Monisme Dualisme

Maintenir le dualisme mais refuser l’interaction. Son principal représentant fût Nicolas Malebranche [1638 – 1715] Théories monistes Supprimer le dualisme au profit d’un monisme (une seule substance). Ce monisme peut prendre plusieurs formes : soit on supprime le corps ( il n’y a de réel que l’esprit, la matière n’existe pas), soit on supprime l’âme (il n’y a que matière), ou alors on pense à une troisième substance qui ne serait ni matériel, ni spirituelle. On a donc trois sortes de monisme, un

Le projet de ces partis est différent de celui de De Gaulle. Celui-ci prononce un discours à Bayeux en 1946 pour exposer sa vision sur cette Constitution-là. L'instabilité est insupportable, il faut un exécutif fort ; sa vision est proche du dualisme. Son discours n'engendre pas le refus de la Constitution, il se retire simplement de la vie politique. Cette nouvelle Constitution est attachée au parlement mais il y a conscience de l'instabilité, d'où la rationalisation du parlementarisme où

mais un « principe ». Ainsi que nous le verrons, les religions dites « dualistes » sont monistes dans leur fond. Elles se refusent simplement à admettre que le Mal soit directement le fait d’un dieu juste et bon. Les premières manifestations de ce dualisme apparent se rencontrent en Iran, vers les vie ou viie siècles avant Jésus-Christ. Zoroastre. – On ne sait pas grand-chose du célèbre réformateur de cette antique religion iranienne, dont il faudrait faire remonter les origines aux civilisations chalcolithiques

esprits et pour l’idéalisme ce qui existe au fond ce sont des idées. On peut aussi ranger les philosophies selon qu’elles sont monistes ou dualistes. Pour le monisme, il n’existe au fond qu’une seule substance ou qu’un seul type de réalité. On peut donc avoir un monisme spiritualiste s’il affirme qu’il n’existe au fond que de l’esprit ou un monisme matérialiste s’il affirme qu’il n’existe au fond que de la matière. Le matérialisme, en effet, est nécessairement moniste, pour lui la matière est l’unique

partir du 18ème siècle et ce sera ensuite au 19ème siècle le régime de la monarchie parlementaire en France (1814-1848). Le principe monarchique et représentatif sont combinés et se font équilibre. Cette conciliation des deux principes explique le dualisme de ce régime. C’est la première forme de régime parlementaire (forme embryonnaire). Lorsqu’il y a deux pouvoirs qui se font face (Roi + parlement) ils vont collaborer mais par l’intermédiaire d’un cabinet ministériel qui est responsable politiquement

moment apparait une remise en cause du dualisme en effet le chef de l’Etat va payer la rançon de son irresponsabilité car celui-ci ne va plus apposer qu’un contre saint sur les décisions du cabinet. A ce moment là le parlementarisme devient moniste ; cependant à partir du moment où le chef de l’Etat est élu au suffrage universel direct sa légitimité est comparable à celle des représentants et il devient difficile d’expliquer le passage du dualisme au monisme. Rque : le chef de l’Etat tient un

méthode est critiquée par Kroeber qui fait de la culture le seul domaine distinctif de l’univers humain alors que Balandier introduit le domaine culturel, politique, économique, sociale, spirituel, psychologie… Kroeber voit cette intégration comme un monisme infantile c’est-à-dire un tout unique qui prouverait l’immaturité des matières alors que lui est plutôt dualiste, c’est-à-dire qu’il sépare monde matériel, physique au monde psychique, spirituel. Les liaisons entre société moderne et traditionnelle

fonctionner sans collaboration efficace entre les différents organes. La IIIe République s'inscrit pour sa part dans une confusion du pouvoir qui dérive rapidement vers un régime d'assemblée remisant ainsi la faculté d'empêcher. Le dualisme est abandonné au profit du monisme. Il faut attendre 1958 et la Ve république pour assister à son retour. Législatif et exécutif possèdent alors des moyens d'action l'un sur l'autre et leur nécessaire collaboration et pleinement comprise. Quant au pouvoir judiciaire

est-elle une science explicative ou compréhensive ? La sociologie doit-elle comprendre ou expliquer ? a) Les termes du débat : expliquer et/ou comprendre Au milieu du XIX siècle, en Europe chez les précurseurs en sciences sociales, dominent le monisme onthologique. Cette conception est portée par A. Comte. C’est qu’il n’existe pas de différence de nature entre les sciences mais seulement une différence de complexité. Les sciences se présentent de façon schématique sous la forme pyramidale, les

mais un « principe ». Ainsi que nous le verrons, les religions dites « dualistes » sont monistes dans leur fond. Elles se refusent simplement à admettre que le Mal soit directement le fait d’un dieu juste et bon. Les premières manifestations de ce dualisme apparent se rencontrent en Iran, vers les vie ou viie siècles avant Jésus-Christ. Zoroastre. – On ne sait pas grand-chose du célèbre réformateur de cette antique religion iranienne, dont il faudrait faire remonter les origines aux civilisations