Objectivité Bachelard

Ce corpus aborde le sujet de deux maisons éloignée de toutes les grandes villes mais qui possède une grande richesse. Les deux extraits de texte étudiés sont Le rouge et le Noir de Stendhal, et Eugénie Grandet de Balzac. Ces extraits ont un petit côté XIX° siècle avec notamment le réalisme et le naturalisme. Ces deux auteurs tous deux différents, ont décrit leurs endroits avec beaucoup de points commun. Stendhal et Balzac ont fait leurs textes en se rattachant au mouvement réalisme et naturalisme

Conclusion : la question "qui suis-je" n'admet pas de réponse exacte parce qu'on évolue tout le temps. On pourrait même dire qu'on change chaque seconde (même si ce ne sont que des micro-changements, ces micro-changements finissent par s'additionner et par nous changer notablement). Au moment de notre mort, la question "qui suis-je" pourrait en théorie admettre une réponse exacte parce qu'on ne change plus (laissons de côté le fait qu'on se décompose): on serait alors tout ce qu'on a fait, pensé

La monnaie (à comprendre au sens de pièces de monnaie) est la forme objective de l'argent. Dans le système de pensée de Marx, l'argent (concept) occupe une place importante. D'abord, l'argent apparaît lors des échanges (achat-vente de marchandises). Ensuite, il est la substance de la richesse. La richesse et l'argent sont avant tout des abstractions. La monnaie, elle, est sa forme objective. Chez Marx, tout est marchandise en système capitaliste (objet manufacturé, comme travail humain)

avons passé avec le sujet. En effet il se peu que dans le cas ou autrui est un proche, nous puissions le connaître mieux que lui-même. Au quel cas il est alors aisé de connaître cet autrui car il nous est familier. Mais alors nous perdons de notre objectivité car nous gardons pour acquis des connaissances sur lui qui sont probablement erroné à cause des évolutions que ses expériences lui ont apporté et que nous n’avons pas forcément assimilées ou même remarquées. Somme toute connaître autrui est donc

Auteur et théorie Marcel Mauss, « Esquisse d’une théorie générale de la magie» : Les états collectifs et les forces collectives de la magie. Neveu et disciple d'Emile Durkheim, Marcel Mauss (1873-1950) participa à l'équipe durkheimienne, réunie autour de la revue L'Année sociologique, mais il n'en garda pas moins une certaine indépendance. Ainsi, il se tourna rapidement vers les études ethnographiques et fonda en 1925 l'Institut d'ethnologie. Dans son « Esquisse d'une théorie générale de

1 INTRODUCTION La réalité est trop complexe pour être directement intelligible par l'être humain. Aussi, le rôle de la statistique est-il de permettre à l’homme la compréhension du réel. Elle constitue, en effet, un ensemble de techniques intermédiaires entre le concret et l'abstrait. Elle cherche à évacuer objectivement le culturel qui filtre médiatiquement la perception. De ce fait, elle peut être sujette à caution, car, comme le remarque P. VALERY : "Ce qui est simple est faux, ce qui

SUJET: Puis-je connaître autrui comme soi-même? Lors de cette œuvre nous cherchons à savoir s’il est possible que nous puissions connaître autrui comme nous-même. Dans un premier temps, il faudra définir les termes afin de pouvoir comprendre et analyser ce sujet. Connaître veut dire juger objectivement une réalité sans la déformer, en prenant conscience au minimum de ce qui est inconnu. Autrui, d’après Sartres (extrait de l’Etre et le Néant) veut dire, « […] est l’autre, […] le moi qui n’est pas

L'analyse du professeur Dans le conte populaire allemand, Faust choisit d'échanger son âme contre une seconde vie. Peu conscient des enjeux derniers de son échange, Faust apparaît comme celui qui commet une erreur fatale de jugement, puisqu'il échange un bien métaphysique (son âme) avec un bien physique (le renouvellement de sa vie terrestre). Faust aurait-il pu éviter cette erreur de jugement ? Comment se serait-il comporté s'il avait pu savoir ? L'acte d'échanger apparaît ainsi comme éminemment

 Lecture Analytique 8: Ô vous frères humains, Chapitre X et XI en entier Quel effet la lecture de ces deux chapitres produit-elle sur le lecteur ? Tout d'abord, nous allons nous occuper de mettre en lumière les stratégies d'argumentation qu'utilisent le camelot et le narrateur. Alors que le premier utilise une argumentation pervertie, très agressive et directe, le second est moins convainquant. En effet le chapitre dix est occupé par l'argumentation du camelot, avec des arguments de généralisation

et moi-même ». Autrui : fonction de miroir qui me renvoie à moi-même constamment. Il me permet de passer de la conscience immédiate à la conscience réfléchie : médiateur entre moi qui perçoit (subjectivité) et l’image de moi qu’il me renvoie (objectivité). (attention : il ne s’agit pas de dire qu’autrui me permet d’être objectif sur moi même, puisqu’on a dit qu’on ne le serait jamais complètement, mais il permet de sortir de la subjectivité pure par l’image qu’il me renvoie, de me poser comme un