Merchandising Galerie Lafayette

prescripteurs - Transmettre le rêve aux jeunes femmes Risques - S’adresser qu’à une niche de jeunes femmes COMMUNICATION Mise en place d’un programme de fidélisation DIOR OR BLEU But : Développer du relationnel : • Un marketing ---> Concentré • Merchandising s’imposer dans les zones chaudes • Création d’un club « Dior Or Bleu » •Entrée via parrainage •Cross-selling (Trois produit Or bleu sur 12 mois) •Avantages (une remise à la date d’anniversaire de la cliente) •Evènement (mise en place de relookeur

(situation souvent inverse); * mettre à disposition du matériel (situation souvent inverse); * remonter l'information et assurer une publicité; Le distributeur attend de son fournisseu * un droit de référencement (en fonction du merchandising réalisé par la distribution sur site physique ou virtuel); * des délais de paiement importants; * des efforts de publicité (politique pull); * un budget versé en fonction de la progression des ventes (remise conditionnelle) ;

épicerie, comme les galeries Lafayette. Et dans une deuxième étape, pour toucher des volumes plus significatifs et l'ensemble des consommateurs qui pouvaient être intéressés (..) on devait nécessairement les toucher par la grande distribution. Interviewer: Mais comment sortir du lot en grande distribution? Michel: On veut faire en sorte que les produits ressortent des rayons et soient décalés par rapport à la concurrence. On a investi sur le packaging, et le merchandising ( ...) Notre point

Conclusion 3 1 - De l’utilité de connaître les consommateurs  Industriels Que proposer aujourd’hui? Quelle offre produit Adéquation offre produit/magasin/enseigne A quels prix… Attractivité de la marque Visibilité produits en magasin (merchandising, ruptures) • Comportement du consommateur/formats/enseignes • • • • • © Marc Benoun,2007  Que proposer demain? • Offre produits en fonction des tendances de consommation • Tendances prix • Évolution des consommateurs /circuits /multiformats

les parfums (80% des parts de marché). Ce circuit regroupe aussi bien les parfumeries indépendantes sans enseigne nationale que les chaînes spécialisées (implantées très largement à l’échelle nationale voire mondiale) ou les grands magasins (Galeries Lafayette, Printemps). Il concentre ses efforts sur les marques renommées et s’adresse à une cible clientèle à assez fort pouvoir d’achat. Attaquée par les pharmacies et les grandes surfaces alimentaires, la distribution sélective travaille sur une montée

intéressants, mais aussi la création d'une image nationale plus facile à défendre grâce au partage des frais de communication, une enseigne et une politique commerciales communes, ainsi qu'un large éventail de services d'assistances (gestion, merchandising, formation, recrutement). Exemples : Intermarché, Leclerc, Intersport, Mr Bricolage, Optic 2000 La concession : contrat de distribution par lequel un commerçant (le concessionnaire) obtient le droit de la part d’un fabricant (le concédant)

designer n’est pas un artiste, il doit répondre à cahier des charges Fumer des joints ne fait pas de moi un artiste malheureusement Contraintes techniques, cout , volume, contrainte de reproductibilité du produit. Il y a cependant du design de galerie : à quelques exemplaires seulement qui fleurt plus avec l’art. ici on parlera de design industriel FONCTION Un objet ça sert à quelque chose : pas forcément utilité fonctionnelle mais une utilité sociale TENDANCE Fabien di Barthes : « la

entreprise en France. Donc j’ai choisi magasin Monop’ qui est une des enseignes de la grande distribution Monoprix. Max Heilbronn, le gendre de Théophile Bader (fondateur des Galeries Lafayette), crée l’enseigne Monoprix. Le premier magasin Monoprix est inauguré à Rouen, en 1932. Tout comme Uniprix (enseigne lancée par les Nouvelles Galeries en 1929) et Prisunic (enseigne lancée par le Printemps en 1931), Monoprix s’inspire du concept américain de magasin dit « à prix uniques », né en 1879 aux Etats-Unis

générer l'achat d'impulsion. Et ça marche ! Leader sur le segment, Dim a ainsi pérennisé son opération des «Beautiful Days». Reconduit pour la sixième année consécutive, ce dispositif de boutiques éphémères déployé en grandes surfaces et aux Galeries Lafayette en mars-avril continue de séduire les clients. « Ils apprécient la mise en scène, les offres promotionnelles et la variété des produits proposés », indique Sonia Mancy, chef de groupe stratégie promotionnelle chez Dim. Surprendre les clientes

proposée ; on peut distinguer : * Les spécialistes : leur gamme est étroite, mais profonde (par exemple Nicolas). * Les multi spécialistes : les gammes sont larges, mais profonde (par exemple Darty ou encore les grands magasins comme les galeries Lafayette). * Les généralistes : les gammes sont larges, mais moins profondes que les spécialistes par exemple les hypermarchés). Huitième classification : elle est basée sur les méthodes de vente ; on peut distinguer : * Les ventes traditionnelles ;