Loi commutative

des suites finies de n termes réels : , ,…, , , ,…, Définition : On peut définir sur , une loi de composition interne, l'addition, notée + par : , ,…, , ,…, , ,…, Propriétés de l'addition : Elle est associative : , , , Elle est commutative : , , Elle a un élément neutre : 0 0,0, … ,0 , Tout élément X a un opposé noté , / ,…, 0 / 0 0 Définition : On peut aussi définir sur une loi de composition externe, multiplication par un réel, noté "." ou parfois sans signe, par : , . ,

énoncée par la cour de cassation qui permet de compenser l'appauvrissement en cas d'enrichissement sans cause (im rem verso ) est synonyme de justice commutative. En effet c'est le résultat d'une justice purement arithmétique. Le requérant, Norber X a donné de son temps, il doit recevoir quelque chose en contrepartie. C'est le principe de la justice commutative qui préside aux échanges dans les relations entre individus involontaires ou volontaires, elle cherche à maintenir l'équilibre intérieur entre les

distributive qui se distingue de la justice commutative ; en tout état de cause la justice se rapproche étymologiquement de la justesse ; apparemment proche de la justice distributive il y a la justice corrective qui restaure un ordre légal (ou légitime) rompu ; cette justice qui s’appuie sur la loi n’est pas à confondre avec la vertu de justice qui est qualité morale de la personne et de ses actes 1 ; il apparaît aussi que la justice réglée par la loi doive encore être distinguée d’une justice plus

(droit) • Le droit = droit positif est l’ensemble des règles et des lois qui organisent la vie d’une société. Le droit positif définit ce qui est légal (légalité) • la justice désigne 2 choses : - l’institution d’Etat chargée de faire respecter la loi (tribunaux, juges, prisons) - une norme ou un idéal de société qui détermine des devoirs envers autrui dans la société (propriété, liberté..). Elle renvoie à la morale. Chez PLATON et ARISTOTE, elle a une vertu. Le juste est celui qui sait distinguer

l’on puisse multiplier chaque vecteur u d’un facteur λ pour obtenir un vecteur λ · u. Voici la définition formelle : Définition 1 Un K-espace vectoriel est un ensemble non vide E muni : – d’une loi de composition interne, c’est-à-dire d’une application de E × E dans E : E×E → (u, v) → E u+v – d’une loi de composition externe, c’est-à-dire d’une application de K × E dans E : K×E → E (λ, u) → λ · u 1 2 qui vérifient les propriétés suivantes : 1. u + v = v + u (pour tous u, v ∈ E) 2. u + (v +

coutume 2- la loi a) La coutume Nom : « consuetudo » / « consuetudines » Cicéron (juriste) : « droit qu’un long espace de temps a rendu obligatoire par la volonté sans intervention de la loi » Pourquoi la coutume est-elle la source principale ? La coutume est caractéristique d’une société stable. La coutume est orale. Elle assure la cohésion de la cité, et elle est liée à la volonté des Dieux. Droit d’origine religieuse : Fas « béni des Dieux ». b) La loi Elle résulte

conscience. q Cours 1 b 1 Ce qui est légal n’est pas forcément légitime Si la légalité est la conformité à la loi, celle-ci n’est pas nécessairement légitime, c’est-à-dire juste : la loi ne peut valoir plus que son fondement, et respecter une loi injuste, c’est être injuste. q Cours 2 c La justice et la loi Pour Hobbes, la justice est une autorité supérieure (le Léviathan) qui décide de la loi, à laquelle l’homme doit se soumettre. Or, la justice ne peut pas se confondre entièrement avec les lois :

qui se trouve devant la cour de cassation. Donc droit n’a pas à intervenir. Omnipresence du droit permet d’apporter des réponses aux enjeux sociaux. B. Diversité : chance et difficulté. Conduit le législateur à intervenir de plus en plus : « la loi bavarde » => utiliser le parlement à des fins de communications. Autre difficulté : surtout en droit pénal, devenu droit « fourre tout » (par un peu partout). Mais chance car offre des métiers divers et pour tout le monde, spécialisation =>

était représentée avec une balance. Il n’y a pas de différence entre le droit en tant que système des lois et la justice en tant qu’institution juridique, dont la mission est d’appliquer les lois. Ce qui est juste est ici ce qui est permis par la loi. Mais il existe une différence entre le droit en tant que système des lois (légalité) et la justice au sens moral et intime de la conduite souveraine de l’homme juste (légitimité). Kant nous dit que le juste, l’homme moralisé, agit par devoir, c’est-à-dire

sens moral en tant que vertue individuelle L’homme est capable de terminer si c’est justice ou pas salon sa raison Sens juridique et politique qui applique des principes et lois propres a une société donné La loi vise à écarter les conflits Nous voudrions dire qu'il ne faut obéir à la loi que si elle est juste. Mais en démocratie la situation est plus compliquée. Car si chacun n'en fait qu'à sa tête la société ne peut fonctionner. Les lois visent justement à mettre tout le monde d'accord, quitte