Méditations Métaphysiques

ce choix possible. Nous sommes doué d'une volonté propre. Ainsi, si on approfondit cette subjectivité toute humaine qu'elle est, l'homme peux douter de tout, excepter de tout être capable de dire «je». D'où l'idée de Descartes dans ses méditations métaphysiques «je pense donc je suis» qui apparaît comme une vérité indubitable. Mais qu'est-ce qu'une chose qui pense? C'est une personne qui doute, qui connait, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine,qui sent. On peux dire que cela

différents, la cire froide est quelque chose de solide et qui va faire appelle à mes sens, l’odeur, le gout, le toucher et quand elle est chauffé, elle perd ses caractéristiques sensibles mais reste formé de cire. Descartes dit dans les Méditations métaphysiques « cette conception que j’ai de la cire ne s’accomplit pas par la faculté d’imaginer ». En effet, la cire peut prendre un nombre infini de formes et mon imagination n’arrivera pas à toutes ce les imaginer. Pour Descartes, ma vision de la

avec les autres. A partir du moment où nous nouons des relations avec ces personnes, ils nous influencent d’une manière ou d’une autre. La question étant maintenant de savoir si cette influence nous prive de notre liberté. Dans la 4ème des Méditations métaphysiques, Descartes affirme que non, être influencé n’est pas être non libre. Pour lui, l’acte libre doit être réfléchi. Or, pour prendre une décision réfléchie, il faut d’abord prendre en compte tous les paramètres, ce qui inclut l’influence de notre

l’homme par l’union de l’âme et du corps : " L’âme de l’homme est réellement distincte du corps, et toutefois [...] elle lui est si étroitement conjointe et unie qu’elle ne compose que comme une même chose avec lui. " (Descartes, Abrégé des Méditations métaphysiques – 1647 ). L’homme est-il réellement l’union d’une âme et d’un corps ? Cette union n’est-elle pas contradictoire ? L’homme n’est-il pas plutôt fait d’une seule substance ? Le dualisme conçoit l’âme, siège de l’esprit, comme distincte

responsabilité de nos actes. Problématique des désirs refoulés. Auteurs et citations, points de doctrine. 1/ Descartes. Auteur fondamental sur ce thème. Descartes, c'est l’auteur du XVIIème siècle qui écrit le Discours de la Méthode et les Méditations métaphysiques, où il tente de saisir une vérité première. Pour cela il procède au doute méthodique et hyperbolique, c'est à dire à un doute qui n’est que provisoire, c'est une étape dans le raisonnement, et un doute qui est exagéré. Par ce doute, il découvre

fondement premier de toutes les vérités possibles. • Selon DESCARTES, il n’y a de connaissance possible du monde des objets que pour un sujet qui les pense donc pour une conscience. • DESCARTES a donc démontré a travers son livre : « Méditations métaphysiques » que par la conscience, l’être humain exister vraiment. • Le positivisme : expliquer les choses comme elles se produisent d’une façon objective. • HUSSERL pense que l’erreur du positivisme est d’être un « objectivisme » c’est-à-dire

doute toutes ses connaissances, il affirme l'évidence de sa propre existence, dont témoigne la conscience qu'il a de soi. "Cette proposition: je suis, j'existe, est vraie chaque fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit" (Méditations métaphysiques, II). Cette découverte n'est pas la conclusion d'un raisonnement, mais le fruit d'une expérience intérieure, faite sur soi-même. Dans le Discours de la méthode, Descartes avait d'abord employé la formule, célèbre mais ambiguë: "Je pense donc

définition de la connaissance énoncée, avec la perception, on peut donc avoir une opinion certes justifié (par nos sens), mais pas forcément vraie. Mais ce raisonnement ne tient qu’en admettant la fiabilité de nos sens. Descartes, dans les Méditations métaphysiques au contraire remet en cause l’intégralité de ce qu’il connait, à commencer par les sens, en deux temps distincts. Tout d’abord il est vrai que nos sens ne sont pas infaillibles, qu’un bâton droit plongé en parti sous la surface de l’eau me

chacun : nous constituons grâce à la perception notre angle de vue sur les choses. Pour René Descartes, la perception n'est pas un mode de connaissance car elle relève de la sensation : il observe par exemple un morceau de cire dans Les Méditations Métaphysiques et s'interroge sur ce qui lui permet de reconnaître la cire à travers la multiplicité de ses états : "ce ne peut être rien de tout ce que j'y ai remarqué par l'entremise des sens puisque toutes les choses qui tombaient sous le goût, l'odorat

n'admettent qu'une seule substance matérielle : le corps, ou dans le dualisme spiritualiste, qui reconnaissent deux substances distinctes : le corps et l’esprit ? C'est chez Descartes que nous trouvons la réponse, ce dernier définit, dans les Méditations métaphysiques l’homme par l’union de l’âme et du corps : " L’âme de l’homme est réellement distincte du corps, et toutefois [...] elle lui est si étroitement conjointe et unie qu’elle ne compose que comme une même chose avec lui. " L’homme est-il réellement