Objet Cassation 16 Janvier 2007

 prendre  ?     •  Que  peut-­‐on  aRendre   des  contrôles  exercés  par   le  juge  ?     7   Des  progrès  à   réaliser  ?   8   Enquêtes  simples     • Objet  de  l’enquête      et  men8on  pré-­‐  imprimée   sur  le  procès-­‐verbal         • Améliorer  la  protec8on  des  entreprises  ?   9   Opérations  de  visites

du 4 aout 1982 relative aux libertés dans l’entreprise a introduit dans le Code du Travail des disposition ayant pour objectif l’encadrement du pouvoir disciplinaire de l’employeur. c’est dans le cadre de cette loi que la Cour de cassation a rendu son arrêt du 30 janvier 2013. La sanction disciplinaire est définit à l’article L. 1331-1 du Code du travail : constitue une sanction disciplinaire toute mesure, autre que les observations verbales, prise par l'employeur à la suite d'un agissement du salarié

Thème n°2: I Application dans le temps Arrêt de la chambre Criminelle de la Cour de Cassation du 25 mai 1977 Mr Jacques Henry a été poursuivi pour avoir émis de mauvaise foi deux chèques sans provisions suffisantes, l’un d’un montant de 17403, 76 Francs à l’ordre de la société Sauer France le 25 novembre 1975 et l’autre d’un montant de 390 Francs à l’ordre du Trésor Public en date du 25 novembre 1975. Un premier jugement a été rendu en première instance puis l’émetteur des chèques a

Droit des obligations – L’acte juridique 1re – LECTURES. Apprendre à lire les arrêts de la Cour de cassation. Approfondissement de la méthodologie du commentaire de décision judiciaire. *  Comprendre un arrêt de la Cour de cassation rendu en matière civile », par Jean-François WEBER, Président de chambre à la Cour de cassation. Document extrait du site officiel de la Cour de cassation (p. 3 à 17). * « Méthode du commentaire de décision judiciaire », (p. 18 à 21). 2e séances – L’OFFRE

de la signature d’un pacte d’actionnaire. • Nature des pactes d’actionnaires  Les pactes d’actionnaires sont soumis aux conditions essentielles du droit des contrats : le consentement de la partie qui s’oblige, sa capacité de contracter, un objet certain et une cause licite selon les termes bien connus de l’article 1108 du Code civil. Comme toutes les conventions, les pactes tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faits (article 1134 du Code civil), et n’ont en théorie d’effet qu’entre les

conséquence de faire coexister dans la même spécialité, ou au moins similaire, les signes identiques ou semblables. L’introduction de cette disposition dans le Code de la propriété intellectuelle constitue une grande innovation[8] de la loi du 4 janvier 1991 adoptée pour transposer la directive européenne du 21 décembre 1988[9] ; innovation qui a connu, vu le contentieux relatif à la contrefaçon, un grand succès. Notamment en pratique les titulaires des signes postérieurs attaqués en contrefaçon

Cour de Cassation chambre civile 3, 17 janvier 2007 L’article 1108 du code civil définit les quatre conditions de formation du contrat : le consentement des parties, la capacité à contracter, un objet certain et licite et enfin une cause licite dans l’obligation. On considère souvent le consentement comme la première et la plus évidente des conditions de validité d’un contrat. Le consentement est définit comme l’adhésion (acceptation) d’une partie à la proposition (offre) faite par l’autre, le

sérieusement blessé. En outre, et à ce sujet, d’après un arrêt de la chambre civile de la Cour de cassation du 16 octobre 2001, « le moniteur de sports est tenu, en ce qui concerne la sécurité des participants, à une obligation de moyens, cependant appréciée avec plus de rigueur lorsqu’il s’agit d’un sport dangereux. ». Toujours d’après les termes de la Cour de cassation, mais cette fois-ci dans un arrêt du 16 mai 2006, « il existe à la charge d’une association sportive une obligation de prudence et de

un intérêt commun et sur un pied d’égalité. Mais le contrat de société est également soumis au droit commun des contrats sur le fondement de l’article 1108 du Code civil et suppose le consentement de contractants, leur capacité, mais également un objet et une cause licite. Il s’agit d’un « mouvement par lequel le droit civil donne un sang nouveau au droit des sociétés »(1). Les irrégularités tenant à ces conditions de constitutions ont un effet direct sur le contrat de société : il s’agit de la

passe par celle des conventions collectives, de la liberté syndicale, des institutions représentatives des salariés, des accords collectifs, des conflits collectifs. Les relations collectives de travailLes relations collectives de travail ont pour objet l’étude des règles qui régissent les relations entre d’un côté les salariés ou leurs représentants et de l’autre, l’employeur ou les groupements d’employeurs. Ces règles visent à assurer l’expression et la défense des intérêts professionnels qui s’expriment