Modalisation Et Subjectivité

l’opposition de deux thèses… Axe 2 : la place laissée au lecteur dans ce dialogue = texte délibératif a. L’impartialité de l’auteur  équilibre argumentatif, inversion dans la distribution de la parole ;  aucune conclusion de l’auteur, pas de modalisation, pas de narrateur « juge » . b. Deux stratégies argumentatives solides  argumentation par persuasion (apologue = induction, lexique du sentiment) : MOI ;  argumentation par référence à l’expérience (conventions sociales, autodépréciation mais

correspondent également à une méthode de pensée qui associe l’ANALYSE et la SYNTHÈSE. Il s’agit enfin de vérifier constamment le bien-fondé de cette réflexion en la confrontant aux textes. Car la dissertation littéraire doit équilibrer une certaine subjectivité (une œuvre littéraire se prête à des lectures multiples et par conséquent à des interprétations personnelles) par l’élément d’objectivité que constituent citations et références. I – L’analyse du sujet 1 LE SUJET Il importe avant tout de lire

de quelle façon ? Quel est le narrateur ? Sont liées à ces questions les pronoms personnels qui sont des indices de cette présence narratoriale. – La valeur des principaux temps. – La focalisation : externe / interne / zéro. – La modalisation (subjectivité). _ Le registre de la langue peut être courant, familier ou vulgaire, soutenu ou littéraire, etc. – Les champs lexicaux. Les champs lexicaux s'organisent souvent autour des cinq sens, des quatre éléments et de leurs dérivés (la mer

A identique à soi. C’est le principe du «tiers exclu ». ⇨ Dans de telles conditions de circularité, on comprend bien pourquoi on est allé chercher en dehors de ces principes ce qui pourrait les justifier : Dieu, le cogito ou la subjectivité voire même la science qui les a justifiés à priori en les mettant en œuvre. Chap.2 : Les circularités et les apories de l’ordre du jugement. 1. La pétition de principe comme propositionnalisation du résolutoire. Le porpositionnalisme

intégralement une nouvelle épistolaire, comprendre son organisation narrative et ses caractéristiques. - Faire la relation entre Histoire et histoire. - Comprendre l'organisation narrative de l'œuvre. - Étudier la situation d'énonciation et la modalisation. - Revoir la notion d'argumentation. - Réfléchir sur le sens de l'œuvre. - S'exprimer à l'oral. I- Découvrir le livre Support : Inconnu à cette adresse, couverture, paratexte, lettres 1 et 2. Objectifs : - Émettre des hypothèses de

lien avec les interrogations : Comment partager ses goûts dans une démarche de dialogue et de respect ? En quoi la connaissance d’une œuvre et de sa réception aide-t-elle à s’ouvrir aux goûts des autres ? avec l’attitude : Etre conscient de la subjectivité de ses goûts. « Accroche » : Deux questions ont été posées aux élèves, afin de recueillir leurs représentations : Une femme qui se blanchit la peau a-t-elle bon goût ? La Tour Eiffel est-elle belle ? Les réponses, notées sur leur cahier

Comment Virginie Despentes bat elle en brèche les stéréotypes afin de permettre aux femmes d’être ce qu’elles ont envie d’être ? Mouvement 1: Virginie Despentes met en avant toutes les femmes ( ligne 1 à 12).  La subjectivité est omniprésente = 1ère personne du singulier présente dés le début, il y a présence d’une personne « j’écris » ligne 1 Longue énumération de femmes qui ne répondent pas aux canons esthétiques. Accumulation qui désigne les femmes

preuves (des idées, du domaine de l’abstrait souvent) que l’on illustre par des exemples. Démontrer consiste à prouver la vérité d’une hypothèse par un raisonnement DEDUCTIF et des preuves indiscutables. Laisse transparaître le moins possible la subjectivité. -       Persuader : on use de moyens détournés, faisant appel aux sentiments, pour gagner l’adhésion de son interlocuteur. On use alors souvent du registre satirique pour se moquer de son adversaire, du registre polémique pour porter une attaque

poète : -le « je » du romantisme a parfois une dimension autobiographique -le « je » romantique peut être fictif et renvoyer indirectement au poète -le « je » du poète peut également être caché mais ses sentiments s’expriment à travers des modalisations ou les types de phrase. Le poète peut aussi se désigner en ayant recours à la deuxième personne : on ne confondra pas ce « tu » avec celui qui renvoie à un destinataire, l’être aimé, le lecteur -le « je » poétique fait entendre toute voix humaine

cela sert-il dans la narration? Fiche brevet n°9 – La modalisation : l’expression de la subjectivité La présence de l’émetteur dans son énoncé ne se voit pas qu’à la présence des pronoms liés à cet émetteur (je, nous, mon, notre...). En effet, l’émetteur peut aussi manifester sa subjectivité, en indiquant par des indices ses sentiments ou son avis par rapport à ce qu’il dit, même dans un texte à la 3ème personne. On appelle modalisation l’ensemble de ces indices. Le commentaire peut porter