Modalisation Du Discours

attendant Godot - Philippe BRETON, « Internet : une fausse révolution », Hatier, p.149 N.B. : points linguistiques spécifiques sur lesquels insister : - DE LA PORTE : travail sur le jeu des pronoms et sur les modalisations : ils/nous/je⇒ colorier le texte en fonction des “sujets” du discours. Le récrire au mode impersonnel. - GUILLAUD: repérer les marques de la concession dans le document. Les employer lors de la présentation orale de leurs corpus. - BRETON : les marques du conditionnel : analyse

du monde de m'émetteur. Relation syntagmatique : comment on organise les mots pour faire comprendre le message que l'ont veut transmettre. Dénotation : ce qu'on veut dire Connotation : on ouvre sur un complément d'informations Modalisation : attitude particulière par rapport au message, modalité par lesquelles on exprime le message. Le message est modelé pour que la personne qui a les codes comprenne l'information. Message explicite, implicite ou sous-entendu. Codes comportementaux

sur l’œuvre. Chaque étape correspond à un objectif simple et se termine par un bilan permettant à l’élève de récapituler ses acquis.  L’enquête documentaire L’enquête est consacrée à un thème majeur issu de l’œuvre et permet de confronter le discours littéraire avec un savoir documentaire sur le thème. On a choisi ici de présenter aux élèves les prisons au XIXe siècle : ils peuvent ainsi mesurer à quel point le réquisitoire contre les prisons, par Victor Hugo, s’appuie sur la connaissance de

et la presse écrite. Dans le cadre de cette étude, nous nous attacherons à décrire et à expliquer les alternances de langues, en nous intéressant particulièrement au phénomène de la polyphonie qui caractérise les alternances de langues dans le discours journalistique francophone algérien. L’analyse des grandes tendances des alternances codiques relevées dans notre corpus permet de comprendre l’emploi des langues en Algérie (arabe standard, arabe dialectal et berbère). En effet, dans la presse

illocutoire étant la composante permettant à cet énoncé de fonctionner comme un acte particulier dans un énoncé donné, elle vient s’appliquer au contenu propositionnel de l’énoncé qui est, si l’on schématise, le sens global de la phrase dénué de toute modalisation ou intention. Tous les énoncés possèdent intrinsèquement une valeur d’acte, ils sont ainsi toujours dotés d’une charge pragmatique à des degrés divers. Le contenu propositionnel ne s’actualise jamais seul, il est toujours supporté par une valeur

plus « sec ». Correspond à un moment de découragement après une sorte d’envolée rhétorique. Ce qui est intéressant, c’est que la chute de la phrase correspond à la « chute verticale d’un couteau triangulaire ». Il y a une identité entre le rythme du discours et la teneur même du propos]. 7. Pour quelle raison le condamné choisit-il de tenir un journal ? • témoigner 8. Etude de la structure argumentative du passage (l.1 à 63) • L.1-3 : thème/intro « vais-je écrire ? » • L. 4-16 :

le poète veut toucher le lecteur : - susciter une émotion, une indignation... - toucher son esprit : le faire réfléchir... 1 ) Indices de l'énonciation : "je", "me", "le mien" (au milieu du texte, fin de la première strophe) : le poète tient un discours, s'adresse au lecteur, à un auditoire (impératif " Ecoutez ") ! Le démonstratif "ce" semble impliquer le coeur du poète. Le narrateur apparait au coeur du texte puis semble s'évanouir parmi des "millions d'autres coeurs" tout en s'y comparant. 2

nous constatons que les savoir-faire développés sont : - la reconnaissance des sons du français, - l'exercice de l'oreille à des accents différents (canadien, suisse, français) - le repérage des mots-clés, â?¨  - la compréhension globale du discours, - la découverte du registre standard, â?¨  â?¨  - la prise de notes, - le partage de l'information avec les autres apprenants. Prenons à présent un exemple de notre méthode pour adolescents Pourquoi pas 3, niveau A2.2., Unité 1, activité 5B

visse alors très nettement », ligne 57 ; « je vis », ligne 76 ; « les yeux rivés à ce portrait », ligne 81 ; « ma vue », ligne 89). Mais la seconde est très tentante, même s’il refuse d’y céder. Son discours est marqué par l’hésitation, comme l’indiquent les modalisateurs qu’il emploie dans son discours[4] (« ce fut peut-être mon délire qui commençait qui en fut la cause », ligne 18). 2. Le doute du lecteur par rapport au récit cadre Le doute du lecteur, qui hésite, comme le narrateur

étudier le racisme comme simple contenu anecdotique, mais essayer de voir en quoi les comportements sociaux qui en constituent le socle s’inscrivent dans les lignes d’une esthétique verbale. De là à considérer La Croix du Sud comme un discours raciste plutôt qu’un discours sur le racisme, il n’y a qu’un pas que nous allons vite faire de franchir : démontrer que la condition verbale de cette pièce de théâtre est une perspective véritablement rentable pour son étude. Pour ce faire, nous devrions prouver