Normes Valeurs Croyances

accéder à des valeurs universelles où la morale prétend à la vérité et donc à l’unicité. Le relativisme énonce au contraire l’idée selon laquelle les valeurs morales ne sont que des produits culturels relatifs à une société donnée et qu’il appartient d’abord aux hommes entre eux de se mettre d’accord sur ce qui leur semble être le bien et le mal. La morale en ce sens est relative aux individus, « à chacun sa morale » donc. Il est vrai que de fait la morale est variable, les normes morales divergent

est constitué d’une population, d’un territoire et d’un gouvernement (approche large proposé par les juristes allemands et français : Hans Kelsen => hiérarchie des normes : constitution, traités internationaux, normes, lois, décrets). 1.1. Le territoire Kelsen énonce ce qu’est le territoire : domaine de validité spatiale des normes juridiques. Territoire peut avoir un pouvoir identitaire (ex : Jérusalem, lieu chargé d’identité pour ≠ groupes). Délimité par des frontières. Mais il ne faut pas

Etre Cartésien, se référer à la « Science ». Des attitudes sont réclamées aux scientifiques et des valeurs sont posées sur les connaissances. Le statut des savoirs de la recherche scientifique se pare de la reconnaissance de la communauté scientifique par l’évaluation des communications des chercheurs et de leurs valorisations sociales ou financières. Hors du champ de la reconnaissance, les savoirs scientifiques s’entachent de l’erreur, de controverse, parfois de fraude. Le statut de l’information

ce but est le prêche . Il sert à transmettre un discours moralisateur aux citoyens concernés. Non seulement , ce système a pour but de mettre en évidence la foi , puisque c’est une confiance , une croyance , une façon de pensée , etc. Cependant, la divinité qui est mit en question entraine des valeurs morales et elle touche la pensée de l’être humain . Philosophique : Tout d’abord , le discours philosophique est connu pour ces idées conçues . La philosophie est un concept qui met l’accent sur

ractère rationnel, reposant sur la croyance en la légalité des règlements arrêtés et du droit de donner des directives qu'ont ceux qui sont appelés à exercer la domination par ces moyens (domination légale) ; 2) Un caractère traditionnel, reposant sur la croyance quotidienne en la sainteté de traditions valables de tout temps et en la légitimité de ceux qui sont appelés à exercer l'autorité par ces moyens (domination traditionnelle) ; 3) Un caractère charismatique, [reposant] sur la soumission

institutions) envers les valeurs culturelles. Ces valeurs peuvent être mal interprétées par un autre groupe social qui ne les connait pas. La connaissance de la culture de l’autre procure une meilleure compréhension des valeurs convergentes et divergentes qui s’établissent entre deux groupes. Connaître l’autre, c’est connaître sa culture, son identité entant qu’un membre d’un corps social spécifique. La culture nationale englobe l’ensemble des valeurs des mythes, des rites

Discours sans clôture Ce qui les distingue * La science s'occupe de faits, la philosophie de valeurs (morale) * La science est quantitative, la philosophie qualitative * Croyances rationnelles/certitudes scientifiques Y a-t-il des questions propres à la philosophie ? * Le problème des fins de l'action * Le problème des fins de la connaissance * Le problème de la valeur et des normes * ------------------------------------------------- Trois conceptions de la philosophie

complexe car elle renvoi des individus et l'h est le plus comples d créatures vivantes ms c pas que des individus c aussi des liens ceci n'est pas mesurable, y'a aussi des codes,des règles des rites d échanges,de manières de penser des cultures,des croyance,des sentiment,conflits.Tt ça n'est pas mesurable.On peut pas les quantifier.La question d sociologues Pourquoi arrivons ns à vivre ensemble sans nous entretuer tout les jours,comment on se supportent,arrive à vivre ensemble ? a) Spécifité des

conditions auxquelles elles sont confrontées. Juillet 2010 Isabelle ROSENSVEIG © - Management des Hommes & des Organisations Page 3 L’Action d’organiser Selon Henri MINTZBERG Théorie de la contingence par rapport aux structures Théorie qui met en valeur l’aptitude, la capacité … … à trouver une solution pertinente à un problème donné, … en fonction de tous les paramètres internes et externes à l’organisation. Juillet 2010 Isabelle ROSENSVEIG © - Management des Hommes & des Organisations Page

pour assurer la conformité des individus à un ensemble de normes. Si l’individu ne respecte pas les normes et les valeurs établies par la société dans laquelle il évolue, le comportement de ce dernier sera considéré comme déviant. En d’autres termes, la déviance est donc considérée comme la transgression d’une norme, qu’elle soit juridique ou sociale. La déviance englobe la délinquance qui est définie comme la seule transgressions de normes juridiques. On peut donc se demander si le contrôle