collectifs. SECTION

de travail. - 27/12/1968 : l’exercice du droit syndical dans l’entreprise est permis. Après le choc pétrolier de 1970, une vague de licenciements s’opère et on prend conscience en France qu’il n’y a pas de législation en la matière. D’où : - 1973 : loi consacrée au licenciement pour motif personnel. - 1975 : loi consacrée au licenciement pour motif économique. - 1979 : première grande loi sur le travail temporaire (intérim). - 1982 : lois AUROUX fondées sur une idée : la citoyenneté dans l’entreprise

présence d’une partie faible dans le contrat de travail, le droit du travail protège les intérêts des salariés. Exemple : un CDD qui dure plus de 18 mois, duré maximum légal, devient automatiquement un CDI. 2 principes majeurs : - Lors d’un licenciement, lorsque le juge ne peut pas se forger une conviction sur la responsabilité de chacun, le doute profite toujours au salarié. Le salarié est protégé doute que doute… - Ordre public social : permet d’appliquer aux salariés la norme inférieure

n’est pas celui de toutes les formes du travail (sinon se serait un droit professionnel), tous les humains qui travaillent ne sont pas tous assujettit au droit du travail car il suppose une subordination. Cette subordination n’est pas simplement économique car nous le sommes tous économiquement mais ici on parle de celui qui est subordonné juridiquement, c’est la personne qui loue sa force de travail à un autre. Le droit du travail est le droit des relations de travail dépendantes et subordonnées

en application d’une clause de mobilité est fautif. Cependant, Ce refus, s’il rend le licenciement de l’intéressé fondé sur une cause réelle est sérieuse, ne constitue pas à lui seul une faute grave. En l’espèce, il s’agit d’un licenciement pour non mobilité de la part de l’employeur. Le non respect de cette clause est justifié par une atteinte à la vie familiale de l’employé. Conclusion Le licenciement le l’employé pour faute grave n’est pas justifié car la seule cause de mobilité et l’atteinte

tutelles (le contrat doit alors être conclu avec son représentant, le tuteur) et les jeune de moins de 18ans (ils doivent être autorisés par leurs représentant légal). L’employeur détient le pouvoir de direction (il assume les risques de l’activité économique, prend toutes les décisions de gestion dans l’intérêt de l’entreprise – pouvoir de gestion – établit les règles –pouvoir réglementaire) Le salarié se doit de respecter ces pouvoirs sous peine de sanctions. Le lien de subordination caractérise