Mittal

2010 ce qui montre la confiance qu'ont les investisseurs en l'entreprise malgré la crise du secteur de l'automobile. ← Les augmentations de capital Le groupe reste un groupe de type familiale comme l'inde en compte beaucoup (exemple Mittal steel) mais pour une certaine visibilité internationale et permettre la liquidité de son titre l'action est coté au NYSE. Sa forme juridique sécurise le groupe et facilite la gestion. Par rapport à l'actionnariat on à une forte notoriété

zone économique spéciale et les mines de fer. Cependant, la crise financière et économique internationale qui a entraîné la récession dans les pays développés a réduit la rentabilité des projets d’investissements. Cela a conduit le groupe Arcelor Mittal à différer voire annuler le projet d’exploitation des mines de fer du Sénégal Oriental. De même le projet JAFZA d’aménagement d’une zone économique spéciale près de Dakar estimé à 800 millions de dollars n’a toujours pas connu de début d’exécution

( Exemple : Coca Cola fusionne avec les entreprises qui produisent les contenants et bouteilles ) Éliminer la concurrence Enfin fusionner avec un concurrent permet de gagner les parts de marché assez rapidement. (exemple Fusion d’Arcelor par Mittal) III. La fusion par absorption 1. Définition Le législateur a envisagé ce premier type de fusion qui se trouve contenu dans l’article 671 du Code des Sociétés retranscrit ci-dessus. 2. La fusion par absorption La fusion par absorption est l'opération

est en effet réel que les chefs d’entreprises et les ouvriers ne se comprennent pas, leurs cultures sont tellement plus éloignées que ne l’est la culture africaine de la belge. Penchons-nous sur un exemple actuel concret qui est celui d’Arcelor Mittal, où le chef de cette entreprise ne comprend pas que ces déplacements de sociétés, pourtant innocents sur le papier, mettent à la porte près de 1300 ouvriers qui ne retrouveront, en général, jamais de travail. Africains comme Belges, se retrouvent

interdisant le licenciement pour motifs économiques (lié à des considérations boursières). Des dispositifs ont été mis en place par le gouv pr interdire le licenciement pour motifs économiques pour les entreprises qui réalisaient des dividendes. Ex : Mittal à Florange. Soulignons en France la présence de la QPC qui est un moyen de contester les lois qui n’ont pas fait l’objet d’un contrôle à posteriori. Il y a donc une multiplication des contentieux en matière économique. Très lentement le CC accorde

elle ne bénéficie pas d’un régime dérogatoire. Certaines entreprises préfèrent être non résidente. Leur objectif est simple : s’installer sur territoire, créeer emplois et décider si elles acceptent de séjourner sur le territoire. Ex : Arcelor-Mittal : Progressivement cette entreprise rapatrie les technologies dans son territoire. 2. L’analyse des flux financiers La comptabilité nationale nous permet de faire apparaître si un territoire est attractif pour les investissements ou non.

clients : Propreté Maintenance technique Audits techniques Espaces verts Climatisation, chauffage – Plomberie – Electricité Multitechnique – Multiservice Accueil Banque & Caisse d’Epargne de l’Etat Servior Deloitte Husky Novelis Arcelor Mittal Focus sur l’International Maroc 950 5 salariés millions de CA Métiers : Principaux clients : Propreté Maintenance Sécurité Travail temporaire AnfaPlace Expromm Maroc Soir Fruit of the Loom Golden Farah Casablanca / Marakech / Rabat

Thèse de Doctorat en Sciences de Gestion, ESA, Université Paris 12. Lane V. & Jacobson R. (1995), Stock Market Reactions to Brand Extensions Announcements: The Effects of Brand Attitude and Familiarity, Journal of Marketing, 59, 1, 63-77. Lassar W., Mittal B. & A. Sharma (1995), Measuring customer-based brand equity, Journal of Consumer Marketing, 12, 4, 11-19. Leuthesser L. (1988), Defining, Measuring and Managing Brand Equity, Report n°88-104, Cambridge MA, Marketing Science Institute. Leuthesser

Eric Huther AGF-SI David Horvat AIR FRANCE Edouard Odier AIR LIQUIDE Jean-Pierre Gagnepain ALCATEL Jean-Luc Henrie ALSTOM Jean-Pierre Dehez ALTADIS Patrick Giraudeau AMADEUS Jean-Paul Hamon AP-HM Rodolphe Bourret AP-HP Jean-Baptiste Le Brun ARCELOR MITTAL Georges Mélon AREVA Benoît Tiers ARKEMA Jean-Charles Hardouin AUCHAN Daniel Malouf AVIVA Philippe Gibert AXA Pascal Buffard BANQUE DE FRANCE George Peiffer BNP PARIBAS Alain Marbach BOLLORÉ TECHNOLOGIES Francis Aaron BOUYGUES Alain Pouyat BOUYGUES

existing technology in Commercial Banks 1999 Y V Reddy International Financial Standards and Codes 1999 N K Puri Introduction of a comprehensive Return to efficiently monitor the international claims and liabilities, etc 2000 S R Mittal Different aspects of Internet Banking for regulation etc 2001 A S Ganguly Consultative Group of Directors in Banks and F I s 2002 G Ramachandran Review of working of Local Area Banks (Source: Indian Banking Year Book, Indian Banks Association