Ménon

d’une question soit à découvrir la vérité, soit à reconnaître leur ignorance. Dans ce sens, nous pouvons citer un passage de dialogue de Platon intitulé Menon. Il s’agit essentiellement d’une discussion entre Socrate et menon sur la question des valeurs humaines et en particulier celle qui concerne la notion de vertu. Socrate interroge menon sur la notion de vertu, Mémon ayant une expérience de la vie et de sa dimension morale, essaie de montrer à Socrate que l’idée de la vertu lui est complètement

Hay, Colin & Anand Menon (2007.) European Politics. Oxford: Oxford University Press. • Les articles sont disponibles sur le site de la BLSH de l’Université de Montréal ou via StudiUM. Calendrier Thématique I : LES INSTITUTIONS POLITIQUES EUROPÉENNES Cours 1 (8 septembre) : Présentation du cours /Formation des États et identités politiques (Angleterre) • Hay & Menon: chapitre 4 Cours 2 (15 septembre) : Parlementarisme et semi-présidentialisme (France, Italie) • Hay & Menon: chapitres 2 et 3

Université Travaux Dirigés Éthique Le mal Danaël Carbonneau L2 S4 Professeur : M. Blanchet-Giraud Janvier-Mai 2022Table des matières I Comment quelque chose comme le mal est-il possible ? 2 1 Le mal en négatif 3 1.1 La connaissance et le Mal (Platon, Le Ménon) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 1.1.1 La position de Platon sur le mal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 1.1.2 Le mal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 1.2 Le goût de la transgression

2. Le Ménon : Le Ménon est un dialogue de Platon, dans lequel Ménon et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, sa nature, afin de savoir si la vertu s’enseigne ou, sinon, de quelle façon elle est obtenue. Dans un premier temps, la question examinée est donc celle de l’essence de la vertu. Néanmoins, après plusieurs vaines tentatives de réponse, Socrate et Ménon examinent la question plus générale encore :

universelles, et de l'inciter à mettre son discours en accord avec les exemples. Ce travail de prise de conscience ne peut être obtenu que par une pédagogie de l'échec et par l'analyse des raisons de l'échec. la conquérir. Pour réfuter l'objection de Ménon, Socrate relativisera l'opposition du savoir et de l'ignorance en se fondant sur l'immortalité de l'âme et en développant par là même une théorie de la connaissance qui exclut que le point de départ d'une volonté de savoir puisse être l'ignorance absolue

Platon écrivit vers les années 380 av. J.C. ; il s’agit du dialogue entre Ménon, jeune noble thessalien en visite à Athènes, et Socrate. A la question posée par Ménon à Socrate : « qu’est-ce que la Vertu ? », les divers raisonnements montrent rapidement que la recherche d’une définition est infructueuse, et la question se transforme très vite sur l’essence de la Vertu, et de savoir si celle-ci peut s’enseigner. Il apparaît que Ménon et Socrate ne conçoivent pas de la même façon la vertu et l’homme vertueux

suis le Lazare ! Il me vient de cette ombre une miette de toi,- Mais oui, je sens un peu mon cœur qui te reçoit, Puisque sur cette lèvre où Roxane se leurre Elle baise les mots que j’ai dits tout à l’heure ! 9 III- Le sujet à traiter : MENON: à présent, telle est l'impression que tu me donnes : me voilà ensorcelé par toi, j'ai bu ton philtre magique, je suis, c'est bien simple, la proie de tes enchantements, si bien que je suis maintenant tout embarrassé de doutes ! Et tu me sembles

transmission de valeur. Ce problème de duplication tiré du Ménon de Platon sert de preuve à Socrate, pour soutenir son idée qu’enseigner n’est pas transmettre L’option de Socrate semble contre-intuitive, elle va à l’encontre de nos intuitions, nous somme persuader lorsque nous rentrons en classe que nous ne savons pas ce que l’on va nous enseigner, l’institution scolaire est majoritairement basée sur le point de vue des Sophistes Ménon est riche citoyen athénien (aristocrate), il est un pratiquant

interlocuteurs de Socrate c’est Polémarque qui dit qu’il est dans un état de confusion. Cette interlocuteur dit : « Par Zeus, pas du tout ! s’écria-t-il, mais je ne sais plus ce que je disais » (p. 84. l. 21-22). Le parallèle entre l’extrait du Ménon et la situation aporétique du Livre l de La République, c’est le sentiment d’être confus. Socrate met en doute les pensées des personnes. À la fin, ses adversaires réalisent que leurs résonnements sont faux. Donc, ils remettent en question leurs idées

permettent à Phidias d’affirmer que l’auteur de ces calomnies et leur propagateur n’est autre que l’un de ses concurrents jaloux, un dénommé Ménon, qui, il y a encore quelques mois, habitait à Paris (on n’a plus de nouvelles de lui depuis lors). C’est tout ce que l’on sait. Quels tribunaux Phidias pourrait-il saisir d’une action en responsabilité délictuelle contre Ménon? 2.- Votre ami Périclès, propriétaire d’une riche collection d’oeuvres de Phidias, est fort gêné par la campagne de dénigrement dirigée