Nietzsche Croyance

bien au contraire- On assiste aujourd’hui à un retour de la religion avec les fondamentalismes islamiques, juifs ou chrétiens comme réponse à la mondialisation et aux effets destructurants de la modernisation. Le besoin de communauté, de lien et de croyance surgit dans un monde « désenchanté » marqué par l’urbanisation et l’industrialisation croissantes. Le retour du religieux serait dû à une crise de la modernité (épuisement des certitudes nées des progrès accomplis par la science et la technique

Philosophie Dans ce texte Nietzsche nous explique que pour arriver à se comprendre entres des amies, des amoureux parmi les membres d’un même peuple il faut certes parler la même langue mais il faut plus profondément avoir des expériences qui sont identiques, c’est-à-dire, au moment où l’on emploie un terme ou un mot il faut que ce que je dise vous le compreniez que vous ayez la même chose en tête, ça veut dire que pour qu’il y est une compréhension mutuelle il faut un univers de pensé, d’émotion

Leur origine étant souvent indistincte, on aurait bien raison de douter de la véracité de l’information. Notre éducation et nos perceptions ont gravées au plus profond de nous même mille et un préjugés à travers les traditions, l’Histoire et les croyances… Cette omniprésence nous pousse à se poser la question suivante : peut-on penser sans préjugé ? « Penser » peut avoir deux sens généraux : juger et croire. Ces deux termes sont pourtant opposés si l’on entend par « juger » l’acte de donner une valeur

chaque point de vente. DEFINITION de la confiance : La confiance-trust, la confiance-confidence, la confiance-reliance. On a 3 termes dans la langue anglaise, contre un seul en français pour désigner la confiance. La première renvoie à une croyance assurée dans l’intégrité, la force ou la capacité d’une personne ou encore à une attente assurée (je fais confiance à). La seconde est plus centrée sur l’assurance ou l’assentiment même vis-à-vis de quelqu’un que sur le fait d’attendre ou de croire

de la religion. Cette citation nous permet de nous demander si, une société peut elle se passer de religion ? Une société est un ensemble d'individu, vivant en collectivité et partageant des normes et des valeurs. La religion c'est l'ensemble des croyances et des pratiques culturelles qui fondent les rapports entre les hommes et le sacré. Peut on dire que la religion est utile a la société et aux hommes ou alors peut on dire qu'elle ne l'es pas ? Le paradoxe serait de penser que la religion ne serais

est beaucoup moins vraisemblable: suivant l'attitude personnelle de celui qui est appelé à juger de cette croyance, il la classera parmi les illusions ou parmi les équivalents d'une idée délirante. ( ... ) Ainsi nous appelons illusion une croyance quand, dans la motivation de celle-ci la réalisation d'un désir est prévalente, et nous ne tenons pas compte, ce faisant, des rapports de cette croyance à la réalité, tout comme l'illusion elle-même renonce à être confirmée par le réel.» Freud, L’avenir d’une

de l’homme dans la recherche de son humanité. Le livre reste ouvert. De Stonehenge à Carnac, de la pyramide de Chéops à la cathédrale de Chartres, les pierres ont le même langage. Paradoxalement malgré la différence de culture, des rites ou des croyances, tous ces temples sont issus de la même tradition constructive dont les objectifs, les moyens sont communs : L’objectif premier, rassembler les hommes. Les moyens, ils sont multiples, citons par exemple Que les formes sont toutes issues d’une

L’énigme Socrate Selon Friedrich Nietzsche, Socrate, pour lutter contre ses désordres intérieurs, avait besoin de s’appuyer sur la raison. Nietzsche dit aussi que Socrate est le tournant décisif de l’histoire universelle. La pensée de Socrate et sa façon de détruire méthodiquement les opinons de ses interlocuteurs s’apparentent à une négation de la vie. Socrate pratique l’ascétisme, c’est un rabat-joie pour qui la vie n’a aucune valeur. Il rejette le mode de vie Grec. En utilisant l’ironie et la

les croyances rassurantes, l’ordre établi. Pensons par exemple à l’avènement du christianisme perçu comme une menace pour Rome. Pensons aux artistes : poètes, peintres, musiciens qui par leurs œuvres dénoncent, affirment des vérités qui peuvent s’avérer dangereuses pour certains régimes. On voit donc que la vérité en tant que telle est potentiellement dangereuse parce qu’elle constitue une remise en cause des représentations sur lesquelles sont fondées une partie de notre existence : croyances, illusions

aimer la vérité ? | II. Il ne faut pas forcément aimer la véritéC’est par amour de la vérité que l’on peut affirmer la nécessité d’un doute permanent et sceptique que l’on renonce à la vérité. C’est par amour passionné que l’on confond vrai et croyance et que l’on peut devenir intolérant ou dogmatique. ARGUMENT : Pyrrhon, sceptique.Toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire, certaines sont blessantes, certains propos manquent de tact. Il est inutile de choquer, forme de provocation vaine. Le