Méditations Métaphysiques

prise comme unité L’expérience du cogito exclut le mensonge à soi. D’après Descartes, celle-ci implique qu’aucunes de nos pensaient peut nous échapper, l’Homme ne peut donc pas ignorer ce qu’il fait et ce qu’il pense. Descartes, dans les Méditations métaphysiques, dit : « je peux bien douter que mes pensées soient vraies fût-ce que deux et deux fassent quatre, je ne saurais douter, en revanche, que, les ayant, je n'en ai effectivement conscience car la pensée (la conscience) est transparente à elle

torture...). C’est la dignité de l’être humain que l’on doit respecter quel que soit les actes de l’individu. La conscience de soi c’est d’abord l’impossibilité de douter de l’existence de sa pensée Texte de Descartes Méditations métaphysiques (l. 641) 1ère méditation Le doute hyperbolique. Descartes exagère volontairement en considérant que ce qui est absolument douteux et absolument faux. Il espère ainsi que ce qui va résister à ce doute hyperbolique sera une vérité indiscutable. Il

a) l’expérience de la liberté comme vérité intuitive (comment savons nous que nous sommes libres). Qu’est-ce qui peut nous faire affirmer que nous sommes libres. Rousseau, second discours. R Descartes, philosophe français. Les Méditations métaphysiques, extrait de la IV parti. Comment savons nous que nous sommes libres ? Il affirme que la volonté est la faculté qui parmi toutes nos facultés est la plus ample c’est-à-dire la moins limité voir même illimité. Contrairement aux autres,

cette thèse oublie une chose importante : les faits peuvent être trompeurs. En effets les faits dont nous parlons sont essentiellement le produit de la perception, et nos sens peuvent nous tromper comme l'a bien souligné DESCARTES dans Les méditations métaphysiques : un bâton plongé dans l'eau m'apparait comme brisé, une tour carrée m'apparait ronde... D'une manière générale la perception nous trompe énormément, et si nous nous en tenions qu'à elle nous penserions encore que le soleil tourne autour

vérifiées accumulées au fil de la vie et de l’apprentissage. Bien qu’il y paraisse, le soleil ne s’en va jamais, c’est la terre qui tourne et qui ne peut intercepter les rayons solaires que sur une face à la fois. Descartes raconte dans ses Méditations Métaphysiques : « dès mes premières années, j’avais reçu quantité de fausses opinions pour véritables, et ce que j’ai depuis fondé sur des principes si mal assurés, ne pouvait être que fort douteux et incertain ». L’accumulation et l’entrelacs des connaissances

à la fois l’auteur et la victime d’une illusion, d’une manipulation. On soulève là le caractère paradoxal de l’expression, il y a là une contradiction. De même, cette idée est d’autant plus fondée puisque, Descartes nous montre dans les Méditations Métaphysiques, le cogito ; « je doute, donc je pense, donc je suis » et par là, « Rien ne peut être en moi, c’est-à-dire dans l’esprit dont je n’ai conscience ». De fait, pour Descartes, je sais que je suis une chose qui pense, c’est-à-dire une réalité

pense donc je suis », ce qui nous montre que le doute doit bien s’arrêter quelque part : effectivement, plus nous doutons, plus nous sommes certains qu’il y a quelque chose qui doute et donc que nous sommes, comme le dit Descartes dans les Méditations métaphysiques « une chose qui pense ». La conscience de soi est donc érigée comme fondement de toute certitude, elle est ce qu’il y a de plus sûr au monde, que rien ne peut atteindre. Qualifiée de « substance pensante », c’est une chose qui existe en soi

Comment savoir finalement que ce que l’on perçoit est vrai. Cependant on prend conscience de la condition de rêve au réveil. Le cerveau produit les rêves à chaque cycle du sommeil, un rêve peut durer 5 à 7 minutes. Descartes, dans les Méditations métaphysiques : Les rêves sont toujours composés d’éléments qui ont déjà été perçus dans la réalité. Le rêve fait partie de l’imagination. Pour que le monde du rêve existe il est nécessaire que le monde réel existe. Même en rêve certaines lois restent

moins une chose indéniablement vraie, c’est qu’il y a quelqu’un qui doute. Or douter est un des divers modes de la pensée, donc s’il doute, c’est qu’il pense et s’il pense c’est qu’il est. De là le « cogito » : « je suis, j’existe » dans les Méditations métaphysiques ; ou « Je pense donc je suis » dans le Discours de la méthode. Il faut bien comprendre que cette vérité du « je pense » est une évidence qui saute aux yeux mais cela n’engage pas le contenu de la pensée. En effet, on peut penser mal, ou faux

correspond à l'image que nous avons de notre personne. Nous avons spontanément l'impression de nous connaître.Si nous savions ce qu'est vraiment la conscience de soi, nous saurions qui nous sommes vraiment. - René Descartes dans son livre Méditations Métaphysiques, se débarrasse de toute idée reçue. Sa méthode philosophique consiste à douter volontairement de tout ce dont il est possible de douter. Descartes à recourt à l'argument du rêve et de la folie, pour exprimer son opinion. Nous pouvons douter