Logistique Wal Mart

plusieurs accords de distribution avec des grandes chaines de magasin comme Wal-Mart, Best Buy et Staples (aux États-Unis)6, Carphone Warehouse et Tesco7 (au Royaume-Uni, en Irlande, en Pologne, en République tchèque et en Slovaquie), Gome (en Chine) ou encore le Groupe Carrefour (en France, Espagne, Belgique…)8. De nouvelles usines sont ouvertes en Asie. La conception du système de production et de la chaîne logistique est révisée. Il n'est plus possible de travailler en flux tendus comme auparavant

2011-2012 Monographie : Carrefour Market CARREFOUR Sommaire I. Partie théorique 4 1) PRESENTATION ET HISTORIQUE DU DISTRIBUTEUR 4 2) FONCTIONNEMENT ET ROLE DES DIFFERENTS SERVICES 5 A. Service logistique 5 B. Service marketing 6 C. Service achat 6 3. CARREFOUR MARKET : degré de centralisation et approvisionnement 8 4. CARREFOUR A L'INTERNATIONAL 10 II. Partie empirique 12 1. Présentation du point de vente 12 2. La gestion des stocks et des approvisionnements :

Technologies d’Information et de Communication et leurs enjeux dans la logistique de la grande distribution : Quelle est la contribution des NTIC, plus particulièrement de l’EDI, des RFID et des places de marché électronique, à la nouvelle organisation de la logistique dans le cas de la grande distribution ? Les Nouvelles Technologies d’Information et de Communication (NTIC) et leurs enjeux dans la logistique de la grande distribution.  Dans cette page, je tiens

Logistique CHAPTRE I : La logistique : concepts et méthodes A) Le cadre d’analyse I) Définitions Dictionnaire : Larousse, Σ des opérations ayant pour but aux armées de vivre, de se déplacer, de combattre et d’assurer l’évacuation et le traitement médical du personnel. Ensble de moyens et de services relatifs à une org La Lq c’est la gest° des flux physiques (matières premières, pdt semi fins, pdt finis) et des flux d’info (nécessaire pour gérer ces flux physiques bon de commande, livraison

marketing avec Wal Mart, spécialiste dans la distribution en détail un partenariat marketing avec l’entreprise Disney, pour capter le plus d’enfant avec l’exclusivité de promotion des films pour enfants; Pour renforcer sa notoriété d’entreprise qui s’occupe de l’alimentation saine; Mcdonald’s signe un partenariat avec le comité des Jeux Olympiques, et lance en parallèle une grande compagne publicitaire « Go Active! » Que pour Ocean Spray avec : • • • • Signature d’un partenariat logistique avec AmeriCold

stratégies dans la distribution 258 Section 2 Les stratégies spatiales dans la distribution 266 Section 3 Les stratégies d’internationalisation des distributeurs 276 9 LA LOGISTIQUE DANS LA DISTRIBUTION Par André Fady, Laurent Bironneau et Thierry Morvan 287 Section 1 L’intégration logistique 288 Section 2 La logistique : un enjeu stratégique 302 Section 3 La gestion des flux d’information 311 10 LE MANAGEMENT INTERNE DES ENTREPRISES DE DISTRIBUTION 319 Par Jean-Luc Despois Section

où l’unité de prise de décision était le magasin indi­ viduel. Il n’y avait donc pas de chaînes de magasins pouvant constituer un système de distribution (Stemquist, 2007). En effet, ils ont souvent cumulé plusieurs contraintes : peu de moyens logistiques, des sociétés dichotomiques, un manque de règlemen­ L tation, etc. (Amine, 2012). De ce fait, les stratégies de marques de commerce étaient quasi inexistantes. Aujourd’hui, les pays émergents pré­ sentent un attrait extrêmement fort pour les entreprises

permettait d'avancer en Europe. Pas aux Etats-Unis : « Le client qui allait chez le marchand de pneus pour acheter Michelin ressortait avec des Goodyear », témoigne Jim Micali, le patron de Michelin North America. « Il n'y avait de stratégie ni pour la logistique, ni pour la distribution, ni pour la marge, renchérit Alison Heiser, sa directrice du marketing. Si bien qu'à la fin des années 80 la marque Michelin, qui ne jouait que sur un segment du marché, risquait d'être marginalisée. » Pour se donner de

L'un de ses concurrents, Mango, a opté pour un modèle de mondialisation par phases : plus de 75 % de sa production sont sous-traités à des entreprises asiatiques ou nord-africaines, mais toute la distribution passe obligatoirement par le centre logistique, situé près de Barcelone. En ce qui concerne les compétences ou les savoir-faire dans un contexte international, Bartlett et Ghoshal ont suggéré qu'une entreprise mondiale doit équilibrer ses objectifs d'efficacité, de compétitivité et de sensibilité

plusieurs accords de distribution avec des grandes chaines de magasin comme Wal-Mart, Best Buy et Staples (aux États-Unis)6, Carphone Warehouse et Tesco7 (au Royaume-Uni, en Irlande, en Pologne, en République tchèque et en Slovaquie), Gome (en Chine) ou encore le Groupe Carrefour (en France, Espagne, Belgique…)8. De nouvelles usines sont ouvertes en Asie. La conception du système de production et de la chaîne logistique est révisée. Il n'est plus possible de travailler en flux tendus comme auparavant