Parlebas

d'expression corporelle, laissant place à la créativité des élèves (Pujade Renaud, Expression corporelle, langage du silence, 1974). Cette conception semble alors confronter les garçons à un patrimoine plus féminin. Parallèlement, Le Boulch et Parlebas quant à eux, développent une pratique qui se veut asexuée où la comparaison sociale n'est pas de mise. Cependant, si ces conceptions semblent en résonnance notamment avec une volonté plus égalitaire de la femme dans la société ; celles-ci accédant

notamment au regard des objectifs de préparation à la vie d’adulte » (Le plaisir perçu dans la pratique des APS, in Revue STAPS n°45, 1998). Réponse à la problématique « L’affectivité est la clé des conduites motrices ». Cette citation de Pierre Parlebas (in Revue EPS n°102, 1970) invite le professeur d’éducation physique à ne pas ignorer la dimension affective dans son enseignement, c’est à dire dans l’aide aux apprentissages de ses élèves. En tant que discipline mettant en jeu le corps dans sa

Cela permet de valoriser les élèves ayant fourni des efforts. Sport scolaire : ASSU en 1963 a pour objet le recrutement des Le lycée Corbeil-Essonnes (1963-1975) mise en œuvre de la « révolution copernicienne » (Parlebas 1967) En 1963 les enseignants du Lycée Corbeil Essonnes mettent en place une nouvelle organisation de l’EP qui prend comme base la compétition sportive mais en faisant participer tout le monde. Des cycles d’entrainement alternent avec des périodes

capitaliste - les pratiques du corps VIII] CORPS et SOCIOLOGIE - les usages sociaux du corps - euphémisation et esthétisation des pratiques - pratiques corporelles emblème de classe sociale IX] LE CORPS AUJOURD’HUI X] CONCLUSION I] DEFINITIONS : P. Parlebas le définit comme : «organisation signifiante qui répond à la totalité de la personne»(3). Mais selon d’autres auteurs, il est très difficile d’enfermer le corps dans une définition, qui somme toute assez stricte, ne permet pas de l’appréhender dans

physique se propose le développement de tous les facteurs du comportement moteur... Son but est de faire du corps un instrument parfait d'adaptation à son milieu (J. LE BOULCH 1960). L'éducation physique est la pédagogie des conduites motrices" (P. PARLEBAS 1981). Education physique et sportive Jusqu'en 1967 la distinction était bien nette entre une éducation physique de formation et une éducation physique d'application où les activités sportives trouvaient leur place. A partir de cette date le

comme un moyen d’éducation et de socialisation particulièrement efficace : dans le champ de l’éducation populaire et des mouvements de jeunesse, les réalisations des Centres d’Education aux Méthodes Actives d’Animation (CEMEA), initiées par Pierre Parlebas ou encore de l’Union Française des Centres de Vacances (UFCV)30 sont les plus remarquées. Dans le domaine scolaire, « les Républiques des Sports », sur le modèle calaisien de Jacques de Rette (1964) proposent aux élèves une large gamme d’activités

possible en effet qu’à la condition de respecter le plus souvent possible leur logique interne respective, c’est à dire « la carte d’identité de la pratique considérée, qui regroupe ses caractéristiques pertinentes les plus saillantes » (Pierre Parlebas, Didactique et logique interne des APS, in Revue EPS n° 228, 1991). Le rôle de l’enseignant d’EPS est de réussir à concilier le nécessaire traitement didactique des APSA et les représentations sociales des élèves, celles-ci étant fortement empruntes

se centre sur le groupe et sur le travail collectif. · Le structuralisme : Le structuralisme considère le monde comme un ensemble fait d'éléments en relation entre eux. P. Parlebas publie dans la revue EPS n° 92 en mai 1968 : « Pour une EP structurale ». Pour lui, le structuralisme permet une approche unifiée de l’EP par l’intermédiaire de la notion de « conduite motrice », qui représente

second cas c’est l’emprise croissante de la rationalité instrumentale, comprise comme une source d’aliénation de l’individu, qui guide la réflexion. À partir d’autres bases théoriques (la théorie des jeux et l’individualisme méthodologique), P. Parlebas (1986), arrive à des conclusions proches de celles de J.-M. Brohm, quand il met l’accent sur la force d’imposition des règles institutionnelles qui insèrent le sujet sportif dans un réseau de déterminations l’empêchant d’exprimer ses capacités

libre : * Absence de contrainte de l’enseignant * Centration sur une règle * Frivolité ou absence de conséquences de l’activité de l’élève * Incertitude : on ne sait pas où le jeu conduit * Exemple du jeu libre « Colin-Maillard » (Parlebas : « Jeu pré-sportif ») Le contexte politique et social est indissociable de l’école : il faut donner du sens aux élèves par rapport au sens qu’il pourrait en donner. Les élèves dans une activité ordinaire assimilent les actions qu’ils connaissent